samedi 31 mars 2018

La prosternation

En écrivant l'article "Le puisage de l'eau", je voulais présenter le film "Paths of the soul". Est-ce que vous connaissez le mot "五体投地 (Gotaitouchi)" ? Dans le bouddhisme, c'est la suprême manière de prier. Lors du puisage de l'eau, des bonzes du Tōdai-ji pratiquent parfois cette prière. Au Japon, on ne prie pas de cette manière. Il me semble que ce "五体投地 (Gotaitouchi)" est similaire un peu à "Salah" de la prière islamique. Le "五体投地 (Gotaitouchi)" m'évoque le pèlerinage pour Lhassa au Tibet. Un tel pèlerinage est décrit dans le film "Paths of the soul". Je ne suis jamais allée au Tibet. Lorsque mon frère était en Chine pendant un an. Il a visité Lhassa. Il m'a dit que le goût du thé au beurre était bizarre. Comme il n'y a pas de restaurant tibétain au centre, je ne peux pas imaginer le goût. Ainsi, ajouté à cela, le contenu m'a intéressé, lors de la bande annonce. Lorsque j'ai vu ce film au cinéma il y a plusieurs années, il y avait peu de spectateurs.


J'ai pensé que ce film était un documentaire. À vrai dire, l'histoire est basé sur un scénario. Cette façon de tourner est la formule "Docu-drame" comme des films ("La Gale", "Une histoire vraie" etc.) d'Abolfazl Jalili.

Quant à l'intrigue, Yang Pei assiste à la cérémonie des obsèques de son frère. Il souhaite aller à Lhassa avant sa propre mort, car son frère voulait y aller, mais finalement, est mort, avant de réaliser ce voeu. Des gens, autour de Yang Pei dans son petit village, entendent que Yang Pei souhaite aller à Lhassa. Trois familles décident de faire le pèlerinage avec lui. Ces pèlerins consistent en quelques adultes dont une femme enceinte, et quelques enfants.

Dans les films "Saint-Jacques...La Mecque" de Coline Serreau et "The ways, la route ensemble" d'Emilio Estevez, les pèlerins marchent seulement. C'est pénible. Mais, les pèlerins du film "Paths of the soul" marchent et répètent la prosternation jusqu'à Lhassa. Cela prend presque un an. Leurs vêtements m'intéressent. Ils portent un tablier, et des gants comme des chaussures. Il y a quelques règles dans le pèlerinage. Il ne faut pas tricher. Lorsque ces pèlerins se reposent, ils posent une pierre de repère sur le terrain. Après le repos, ils recommencent à marcher à partir de cette pierre de repère. En outre, il faut prier pour les autres. C'est difficile. Cette idée ressemble à la parole "Aime tes voisins" dans la Bible.

Dans l'histoire du film, la femme enceinte accouche, Yang Pei est mort. L'alternance d'une naissance et d'une mort est décrite. La nature grandiose met l'accent sur l'existence minuscule des pèlerins. La beauté de ce spectacle est à couper le souffle. En voyant cette scène, il m'a semblé plutôt que les pèlerins se dévouaient à la terre entière. L'inhumation céleste de Yang Pei a lieu. Auparavant, j'ai lu le livre "Making an exit" de Sarah Murray, elle présente des funérailles étrangères, comme reportage. Mais, l'inhumation céleste n'est pas présentée. Au Tibet, comme l'altitude est très haute, est-ce que cette coutume continue ? Sur le plan hygiénique, des bactéries pathogènes ne se dispersent pas ? Au Japon, le cadavre pourrit tout de suite dans la saison des pluies et l'été. Il empeste. Des asticots se multiplent rapidement. Tout à l'heure, j'ai cherché des raisons de l'inhumation céleste sur Internet. Selon des explications de plusieurs sites, c'est difficile de faire l'incinération. Car, on ne peut pas obtenir des bûches, comme des grands arbres ne poussent pas au Tibet. Et alors, il y a une autre façon, c'est l'enterrement ? Le sol de là-bas est très solide, on a de la peine à le creuser. De plus, sous le climat froid, les microbes décomposent faiblement le cadavre. Finalement, l'inhumation céleste reste.

Je n'ai pas pu trouver la bande annonce en français. Peut-être, ce film n'est pas sorti dans les pays francophones. Je souhaite que beaucoup de gens le voient.

jeudi 22 mars 2018

Le sens de la vie

Il y a quelques mois, j'ai écouté "Les recettes du plaisir - La gourmandise" à France culture. Le Dorayaki est présenté, ainsi que le film "Les Délices de Tokyo". Comme je ne l'avais pas encore vu, je l'ai vu récemment. Le film est tourné par la réalisatrice, Kawase Naomi. Son film "Suzaku" a gagné la caméra d'or du Festival de Cannes en 1997, de plus, son autre film "La Forêt de Mogari" a gagné le Grand prix du jury du meme festival en 2007. Elle était membre du jury de ce festival en 2013. Auparavant, j'ai déjà vu ces films. Ce cinéaste tourne beaucoup de films. Je pense qu'elle veut avec acharnement, acquérir la Palme d'or, en voyant ses bandes annonces. Je pense qu'elle ne doit pas tellemetnt se détendre lors d'un tournage.

Quant au film "Les Délices de Tokyo", le protagoniste, Sentaro, travaille dans une petite pâtisserie et il fait des Dorayakis tout seul chaque jour. Il doit rembourser une dette. Le couple qui l'emploie la paye à la place de Sentaro. Ce fait se révèle vers la moitié du film. Tokue, personne âgée, réclame à Sentaro qu'elle veut travailler dans cette pâtisserie, après avoir vu une petite annonce de recrutement collée sur la vitrine de la pâtisserie. Mais, il refuse. Il lui offre un Dorayaki. Après plusieurs jours, elle revient de nouveau et dit à Sentaro: "Les peaux des Dorayakis étaient bonnes, néanmoins, la pâte de haricots rouges n'était pas tellement bonne". Et puis, elle dépose sur un étal la pâte de haricots rouges qu'elle a faite. Sentaro la jette une fois dans une poubelle, mais il la reprend et la goûte. C'est le goût délicieux et inattendu. Il se demande comment Tokue l'a faite. Alors, il décide de l'embaucher. Sentaro avoue à Tokue qu'il utilise de la pâte de haricots rouges toute faite. C'est courant. Je suppose que la majorité de pâtisseries l'utilisent. De bonne heure, Tokue enseigne soigneusement à Sentaro la façon de fabriquer la pâte de haricots rouges.


Je n'ai jamais fait une pâte de haricots rouges jusqu'à maintenant. Ma mère a essayé de la faire plusieurs fois, elle disait: "C'est trop difficile". Dans le film, la scène du processus de cette fabrication est très intéressante. C'est le point de valeur. Elle est montrée comme une conversation avec les aliments, mais sans parole, une telle idée est bien exprimée dans cette scène. De nos jours, tout le monde est affairé, est-ce qu'il traite négligemment la cuisine ? Il faut revenir à l'intrigue. Grâce à la pâte de haricots rouges qu'ils font, leurs Dorayakis se vendent très bien. Mais, la rumeur que Tokue a attrapé la lèpre, court. La femme de ce couple qui a payé la dette de Sentaro entend cette rumeur quelque part. Alors elle ordonne à Sentaro de licencier Tokue. Sentaro est coincé. Il a de la peine à annoncer le licenciement de Tokue. Un jour, il ne va pas travailler, et Tokue fait toute seule des dorayakis et les vend. Cela étonne Sentaro. Il continue de travailler ensemble. Au fil du temps, l'automne arrive. Aucun client ne vient dans leur pâtisserie. Tokue comprend la cause, malgré que Sentaro ne lui ait rien dit.

Au Japon, la loi de prévention contre la lèpre a été abolie en 1996. Les patients atteints de la lèpre étaient mis en quarantaine, et ils étaient obligés de vivre là-bas jusqu'à la mort. À partir de l'abolition, ils souffrent de la discrimination par la société comme dans le film. À la fin du film, la parole de Tokue est diffusée. "Le sens de la vie" dans sa parole raconte l'essence de l'homme. Presque tous les hommes cherchent le propre sens de la vie et ne peuvent pas se libérer de cette entrave. Le récit est larmoyant, le thème du film m'a fait réflechir.

samedi 17 mars 2018

Tornerò

Auparavant, j'ai écrit sur le Karaoké. À vrai dire, je chante souvent des chansons italiennes chez moi, bien que j'apprenne le français. Car, c'est amusant. La prononciation du français est plus difficile que celle de l'italien pour moi. Et pourtant, je ne peux pas tellement comprendre des paroles italiennes. En outre, je chante mal.

Lorsque j'ai présenté le film "L'Histoire du géant timide", il y avait encore deux films français sur lesquels je voulais écrire. C'est le film "Un monde sans femme" et le film "Tonnerre" de Guillaume Brac. Quant au film "Un monde sans femme", un Français qui s'appelle Sylvain est protagoniste. Comme le dit le titre, il est célibataire, d'âge moyen. En été, une mère et une fille visitent une ville au bord de la mer. Sylvain accueille des vacanciers dans un petit hôtel en tant que réceptionniste. Alors, il rencontre ces deux femmes. La mère est très active, elle a un charme sensuel et mûr. Par contre, sa fille est un peu discrète. Mais, elle a aussi un charme frais. Comme Sylvain est timide, il est un type qui ne drague pas tellement les filles. Cependant, il n'est pas trop silencieux, mais, il n'a pas l'occasion de rencontrer des filles, ou il n'y a pas de filles qui le séduisent.


En voyant ce film, je me suis souvenue du film "Le rayon vert". Sylvain n'est pas vacancier, il travaille là-bas. Pour sa part, la rencontre de telles femmes n'est simplement qu'un événement dans sa vie quotidienne. Les deux femmes et lui jouent aux charades, ils vont ensemble en boîte. Est-ce que la vie est un miracle ? Finalement, une chance inopinée arrive pour Sylvain. Dans un sens, la scène finale est heureuse comme dans le film "Le rayon vert".

Ensuite, c'est le film "Tonnerre". Franchement, je ne connaissais pas ce petit village qui se trouve dans la région Bourgogne. Dans le film, il y a une scène où un protagoniste (Maxime) et une héroïne (Mélodie) dégustent un vin blanc dans une cave de vinification. Je ne sais pas boire de la boisson d'alcool, est-ce que ce village est fameux ?


À propos du synopsis, Maxime est musicien, d'âge moyen. Lorsqu'il était jeune, son groupe de musique était un peu célèbre, mais seulement dans le monde de la musique indépendante. Alors, Maxime quitte Paris et retourne au village natal. Son état est instable pour l'avenir. Son père et lui habitent ensemble. Le rythme de leur vie quotidienne est différent, ils se disputent parfois. Une jolie jeune femme qui s'appelle Mélodie est rédactrice dans un petit journal local. Maxime la rencontre. Tout à l'heure, j'ai parlé de la scène dans la cave de vinification. Là-bas, un viticulteur prévoit à ces deux personnes qu'ils seront ensemble. Au fil du temps, ils se rapprochent. Leur relation devient comme cette prédiction. Je pense que Mélodie doit être une déesse pour Maxime. Néanmoins, petit à petit l'attitude de Mélodie devient distante. Elle ne le contacte plus. Déjà, elle tombe amoureuse d'un nouveau petit ami. Précisément, il est son ex-petit ami. Comme celui-ci a un tempérament qui tenait Mélodie dans la contrainte, elle en avait marre. Mais, ils se réconcilient. Maxime affronte cette vérité, et il perd son frêle espoir. Sa colère atteint un paroxysme. Enfin, Maxime guette le couple dans la station du parc souterrain. Il saute sur son petit ami, et l'attaque violemment. En voyant cette scène, je'ai pensé que l'amour-propre des hommes qui s'effondre déclenche une folie et une violence. Dans le cas de Maxime, probablement, son âge a provoqué cette affaire. Au commissariat, le petit ami et lui sont interrogés, mais cet incident est traité comme un triangle amoureux emmêlé. Finalement, Sylvain redémarre sa vie.

À propos, une chanson italienne est utilisée dans le film. Maxime et Mélodie, son père et sa petit amie, dansent, en écoutant cette chanson "Tornerò" d'I santo california. Je voulais la chanter au Karaoké, elle n'était pas dans la machine du Karaoké. C'était dommage.

jeudi 8 mars 2018

Le puisage de l'eau

Le printemps arrive petit à petit. Dans cette saison, la température s'écarte considérablement entre le matin et la journée, cela me fatigue. Une cérémonie religieuse et célèbre (Omizu-Tori) a lieu au Tōdai-ji qui se trouve dans la préfecture de Nara, pendant deux semaines, en mars. Cette information est souvent diffusée à la télé. J'ai connu pour la première fois cette cérémonie, lorsque j'étais collégienne. Un documentaire de NHK sur Omizu-Tori était très impressionnant. J'ai dit à ma mère: "Je voudrais le voir", elle m'a répondu: "Probablement, là-bas, c'est très bondé".


Par quoi étais-je fascinée ? C'est des grandes torches de pin que des dōji (qui s'occupent des aspects matériels de la cérémonie), brandissent et glissent sur une rampe de Nigatsu-dō qui situé à l'est du Tōdai-ji, en courant. Beaucoup d'etincelles tombent. Cependant, la somptuosité, comme des feux d'artifices, lui manque, plutôt la solennité subsiste. La partie principale de la cérémonie n'est pas ces torches, c'est que onze bonzes consacrent six fois par jour leur prière à la confession que la convoitise tenaille les hommes. À l'origine, lors de la troisième prière, onze bonzes montent l'escalier de Nigatsu-dō, des doji les conduisent, en illuminant les pieds des bonzes avec des torches. Ces torches sont devenues grandes depuis l'époque d'Edo, des dōji sont parvenus à faire cette performance.

Lors de lécriture de cet article, j'ai lu le livre "Tōdai-ji Omizu-tori" de Sato Michiko. Comme l'auteur est professeur, l'explication, avec beaucoup de mots bouddhiques, est académique et minutieuse. En lisant, j'ai essayé de me souvenir de ce documentaire que j'ai regardé à la télé. Franchement, je l'ai vu sur DVD encore une fois, il y a six ans. Car, je suis allée à Nara pour la cérémonie avec trois amies à mes 28 ou 29 ans. Ce jour-là, il y avait beaucoup de monde. Des dōji couraient avec une torche, en la glissant sur une rampe. L'ambiance était respectueuse, en même temps, elle était enveloppée par des acclamations et des applaudissements. On dit que si l'on reçoit des étincelles tombantes des torches, cela rend heureux et sain. "Omizu-tori" continue depuis 752. Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, il était à craindre que la cérémonie soit annulée à cause de la pénurie en matériaux. La cérémonie a été perpétuitée chaque année. Des gens d'autrefois ont vu ce spectacle des torches, je me suis demandée comment ils se sont sentis. J'éprouve un lien avec nos ancêtres, en regardant ces torches. Lorsque je vois une pièce de Nô au théâtre Nô, c'est la même émotion. Dans le livre, quelques hypothèses à propos de ces torches sont présentées. Une hypothèse m'intéresse. Le zoroastrisme influence un peu ces torches. Il est possible que l'idée d'adorer le feu soit venue au Japon à travers la route de la soie.

"Omizut-tori (お水取り)" veut dire le puisage de l'eau. Le 13 mars, à une heure du matin, cinq bonzes vont à Akaiya (alias Wakasai) près de Nigatsu-dō qui est un très petit bâtiment, un bonze puise de l'eau bénite. Et puis, les bonzes dédient cette eau à Kannon aux onze visages de Nigatsu-dō. Wakasai est littéralement traduit "le puits de Wakasa". Wakasa est la partie ouest de la préfecture de Fukui. Une autre cérémonie qui concerne "Omizu-tori" a lieu le 2 mars, c'est "Omizu-okuri (お水送り= l'envoi de l'eau)". On dit qu'un bonze envoie (précisément verse) l'eau bénite dans la rivière (Onyuugawa), et que cette eau arrive à Wakasai de Nara. Beaucoup de bonzes partent de Jingū-ji, ils défilent avec des torches jusqu'à la rivière (environ 2 km). Des visiteurs peuvent participer au cortège avec une torche. Je voudrais y participer un jour.

samedi 3 mars 2018

Una lacrima sul viso

La semaine dernière, avant que j'aille au cinéma, j'ai passé au karaoké pour chanter. Évidemment, j'ai séché le travail. Une amie cinéphile a présenté un compositeur japonais Tsutsumi Kyōhei qui crée beaucoup de chansons populaires, dans son blog. Cela l'a tenté d'aller au karaoké. La dernière fois que je suis allée au karaoké, c'était il y a plus de dix ans. À ce moment-là, l'évolution de la machine du karaoké m'a étonnée. Après avoir chanté une chanson, la quantité de calories consommées est montrée sur l'écran.

Cette fois, il n'y a pas de télécommande, on peut réserver préalablement beaucoup de chansons qu'on veut chanter, avec une tablette. De plus, le tarif m'a surprise. Trois heures par personne, en semaine, a seulement coûté 500 yen (environ 3,8 euros). S'ajoute à cela, la boisson en libre-service (le café, le thé, le jus d'orange, le Coca-Cora etc.) était gratuite. Est-ce que c'est la déflation ? Lorsque j'étais lycéenne, j'allais parfois au karaoké avec mes camarades de classe. Une fois, on a fait une règle stupide qu'il ne faut pas chanter la chanson que quelqu'un a chantée. Et alors, on a continué de chanter pendant huit heures. Chaque fois que l'on a fini de chanter une chanson, on a noté le titre de la chanson sur un papier. Pourquoi on s'est plongé dans le karaoké ? Quant au tarif, une heure par personne était 1000 yen (environ 7,6 euros), sans la boisson. C'était exorbitant !

À propos, cette fois, quelle est la chanson que j'ai chantée ? J'ai essayé de chanter des chansons italiennes et françaises. Car, j'ai chanté beaucoup de chansons japonaises jusqu'à maintenant. Et pourtant, la plupart des chansons étrangères sont en anglais. Celles en italien et en français sont très peu. Cela m'a désappointée.

En chantant, j'ai aperçu plusieurs fautes d'orthographe dans les paroles. Les indications de la prononciation en Katakana sur les paroles étrangères m'ont gêné. Pendant trois heures, j'ai chanté environ quinze fois une chanson. Quelle folie ! C'est la chanson italienne "Una lacrima sul viso" de Bobby solo. Auparavant, lorsque j'apprenais l'italien, je l'ai souvent chanté chez moi. Comme le tempo est lent, j'ai pu mémoriser ces paroles. Où est-ce que j'ai connu cette chanson ? Elle est utilisée dans le film "5×2" de François Ozon. Je pense que les chansons choisies par lui sont de bon goût. J'ai présenté la chanson allemande "Tanze samba mit mir" de Tony Holiday dans mon article sur le film "Gouttes d'eau sur pierres brûlantes". Peut-être, la séléction des chansons qui sont utilisées dans ses films reflètent la préférence de ce cinéaste.

Quant à l'intrigue du film "5×2", il décrit, à partir de la rencontre entre un homme et une femme jusqu'à leur divorce, leur vie conjugale, en remontant l'écoulement du temps. Le titre signifie qu'il y avait cinq éléments de la rupture dans leur relation. À la fin du film, le passé resplendit admirablement, les souvenirs sont embellis. Au début du film, après la procédure de divorce, Marion (Valeria Bruni Tedeschi) et Gille (Stéphane Freiss) font l'amour, il lui propose la réconciliation. Mais elle ne répond pas et ferme la porte. Pour ma part, les gros seins de Valeria Bruni Tedeschi a rivé mes yeux. Alors, Marion s'en va et marche dans le couloir d'un hôtel, la chanson "Une lacrima sul viso" est diffusée. Pourquoi ils font l'amour après la procédure de divorce, je ne comprends pas. Est-ce que c'est une commémoration dans un sens ?


En voyant le film, je me suis souvenue du film "Scène de la vie conjugale" d'Ingmar Bergman. Il m'a semblé que le film de Bergman décrit comment un couple maintient la vie conjugale. À vrai dire, j'ai divorcé en 2012. Non seulement les bons moments adviennent, mais aussi les mauvais moments arrivent dans le mariage. Cela épuise l'un l'autre. On est confronté à des idées différentes, chacun défend son égo. C'est la vie. Il vaut mieux que le couple ne voie pas ensemble ces deux films.