Je fais des dictées autant que possible, en fait, j'en fais une fois tous les deux mois environ pour l'instant. Sur le site de dictée (http://www.ladictee.fr/) que j'utilise, il y a des niveuaux variés, je fais deux dictées par niveau, à partir du CM1 jusqu'à la 3ème. Ils sont aussi intéressants pour leur qualité littéraire, par exemple Connan Doyle, Alphonse Daudet, Marcel Pagnol, Émile Zola et Arthur Rimbaud etc. Chaque langue organise ses phrases, leur fluiditéde de maniere diffrente. À travers la dictée l'importance de son, des liaisons sont mises en valeur, et puis n'est pas le cas dans la lecture. Je n'ai pas de la peine à faire des dictées dans ma langue maternelle. En français, tout à coup, c'est trop difficile pour moi. Chaque fois que je la fais, lors de la correction, il y a beaucoup de fautes. Cela m'accable. Néanmoins, je comprends bien que la dictée soit indispensable pour l'apprentisage du français, parce que la dictée égale l'exercice des caractères chinois à l'école primaire. Si vous apprenez le japonais, les caractères chinois seront ennuyeux. Une caractère chinois peut être lu de deux prononciations différentes (音読み onyomi et 訓読み kunyomi), c'est compliquée. Je n'ai pas besoin de faire attention au type de lecture (音読み onyomi et 訓読み kunyomi), lorsque je lis les textes en japonais. La majorité des étrangers lisent un texte en japonais, seront probablement en difficulté à cause des caractères chinois inconnues, comme lorsque je lis un texte en français, et je rencontre un mot inconnu. Dans ces momonts là, je parle souvent à moi-même et m'enrage "Qu'est-ce que c'est ce mot ?".
Nous (les Japonais) apprenons les caractères chinois élémentaires (常用漢字 jyouyou kanji) que le Ministre de l'Education a décidé, et puis nous faisons beaucoup de devoirs des excercices des caractères chinois (漢字ドリル Kanji drill) à l'école primaire. Un petit examen des caractères chinois avait lieu plusieurs fois par semaine. Cela dépendait de l'école primaire et d'insituteur. L'examen me déprimait toujours. Mais aujourd'hui j'estime que c'était nécessaire. Beaucoup de Japonais ne savent pas lire et écrire correctement des caractères chinois, moi non plus, et trop souvent. Parce que l'on ne lit pas suffisament de livres, et on utilise les ordinateurs et leur correction automathique qui nous empèche d'écrire, d'apprendre vraiment.
L'année dernière, je ne connaissais pas le mot "chaux" dans un texte de dictée, j'ai écrit "à la chaud" (vous auriez ri), je me disais que c'était bizarre, et que le nom qui correspond à adjectif de "chaud" est "chaleur". Après cette correction, j'ai consulté le dictionnaire. Certains mots qui concernent la catégorie architecturale (le toit, le mur, le seuil etc.) existaient dans le texte, j'ai bien compris maitenant le mot "chaux". En tout cas, je jugeais que je n'avais pas d'occasion de utiliser ce mot. Lors de la lecture du livre "Étranger" en janvier, j'ai rencontré encore le mot "chaux". Il est toujours plus intéressant de connaitre un maximum de vocabulaire, mais personne ne connaît tous les mots d'une langue. C'est un travail infini.
(Une amie a pris ces photos de Kanji drill de ses enfants. Merci !)
Nous (les Japonais) apprenons les caractères chinois élémentaires (常用漢字 jyouyou kanji) que le Ministre de l'Education a décidé, et puis nous faisons beaucoup de devoirs des excercices des caractères chinois (漢字ドリル Kanji drill) à l'école primaire. Un petit examen des caractères chinois avait lieu plusieurs fois par semaine. Cela dépendait de l'école primaire et d'insituteur. L'examen me déprimait toujours. Mais aujourd'hui j'estime que c'était nécessaire. Beaucoup de Japonais ne savent pas lire et écrire correctement des caractères chinois, moi non plus, et trop souvent. Parce que l'on ne lit pas suffisament de livres, et on utilise les ordinateurs et leur correction automathique qui nous empèche d'écrire, d'apprendre vraiment.
L'année dernière, je ne connaissais pas le mot "chaux" dans un texte de dictée, j'ai écrit "à la chaud" (vous auriez ri), je me disais que c'était bizarre, et que le nom qui correspond à adjectif de "chaud" est "chaleur". Après cette correction, j'ai consulté le dictionnaire. Certains mots qui concernent la catégorie architecturale (le toit, le mur, le seuil etc.) existaient dans le texte, j'ai bien compris maitenant le mot "chaux". En tout cas, je jugeais que je n'avais pas d'occasion de utiliser ce mot. Lors de la lecture du livre "Étranger" en janvier, j'ai rencontré encore le mot "chaux". Il est toujours plus intéressant de connaitre un maximum de vocabulaire, mais personne ne connaît tous les mots d'une langue. C'est un travail infini.
Je te confirme qu'apprendre les Kanji est difficile :-)
RépondreSupprimerEn Français certain mot se prononce pareil, mais l’orthographe et le sens sont différents: chaud/chaux, verre/vers/vert, ...
En Japonais le même Kanji peut avoir plusieurs sens, et des prononciations différentes. C'est une difficulté pour moi.
Fabien
Bonjour Fabien, comme tu as écrit,
Supprimerje suis confondue ces trois mots(verre,vers,vert).
les caractères chinois dans le japonais ont quelques prononciations différentes,
c'est très embêtant pour les Chinois.
Parce que les caractères chinois dans le chinois,
en principe une caractère chinois a seulement une prononciation.
Évidemment il y a des exceptions.
Tu as bien raison, mais je pense que ton français est très bon ! Beaucoup rêverait de parler une langue étrangère comme toi avec le français !
RépondreSupprimerBonjour Rudy, avant corriger cet article,
Supprimeril y avait beaucoup de fautes.
Le chemin de la langue étrangère est long.
Mon intérêt de cette langue ne se tarit pas.