Dans mes vacances d'Osyougatsu (six jours), j'ai fini la lecture de "Nocturne indien" (en français) qu'un correspondant français m'a offert en décembre. Comme il y a 144 pages, et comme je l'ai déjà lu en japonais il y a longtemps, j'ai pu finir vite la lecture. Lors du troisième jour depuis que j'ai commencé à le lire, j'ai eu un rêve bizarre. Dans ce rêve, après que j'ai traversé un grand pont, je marchais dans une ville inconnue. Tous les gens que j'ai croisés avaient une nationalité différente, ils parlaient chacun dans leur langue.
Le paysage urbain était apatride, quelques bâtiments occidentaux, orientaux, nouveaux ou vieux etc. Où est-on ici ? Quel est ce pays ? Il n'y avait pas de formalité d'entrée. Je me suis demandée s'il valait mieux retourner. Et pourtant, ce grand pont était trop long. Alors, je marchais un certain temps, j'ai trouvé une librairie.
Les livres était étalés soigneusement, ils étaient écrits en langues variées. Cela m'a perturbée, alors, je me suis réveillée. Est-ce que le livre "Nocturne indien" a influencé mon rêve ? Peut-être. À la page suivante de la page titre, une phrase de Maurice Blanchot est citée. "Les gens qui dorment mal appraissent toujours plus ou moins coupables : que font-ils ? Ils rendent la nuit présente."
À propos de l'intrigue de "Nocturne indien", un homme (protagoniste) reçoit une lettre qu'une prostituée indienne a écrit sur un ami du protagoniste. Il poursuit la trace de cet ami et voyage en Inde. Les chapitres sont liés, ils forment un roman. Mais, il me semble que chaque chapitre est autonome comme un rêve. Plusieurs paroles sont à la fois ésotériques et philosophiques.
Cette fois, j'ai vu ce film "Nocturne indien" qui a été filmé par Alain Corneau. Jean-Hugues Anglade était jeune. Dans le film, il y a un épisode qui n'est pas écrit dans le roman. Cependant, il ne détruit pas l'atmosphère. L'humidité à travers l'écran flotte autour de moi, bien que l'on soit en hiver. J'estime que le film exprime bien le monde du roman, j'ai pensé qu'il était court.
Le Quintette à cordes en ut majeur, D. 956 de Schubert est utilisé, cela va bien à ce film. C'était très impressionant. À vrai dire, avant ce film, il y a plusieurs semaines, j'ai vu le film "The limits of control" de Jim Jarmusch. Cette musique de Schubert est diffusée dans la scène où le protagoniste l'écoute sur un CD dans une chambre d'hôtel.
Le paysage urbain était apatride, quelques bâtiments occidentaux, orientaux, nouveaux ou vieux etc. Où est-on ici ? Quel est ce pays ? Il n'y avait pas de formalité d'entrée. Je me suis demandée s'il valait mieux retourner. Et pourtant, ce grand pont était trop long. Alors, je marchais un certain temps, j'ai trouvé une librairie.
Les livres était étalés soigneusement, ils étaient écrits en langues variées. Cela m'a perturbée, alors, je me suis réveillée. Est-ce que le livre "Nocturne indien" a influencé mon rêve ? Peut-être. À la page suivante de la page titre, une phrase de Maurice Blanchot est citée. "Les gens qui dorment mal appraissent toujours plus ou moins coupables : que font-ils ? Ils rendent la nuit présente."
À propos de l'intrigue de "Nocturne indien", un homme (protagoniste) reçoit une lettre qu'une prostituée indienne a écrit sur un ami du protagoniste. Il poursuit la trace de cet ami et voyage en Inde. Les chapitres sont liés, ils forment un roman. Mais, il me semble que chaque chapitre est autonome comme un rêve. Plusieurs paroles sont à la fois ésotériques et philosophiques.
Cette fois, j'ai vu ce film "Nocturne indien" qui a été filmé par Alain Corneau. Jean-Hugues Anglade était jeune. Dans le film, il y a un épisode qui n'est pas écrit dans le roman. Cependant, il ne détruit pas l'atmosphère. L'humidité à travers l'écran flotte autour de moi, bien que l'on soit en hiver. J'estime que le film exprime bien le monde du roman, j'ai pensé qu'il était court.
Le Quintette à cordes en ut majeur, D. 956 de Schubert est utilisé, cela va bien à ce film. C'était très impressionant. À vrai dire, avant ce film, il y a plusieurs semaines, j'ai vu le film "The limits of control" de Jim Jarmusch. Cette musique de Schubert est diffusée dans la scène où le protagoniste l'écoute sur un CD dans une chambre d'hôtel.
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