jeudi 26 décembre 2024

De humain corporis fabrica

J'ai mal au poignet droit depuis la semaine dernière, je ne sais pas la cause de cette douleur. Est-ce que je me suis cogné le poignet contre quelque part ou je me suis foulé le poignet ? Je ne mémorise rien. Bien que je colle un cataplasme, je ne suis pas encore guérie. Lorsque je ne bouge pas la main droite, je n'ai pas mal au poignet droit. Je peux écrire et taper au clavier sans problème. Peut-être, c'est la ténosynovite. Est-ce qu'il vaut mieux aller à l'orthopédie ? 

Ainsi, j'ai vu le film documentaire "De humain corporis fabrica". Il y a quelques mois, une affiche de "De humain corporis fabrica" m'a tenté. La photo d'un crâne en rayon X m'a fait éprouver de la peur et du mystère. Alors, j'ai vu cette bande annonce à la maison. Beaucoup d'images d'opération à l'hôpital ont été diffusées.


Auparavant, j'ai vu le film documentaire "Der Weg nach Eden" de Robert-Adrian Pejo. Le sujet est la vie quotidienne d'un anatomiste qui habite à Budapest. Plusieurs scènes étaient choquantes, des cadavres sont étalés, l'anatomiste les dissèquent chaque jour. Cette fois, je voulais comparer ce film au film "De humain corporis fabrica".

Quant au contenu de De Humain Corporis fabrica. La majorité des scènes sont filmée dans des salles d'opération de quelques hôpitaux qui se trouvent à Paris ou en banlieue parisienne. Au début du film,  la voix d'une infirmière de soins intensifs est diffusée: "Certaines personnes qui fument et boivent de l'alcool peuvent vivre environ cent ans, un jeune homme attrape un cancer colorectal en dernier stade, il meurt bientôt. Comme je passe ici tous les jours, je souhaite respecter une journée et en jouir", cette parole symbolise ce film. En opérant la prostate d'un patient, un médecin se plaint de la pénurie chronique de médecins, il demande à une infirmière de nettoyer cette salle d'opération. Elle lui rétorque: "Lorsque je travaillais dans la salle d'urgence, ce n'était pas nécessaire de la nettoyer. Le médecin déplore: "Bien que la France ait beaucoup de chômeurs, pourquoi il n'y a pas de nettoyeur à l'hôpital ? C'est fou. De plus, je n'a pas une érection." J'ai failli éclater de rire, mais tout de suite j'ai pense qu'il était possible que ce soit une blague, et que le stress excessif professionnel conduisait au dysfonctionnement érectile. Dans une autre scène, un médecin mesure la taille d'une tumeur dans un morceau de chair avec une règle. Je me suis demandée de quelle partie du corps. Le médecin tourne le morceau. Alors, les spectateurs peuvent distinguer que c'est une mamelle. J'ai imaginé la douleur de la patiente. Dans une autre scène, une chirurgie laparoscopique a lieu, une caméra est ternie dans des viscères, un médecin demande à un autre médecin:" Tu peux l'essuyer ?" On peut voir des appareils d'opération qui sont minutieusement manipulés. Tout à coup, une hémorragie est provoquée par une cause, le médecin dit à un assistant: "Passe moi vit un appareil d'absorption !" Cet assistant le fait tomber, le médecin le gronde: "Qu'est-ce qui se passe !?" Cette situation est presque un champ de bataille. Lors de l'opération du canal lombaire étroit, quelques écrous et vis sont fixés dans la colonne vertébrale, comme si un bricolage était fait par le médecin. Le point de vue des médecins était très intéressant, leur travail sauve la vie et bataille contre la maladie pour cela. Dans le film, le type d'opération n'est pas expliqué. C'était dommage.