mercredi 29 avril 2020

An Elephant Sitting Still

J'ai acheté un billet de représentation de Nô au début de février. Cependant, cette représentation a été annulée et le billet a été remboursé la semaine dernière. Je retourne chez ma mère chaque week-end. Je prie devant l'autel familial de mon père et lui adresse une parole: "Maintenant on entre dans une période difficile. Il est possible que j'attrape le covid-19 et meure." Je travaille comme d'habitude. Que puis-je écrire dans cette situation ? En ce moment, j'écoute le groupe chinois de musique "Hualun". Lorsque j'écrivais l'article "La rémanence de disques", j'ai pensé que les genres musicaux sont segmentés et donnent plus que jamais lieu à des croisements. Le genre de "Hualun" appartient au post rock, je ne sais pas qui a qualifié "le post rock", à vrai dire, je ne sais pas comment on l'identifie. Autrefois, j'écoutais des albums de "Tortoise", je peux imaginer en gros la musique du post rock. L'année dernière, j'ai vu le film "An Elephant Sitting Still". La durée du film est très longue, 234 minutes. Lorsque j'ai vu cette bande annonce au cinéma, cela m'a tenté. La musique de Hualun est utilisée dans ce film.

Il m'a semblé que l'atmosphère du film est similaire à celle de film "A Brighter Summer Day" d'Edward Yang. Quant à l'intrigue de "An Elephant Sitting Still", les histoires des quatre protagonistes principaux se déroulent simultanément, et ces personnes se croisent parfois. Un matin, le premier protagoniste, Cheng, sort du lit de son meilleur ami, la femme de celui-ci à ses côtés, mais son ami rentre brusquement à la maison et dit à Cheng qui se cache derrière l'armoire "C'est toi !!" Ensuite il saute par une fenêtre de l'appartement et meurt. Le deuxième protagoniste, Jin, est une personne agée, son beau fils le supplie d'emménager dans une maison de retraite. Comme sa petite fille commence à aller à l'école primaire, le beau fils espère que sa famille déménage dans un quartier pratique pour la scolarité de sa fille. Le troisième protagoniste, Bu, est lycéen, il est sermonné par son père presque chaque jour. Lorsque son ami Kai et lui vont ensemble au lycée, Kai lui dit qu'il n'a pas peur du voyou du lycée, Shuai, en montrant un pistolet. Kai est soupçonné du vole du smartphone de Shuai. La quatrième protagoniste, Ling, est une camarade de classe de Bu. Son appartement est en désordre, il y a une fuite dans toilettes. Elle se prépare pour aller à l'école tantdis que sa mère pousse des cris.


Shuai et ses subalternes se présentent devant Bu et Kai au lycée. Bien que Ling ait conseillé Bu: "Comme le frère de Shuai est loubard, il vaut mieux n'avoir à faire à Shuai." Mais Bu défend son ami Kai et réplique à Shuai: "Kai n'a pas volé pas ton smartphone". Ils se battent sur le palier d'un esclaier. Shuai tombe dans les escaliers et est envoyé à l'hôpital. Le frère de Shuai qui est le premir protagoniste, Cheng, vient au lycée pour chercher Bu. Bu prend le bus pour voir sa grand-mère et ramasse une publicité du cirque de Manzhouli. Malheureusement, sa grand-mère est déjà morte à l'insu de tout le monde. Jin se promène comme d'habitude avec son chien. Un grand chien blanc perdu mord son chien et s'enfuit. Son chien est en sang. Jin cherche et trouve le propriétaire de ce grand chien blanc, ce propriétaire est fâché de l'accusation de Jin. Bu monte dans un taxi afin d'échapper à Cheng. Par hasard, il rencontre Jin. Bu et lui habitent tout deux le même immeuble à des étages différents. Bu demande à Jin de lui prêter de l'argent, mais il refuse. Comme le propriétaire du grand chien blanc suit Jin, Bu l'aide et il lui donne l'argent.

Au même moment, la femme du meilleur ami de Cheng lui dit qu'elle n'a pas avoué la vérité au policier. Néanmoins, Cheng est coupable de péché depuis ce matin. Il va voir une femme qu'il aime. On ne sait pas ce qu'il s'est passé entre eux. Cheng lui raconte l'histoire de suicide du matin, elle écoute et le blâme. En revanche, Cheng s’oppose à elle: "Parce que tu ne me vois pas !!" Elle s'en va. Ling visite un hôtel pour un rendez-vous avec son professeur comme d'habitude. Dans la chambre d'hôtel, une amie envoie à Ling un message selon lequel une vidéo où on voit Ling et son professeur circule parmis des élèves au lycée. Alors, ce professeur se met en colère et lui fait des reproches: "Notre relation est finie complètement ! C'est de ta faute !!" Elle est désespérée.

Bu voit son ami Kai dans un bâtiment commercial. Kai lui raconte la vérité, il a bien volé le smartphone de Shuai. Il lui explique que la vidéo où Ling et son professeur se voyaient est enregistrée dans ce smartphone. Bu se sent trahi et s'en va sans un mot. De son côté, Jin parle de la mort de son chien à sa famille. Et pourtant, son beau fils et sa fille lui répondent que la mort de son chien lui donne une bonne occasion d'emménager dans la maison de retraite. Jin pense qu'ils sont impitoyables. La mort de son chien se superpose à sa propre mort. Ling retourne chez elle, sa mère lui demande si elle a couché avec son professeur. Le professeur et sa femme arrivent. Elle devient hystérique et crie. Ling ne peut pas supporter cette situation, son sentiment explose. Avec une barre de fer elle bat son professeur et sa femme. Ensuite, elle sort.

Jin enlève sa petite fille, quand sa fille fait les courses. Ils vont à la gare, et Jin achète deux billets de train pour Manzhouli. Le jour commence à tomber. Un homme inconnu qui vend des billets devant la gare adresse à Bu la parole, et Bu achète un billet de train pour Manzhouli. Mais il se rend compte que ce billet est faux. Il s'en plaint à l'homme qui l'ignore et ne rend pas l'argent. Il emmène Bu dans un endroit où plusieurs subalternes de Cheng l'attendent. Cheng apparaît, Bu pense qu'il va se faire tuer, mais Cheng lui demande où il a l’intention d’aller, Bu lui répond: "A Manzhouli". Cheng ordonne à un subalterne d'acheter un billet pour Manzhouli. Il lui dit: "Tu as tué un homme. Un jour, tu seras arrêté." Il lui sourit tout à coup. Je pense que Cheng ressent qu'en partie, la personnalité de Bu ressemble à la sienne. Bu lui sourit à son tour. À cet instant, Kai vient aider Bu, en prenant le pistolet. Il dit à Cheng: "Lâche Bu !" Bu dit sarcastiquement à Kai: "C'est bien que tu deviennes un héro dont tout le monde a peur." Cheng commence à rire à cause de cette conversation. Ensuite, Kai dt: "J'en ai marre de ce monde !" Un coup de feu éclate... …Il s’est tiré une balle dans la tête. Il me semble que cette réplique reflète la voix du cœur de cinéaste Hu Bo. Car, il s'est suicidé en 2017.

À la gare, Bu et Ling tombe sur Jin et sa petite fille. Mais il n'y a plus de train pour Manzhouli. Jin va retourner à la maison, et il dit à Bu, comme s'il se persuade lui-même: "On peut aller n'importe où. et puis, on comprend que les lieux sont les mêmes qu'en cet endroit. Cela se repète. Donc, je me trompe moi-même avant de partir. Cette fois-ci est différente des précédentes. Tu vois ? Tu attends encore quelque chose. La meilleur solution est de rester ici et regarder l'autre côté." Cette réplique qui exprime une capitulation de la vie a failli me faire verser des larmes au cinéma. Pourtant, Bu propose à Jing d'aller ensembe à Manzhouli en bus. Le bus dans lequel ils sont montés roule dans la nuit. En descendant à la station du terminus, ils entendent des cris d'éléphant. On ne sait pas si ces cris sont une hallucination auditive ou non. C'est la fin.

Je n'ai pas pu écrire brièvement le synopsys, car une journée entière des quatre protogonistes principaux est décrite. Non seulement, ce film représente la société contemporaine en Chine, mais dit aussi que vivre est toujours pénible, on est accablé à cause de cela quelle que soit la génération. Ajoutée à cela, la musique de Hualun qui résonne dans plusieurs scènes me froisse et me rend mélancolique. Je ne pourrai pas voir le prochain film de Hu Bo. Pourquoi s'est-il suicidé ? C'est vraiment dommage. Est-ce qu’un sentiment d'impuissance a miné le cœur du cinéaste ?  Est-ce que son désespoir a fait ce film ? Ces choses me poussent à écouter la musique de Hualun. La bande son de "An Elephant Sitting Still" est bien. En outre, je vous recommande leur album "Asian River" qui est sorti en 2010. Particulièrement, le dernier morceau, "Shanghai Tourist", est une mélodie asiatique nostalgique. Mais, ce n'est ni vieux ni nouveau. Je peux me détendre à la maison.


mercredi 22 avril 2020

L'Intendant Sansho

Dans l'article "La lecture nourrit l'esprit" que j'ai écrit la semaine dernière, ma mère voulait lire "La Peste" d'Albert Camus. Alors, j'ai essayé de réserver ce livre sur le site de la bibliothèque municipale. 88 réservations du roman "La Peste" sont apparues sur l'écran. Cela m'a étonnée. Que'est-ce qui se passe ? Est-ce que, dans un sens, la littérature est ressuscitée ? Le coronavirus incite quelques personnes à la réflexion et à l'introspection, cela leur donne une occasion de lire ce roman. Tout à l'heure, j'ai lu des informations sur Internet, le livre "La Peste" est très vendu maintenant. C'est un phénomène à l'echelle mondiale. Quel ironie.

Comme je ne peux pas aller au cinéma, j'ai vu un film d'animation japonais sur Amazon Prime. C'est "Anju et Zushiô". Bien que ce soit de l'animation, j'ai versé des larmes à la scène finale. En général, le film d'animation n'est pas tellement connu. Le film japonais "L'Intendant Sansho" de Mizoguchi Kenji est plutôt plus populaire que cette animation car il a été couronné du Lion d'argent à la Mostra de Venise en 1954. Le film est basé sur le roman éponyme de Mori Ōgai. Le contenu des deux films est presque le même, mais, il y a quelques différences. Dans l'ère Shōwa, le ministère de l'Éducation a recommandé ce film d'animation car les scènes atroces n'y figurent pas.


Je ne sais pas pourquoi trois animaux (un petit ours, un chien et un souris) sont personnifiés et aident Anju et Zushiô comme des serveurs. Ils sont mignons pour les enfants. À propos, Anju et Zushiô sont sœur et frère. Dans le roman comme dans ce film d'animation, Anju est plus âgée que Zushiô. Mais, dans le film de Mizoguchi, il est plus âgé qu'elle.

Présentons brièvement l'intrigue. Le père de Zushiô et Anju est rétrogradé dans une région lointaine. Ils partent avec leur mère pour aller voir le père. Malheureusement, ils sont dupés et kidnappés par des gens qui font le trafic d'esclaves. Leur mère est vendue en tant que prostituée à Sado qui se trouve dans la préfecture de Niigata. Zushiô et Anju travaillent en tant qu'esclaves dans le fief du cruel intendant Sansho.

Environ dix ans s'écoulent. Un jour, Zushiô et Anju s'enfuient. Un bonze aide Zushiô à fuir. Mais, comme Anju court plus lentement que son frère, elle renonce. Et puis, elle entre dans la mer pour se suicider. Cette scène est à la fois suprême et divine. J'estime que la scène offre à contempler aux spectateurs médusés une beauté saisissante. La technique du directeur de la photographie Miyagawa Kazuo est avérée. C'est une apothéose dans ce film. Je me demande si c'est une louange au suicide. Finalement, Zushiô peut parvenir tant bien que mal à Kyoto, et il demande directement au régent pourquoi son père est rétrogradé. Le régent lui répond que son père est déjà mort. Heureusement, Zushiô devient gourverneur de Tango grâce à l'ordre de la dynastie.

Dès qui'il arrive à son fief de Tango, et il interdit le trafic des esclaves et confisque les possessions de l'intendant Sansho. Ensuite, il visite Sado à la recherche de sa mère. Elle a vieilli et est devnue aveugle. Tanaka Kinuyo joue le rôle de cette mère. Elle est une grande actrice japonaise. L'amertune de cette mère pendant environ dix ans émane de son corps. C'est une deuxième apothéose. Zushiô finit par revoir sa mère. Ils s'embrassent. J'ai sangloté. La caméra se troune lentement ver la mer aux eaux calmes. C'est la fin.


Si au lieu de la mer, la scène où ils s'embrassent était la scène finale, ce film serait banal. L'existence de la mer est immuable. Un homme naît et meurt, sans rapport avec la nature. Ce contraste est la providence naturelle. Même si une histoire cruelle se déroule, la Terre tourne aujourd'hui aussi. En voyant la même scène finale dans le film d'animation "Anju et Zushiô", j'ai pleuré, bien que je connaisse déjà ce synopsis. Je comprends bien le sentiment d'Anju pour protéger son frère. Moi aussi, j'ai un frère, il a trois ans de moins que moi. Comme il a une femme,  une fille et un fils, je souhaite profondément qu'il vive plus longtemps que moi et puisse voir ses petis enfants. Je n'ai pas d'enfant, je vais mourir toute seule. Je ne veux absolement pas causer de problèmes à mon frère, mais, qui s'occupera de mon corps ? Ce n'est pas nécessaire d'y penser après ma mort.

dimanche 12 avril 2020

La lecture nourrit l'esprit

Je vais au travail en semaine comme d'habitude. Le 7 avril, le gouvernement japonais a déclaré l'état d'urgence. Mais, c'est seulement pour sept préfectures. Cette déclaration n'est pas du même niveau de confinement qu'en France. Il n'est pas nécessaire d'avoir une attestation de sortie, une amende n'est pas infligée. Est-ce que le gouvernement sous-estime le covid-19 ? Il y aura un bouleversement dans la situation d'ici deux à trois semaines. Le premier ministre Abe Shinzo a appelé le peuple japonais à ne pas sortir si possible. En regardant cette conférence de presse sur Internet, j'ai pensé: "Ne te moque pas de moi !! La majorité du peuple japonais est fâchée." L'État japonais ne paie pas le chômage partiel sous l'état d'urgence. Finalement, tout le monde est obligé de travailler comme d'habitude. Le télétravail n'est pas répandu au Japon. Il ne fait aucun doute que l'épidémie n'arrêtera pas de se propager. Le gouvernement a jugé que l'économie est prioritaire sur la vie du peuple japonais. Le nombre de suicides augmentera au Japon. Le 1er avril, ce premier ministre a dit: "Le gouvernement distribue deux masques en tissu à chaque ménage". Est-ce que cette parole est un poisson d'avril ? Le Japon est devenu complètement fou !

Pendant le jour férié de l'équinoxe de printemps (le 20 mars), le samedi et dimanche (le 21 et 22), il y avait beaucoup de gens qui visitaient Kamakura et Toshimaen (un parc de loisirs qui se trouve à Tokyo), des informations de ce spectacle ont été diffusées à la télé. Ma mère m'a dit que cette situation n'était pas bien. Elle avait raison. Les japonais n'ont pas pris tellement de risques. Beaucoup d'événements ont été annulés. Les informations sur la progression du coronavirus dans d'autres pays ont été diffusées chaque jour, est-ce que le peuple japonais pensait qu'une telle situation tragique n'arrivait pas au Japon ? On ne peut pas prévoir ni prévenir un séisme, et pourtant, en voyant ces informations, on peut faire tout son possible pour essayer de prévenir le coronavirus.

J'avais l'intention d'aller au cinéma il y a deux semaines pour voir le film suisse "L'Âme-sœur" de Fredi Murer. Car, j'ai attendu ce film plus de vingt ans. Je n'ai pas pu trouver sa vidéo ou DVD. Alors, j'y ai renoncé comme à mon cours de français. C'est la vie. Un correspondant français corrige cet article. Il est gentil. Ma mère m'a dit qu'il valait mieux éviter le cinéma pour l'instant. Après la décision de l'ajournement des Jeux Olympiques, le nombre de gens contaminés de Tokyo a augmenté tout à coup. Est-ce que c'est une tentative de dissimulation ? À propos, Est-ce que vous savez qu'on ne peut pas facilement passer un test PCR au Japon ? Il y a des critères. Une personne qui a de la fièvre (plus de 37.5°C) depuis quatre jours, un symptôme respiratoire, un malaise grave etc., peut passer ce test PCR. On dit que ce critère est pour prévenir l'infection nosocomiale. Néanmoins, des infections nosocomiales arrivent déjà.

Cette fois, est-ce que ce virus interroge tout le monde sur les problèmes de la globalisation. Par exemple, beaucoup d'usines ont été délocalisées par des patrons d'entreprises pour diminuer le coût de la main-d'œuvre. Alors, beaucoup d'employés sont licenciés et deviennent chômeurs. La disparité économique creuse un écart encore grand. Quant au secteur touristique, les pays européens, l'Amerique, et aussi le Japon escomptaient la rentabilité des touristes chinois pendant les vacances du nouvel an chinois. En outre, la mojorité des usines chinoises sont déjà considérables comme les usines du monde. En particulier, de grandes entreprises japonaises dépendent de la chaîne chinoise d'approvisionnement, comme les pièces détachées qui n'arrivenet chez les constructeurs automobiles pour fabliquer des vehicules. C'est la réalité. Est-ce qu'on se trouve à la croisée des chemins dans l'histoire de l'humanité ?

Je pense que le covid-19 est exactement la peste contemporaine. On ne peut pas prévoir que ce virus s'arrête complètement. Maintenant, ma mère veut lire "La Peste" d'Albert Camus. La bibliothèque est fermée, ma mère s'en plaint. La lecture nourrit l'esprit.

samedi 4 avril 2020

Les palmiers au chocolat

Je ne peux pas sortir à cause du Coronavirus. Comme il vaut mieux rester à la maison, j'ai fait pour la première fois des palmiers au chocolat. Parce que j'ai vu par hasard une recette de palmiers sur Internet q'une cuisinière japonaise Tassin Shima avait présentée. Auparavant, ma mère m'a informé qu'elle était célèbre.

Genji pai
Ces gâteaux "Palmiers" sont vendus au Japon. Lorsque je suis allée en France pour la première fois, j'ai su qu'ils s'appellaient "Palmiers". En général, on les appelle "源氏パイ(Genji pai)" au Japon. C'est le nom du produit. Pourquoi "Genji (= le clan Minamoto)" est utilisé ? Quel est rapport entre ces gâteaux et le clan Minamoto ? J'ai vérifié le site officiel d'une compagnie de "Genji pai". Il n'y avait pas l'origine du nom du produit. Selon l'explication de Wikipédia, quand un employé réfléchissait au nom du produit à la manière japonaise, il a su qu'une série, "Minamoto no Yoshitsune", qui est issu du clan de Minamoto, serait diffusée sur NHK l'année suivante. Finalement, le nom du produit a été nommé "Genji pai". C'est une histoire drôle.

Je suis très faible en cuisine. Et cependant, je peux cuisinier grâce à Internet, d'une façon ou d'une autre. C'est vraiment pratique. À propos, lorsque je fais une quiche, j'hésite à acheter une pâte feuilletée. C'est cher et en outre ça contient de la margarine et la graisse alimentaire. Je pense que ce n'est pas bien. Comme d'habitude, j'utilise un robot de cuisine pour pétrir la pâte. Et puis, je la laisse dans le frigo pendant une heure, et après je fais des feuilletages.

À vrai dire, jusqu’à présent, je ne savais pas la différence entre la pâte birsée et feuilletée. Lorsqu'on fait une quiche, il faut préparer une pâte brisée. En revanche, dans le cas du mille-feuille, il faut préparer une pâte feuilletée. Cette fois, j'ai fait une pâte brisée pour le palmier. Etait-ce une mauvaise idée ? Je n'ai jamais suivi de cours de base en pâtisserie. De plus, selon l'explication d'Internet, il faut pétrir la pâte le moins possible pour éviter une trop grande teneur en gluten. En revanche, pour la pâte feuilletée, on pétrit d'abord une détrempe, ensuite on fait des couches de beurre, puis on abaisse pour obtenir des couches alternées. J'ai vu tout à l'heure une recette de pâte feuilletée, il me semble que c'est ennuyeux.

Le résultat de mes palmiers et qu'ils n'étaient pas croustillants en bouche. Quand je les ai enduits de chocolat fondu, je crois que cette pâte était un peu molle, et ces parmilers étaient un échec. La raison en est simple: Il aurait fallu faire une pâte feuilletée. Car, la pâte feuilletée utilise de la farine forte qui apporte de croustillant. Un jour, je veux relever le défi encore une fois.