J'ai commencé à lire "Divine Comédie" Dante Alighieri (en japonais) à partir de la fin de l'année dérnière, j'ai mis à peu près deux mois à finir ce livre. Comme je ne suis pas chrétienne, j'avoue que je ne l'ai rien compris. Franchement, combien d'italiens l'ont lu? Il n'y a pas de telle stastique ?
Quels sont les motifs qui m'ont amené à lire "Divine Comédie" ? Premièrement, j'avais déjà écrit en janvier, j'apprenais l'italien pendant deux ans et demi, ça m'interessait. Cet ouvrage est écrit en langue vulgaire florentine. Dante a été critiqué dans le milieu intellectuel. De ce point de vue, j'évoque une personne japonaise, c'est Ki no Tsurayuki (紀貫之, l'epoque de Heian). Il a écrit "le Journal de Tosa"(土佐日記) en japonais. À cette époque, les hommes intellectuels ecrivaient en chinois classique (comme le latin) , il a osé se servir du japonais. Deuxièmement, Krzystof Kiéslowski a essayé de tourner trois films qui sont basés sur "Divine Comédie". J'ai visité son tombeau à Varsovie en 2003. Pour quelle raison il a été inspiré par cet ouvrage? Je voulais la savoir. Après l'avoir lu, je me suis rendue compte que une partie de Paradiso (Canto Ⅱ) avait été utilisé dans un film "La double vie de Véronique". J'ai vu ce film pleusieurs fois, il me semble toujours que l'âme de Weronika (Pologne) guide Véronique (France). En général, on choisit beaucoup de choses soi-même dans sa vie. Mais il est vraiment que l'on le choisit soi-même? Quelque chose émouvante et inexplicable hors de la théorie et de l'idée, elle nous guide dans le choix? C'est-à-dire l'âme ou le sixième sense, on ne le sait pas, mais un peu exagéré. Je me disais que les paroles d'une scène avaient été fait par ce cinéaste. Cette musique est sublime. Je n'ai pas remarqué jusqu'à maintenant que Weronika chantait en italien dans le film. Quelle bêtise, je suis ignorante. Les paroles m'ont plaisaient, j'ai noté ce sous-titre en japonais sur mon carnet. Cette fois, j'ai écrit ça pour pouvoir me rappeler n'importe quand.
O voi che siete in piccioletta barca,
desiderosi d'ascoltar, seguiti
dietro al mio legno che cantando varca,
tornate a riveder li vostri liti:
non vi mettete in pelago, ché forse,
perdendo me, rimarreste smarriti.
L'acqua ch'io prendo già mai non si corse;
Minerva spira, e conducemi Appollo,
e nove Muse mi dimostran l'Orse.