Ma mère va bien. Après le diagnostic et le résultat d'examen d'urine et de sang, ma mère m'envoie toujours un message. Pendant le repos de déjeuner, je lis son message. Elle me dit souvent que la date du diagnostic est comme le jugement du tribunal pour elle. Cette expression me fait sourire. Je me demande jusqu'à quand ma mère ira bien, il est possible que je meure avant elle.
À propos, je suis allée pour la première fois à une représentation de 落語(rakugo), car une connaissance n'a pas pu y aller. Franchement, je ne connais pas tellement le nom de 落語家(rakugoka). Cette représentation était pleine, la proportion des spectateurs entre les hommes et les femmes était environ 6:4. On dit qu'on ne peut pas tellement obtenir la représentation du rakugoka Yanagiya Kyotaro. En voyant la publicité avec laquelle une connaissance m'a envoyé le ticket, j'ai vu son visage dans une publicité de la bière sur la télé. Avant la représentation, j'ai vaguement observé des spectateurs, la majorité des spectateurs avaient plus de cinquante ans.
Qu'est-ce que c'est 落語(rakugo) ? C'est une sorte d'art de la narration. 落語(rakugo) est 落ちを語る(Oti wo kataru), donc, en racontant une petite histoire, finalement la chute d'une blague est révélée. Premièrement, l'histoire "粗忽の使者(sokotu no shisya)" a été montrée par Yanagiya Kyotaro. Le héros est un samouraï, Jibuta Jibuemon. Il est très étourdi. Cela amuse son seigneur. Jibuemon est le favori du seigneur. Un autre samouraï entend cette rumeur, il demande à une connaissance de faire venir Jibuemon en tant que messager. Jibuemon est plus enthousiaste que d'habitude. Il visite le manoir du samouraï et salue un chef de service. Mais, il lui avoue qu'il a oublié le message. Jibuemon lui dit: "Quand j'oublie quelque chose, quelqu'un pince mes fesses, je peux me le rappeller, depuis mon enfance." Le chef de service essaie de pincer ses fesses. Pourtant ses fesses sont comme des écailles, parce qu'elles sont pincées depuis longtemps. Le chef de service appelle une personne qui a de la force des les doigts. Elle dit à Jibuemon: "Ne fais pas demi tour !" Elle pince ses fesses avec une pince. Enfin il crie : "J'ai pu me rappeler." Et puis, elle lui demande: "Bien ! Et alors, quel message ?" Il lui répond: "Lorsque je suis sorti du manoir, je n'ai pas écouté le contenu du message." C'est la fin.
En étant assis, le ton de voix et la modulation de narrer ont changés. Cependant, il y avait parfois des gestes. La narration de Yanagiya Kyotaro est très technique. Cela m'a intéressé. Cette histoire "sokotu no shisya" est une sorte de classique rakugo. Après cette narration, Yanagiya Kyotaro a parlé: "J'ai fini tout à l'heure un classique rakugo, je suis maintenant rassuré." Je me suis demandée pourquoi. Le classique rakugo est raconté jusqu'à maintenant par de nombreux rakugoka. Probablement, c'est un objet de comparaison. Et après, il a représenté un nouveau rakugo "路地裏の伝説(la légende d'une ruelle)". J'omets ce contenu, c'était drôle.