L'année dernière, j'ai lu le livre "Tristes tropiques" de Claude Lévi-Strauss. Un phénomène physique (le rayon vert) a été décrit un peu dans ce livre. Cela m'a évoqué le film "Le rayon vert" d'Éric Rohmer, il y a une scène où quatre dames racontent ce phénomène physique et parlent du livre "Le rayon vert" de Jules Verne le long de la mer à Biarritz. Quand j'avais la vingtaine, ce film m'a bien plu. Je voulais lire aussi ce livre de Jules Verne un jour. Cependant, je l'ai oublié, comme d'habitude. En novembre, j'ai lu le livre "De l'inégalité parmi les sociétés" de Jared Diamond. Dans le livre, le livre "Tristes tropiques" est présenté un peu. Et alors, j'ai pu encore me souvenir du livre "Le rayon vert". Enfin, j'ai pu trouver ce texte intégral sur internet. C'est pratique. Le roman importé coûte cher au Japon, car la valeur du yen est faible. J'ai commencé la lecture en français, mais, qu'est-ce que le texte est difficile ! Comme ce roman a été écrit il y plus de 100 ans, c'est normal. Tout de suite, j'ai decidé de lire en français jusqu'à la moitié, ensuite, j'allais lire toutes les pages en japonais.
Je savais que le livre "Le rayon vert" était un roman sentimental, mais je pensais que l'histoire se déployait en France. Au début du livre, des noms de lieux énumérés sont écossais, c'était un malentendu. Le synopsis est très simple, Helena (héroïne) souhaite voir le rayon vert et déclare à ses oncles qu'elle ne se mariera pas avec son fiancé, Aristobulus Ursiclos, avant d'avoir vu le rayon vert. Ils ne peuvent pas refuser sa déclaration, aussitôt, ils partent en voyage avec Helena et quelques domestiques. Au cours du voyage en bateau, un jeune homme (Olivier) et une personne agée tombent à l'eau dans un remous, Helena les trouve par hasard. Le capitaine du bateau ordonne à des marins de les sauver.
Alors, Helena rencontre à nouveau Olivier dans une ville portuaire, Olivier aussi participe au voyage afin de voir le rayon vert. Finalement, les membres de ce voyage y réussissent à part eux deux. Et après, ils se marient. L'histoire est typiquement un genre de "Cendrillon". À mon avis, la présence d'Aristobulus Ursiclos est singulière. Il est très pédant. J'ai l'impression que Jules Verne a voulu le faire apparaître dans ce roman. Peut-être a-t-il rencontré parfois de tels gens en réalité, comme il a écrit des romans scientifiques ? J'ai supposé qu'ils l'ont ennuyé avec leurs discours spécifiques.
Quant au film "Le rayon vert", je l'ai vu encore une fois il y a deux semaines. Le protagoniste (Delphine) a eu l'intention de passer ses vacances en Grèce avec ses amis. Cependant, ce voyage est annulé par son amie. Elle se demande comment elle va passer ses vacances, elle ne veut pas rester pas à Paris et veut aller bronzer sur la plage. Après avoir quitté son petit ami, trois ans ont déjà passé. Elle éprouve de la solitude. En discutant, plusieurs amies et Delphine prennent le déjeuner ensemble. Une amie conseille à Delphine : "Il faut agir, pour que tu trouves ton prince charmant." Mais, elle répond qu'elle souhaite rencontrer son prince charmant à sa manière, c'est simplement l'intuition. Elle pleure à l'insu de ses amies. Je comprends bien ce qu'elle dit. Réellement, c'est difficile. Une amie invite Delphine à passer des vacances chez sa famille à Cherbourg. Après plusieurs jours, elle retourne à Paris. Son sentiment stagne. Mais, un ami propose à Delphine de venir à la Plagne. Elle randonne toute seule, je ne sais pas si elle trouve cela pathétique. Mais, elle retourne tout de suite à Paris. Alors, en déambulant, elle tombe sur une connaissance qui propose à Delphine d'aller à Biarritz, comme son beau-frère a une villa qui est disponible pour l'instant. Delphine décide de visiter toute seule Biarritz. À la plage, elle rencontre une Suédoise extravertie. Quand elles sont dans un café, deux jeunes hommes locaux les draguent. Néanmoins, Delphine ne s'intéresse pas à eux. Elle s'en va soudainement. Pour retourner à Paris, elle attend le train à la gare, en lisant le livre "L'idiot". Un jeune homme s'assoit sur un banc. Il lui adresse la parole. Ils bavardent un peu. Cet homme lui dit qu'il visite un petit village de pêcheurs. Delphine change d'avis, elle y va avec lui. Est-ce qu'elle pressent le bon augure ? Ce jour, ils essaient de voir le rayon vert comme Helena et Olivier.
Dans le film, Delphine se balade tout seule dans la nature (le champ, la montagne, et la plage), sa solitude est accentuée. Comme j'ai vieilli, cette fois, mon impression est différente de celle d'autrefois. Je me demande si la solitude est une sorte de maladie de la civilisation. Je voudrais écrire sur cette chose un jour, j'ai écrit trop sur l'intrigue du film.
Je savais que le livre "Le rayon vert" était un roman sentimental, mais je pensais que l'histoire se déployait en France. Au début du livre, des noms de lieux énumérés sont écossais, c'était un malentendu. Le synopsis est très simple, Helena (héroïne) souhaite voir le rayon vert et déclare à ses oncles qu'elle ne se mariera pas avec son fiancé, Aristobulus Ursiclos, avant d'avoir vu le rayon vert. Ils ne peuvent pas refuser sa déclaration, aussitôt, ils partent en voyage avec Helena et quelques domestiques. Au cours du voyage en bateau, un jeune homme (Olivier) et une personne agée tombent à l'eau dans un remous, Helena les trouve par hasard. Le capitaine du bateau ordonne à des marins de les sauver.
Alors, Helena rencontre à nouveau Olivier dans une ville portuaire, Olivier aussi participe au voyage afin de voir le rayon vert. Finalement, les membres de ce voyage y réussissent à part eux deux. Et après, ils se marient. L'histoire est typiquement un genre de "Cendrillon". À mon avis, la présence d'Aristobulus Ursiclos est singulière. Il est très pédant. J'ai l'impression que Jules Verne a voulu le faire apparaître dans ce roman. Peut-être a-t-il rencontré parfois de tels gens en réalité, comme il a écrit des romans scientifiques ? J'ai supposé qu'ils l'ont ennuyé avec leurs discours spécifiques.
Dans le film, Delphine se balade tout seule dans la nature (le champ, la montagne, et la plage), sa solitude est accentuée. Comme j'ai vieilli, cette fois, mon impression est différente de celle d'autrefois. Je me demande si la solitude est une sorte de maladie de la civilisation. Je voudrais écrire sur cette chose un jour, j'ai écrit trop sur l'intrigue du film.