dimanche 24 février 2019

Les chaussures italiennes

J'ai fini la lecture du roman "Les chaussures italiennes", cela m'a pris environ 35 jours. Il y avait quelques expressions que je ne connaissais pas. Par exemple, l'expression "rouler qqn dans la farine". Dans mon image, quelqu'un est pané dans la farine, pour faire un sauté ou une frite. Est-ce que c'est une recette ? C'est impossible. J'ai pu comprendre que mon image était fausse, selon le contexte du livre. Cependant, je n'ai pas pu arriver à son sens. C'est nécessaire de consulter le dictionnaire. Une autre expression "un moulin à paroles", cela m'a fait rire. C'est facile d'imaginer ce sens, cela veut dire "une personne très bavarde". Comme d'habitude, en lisant ce roman, j'ai noté les mots que je ne connaissais pas ou dont je voulais vérifier le sens. Alors, ma lecture n'avance pas toujours vite.

À propos du synopsys de ce roman, un homme d'une soixantaine, Fredrik, habite tout seul sur une île. Jadis, il était médecin. Un fardeau pèse sur sa vie. Ce fait est petit à petit dévoilé. Un jour, son ex-petite amie Harriet vient chez lui, cela fait longtemps, leur histoire remonte à 40 ans. Fredrik ne l'identifie pas d'abord. Elle marche avec un déambulateur, elle aussi a vieilli. Cet événement inopiné perturbe Fredrik. Il se demande quel est son but. C'est normal. Si mon ex-mari venait chez moi, je me méfierais du piège. À travers la conversation entre Fredrik et Harriet, on peut bien comprendre leur séparation. Le but d'Harriet est que Fredrik l'emmène voir un petit lac dont il lui a parlé autrefois. Fredrik lui a promis d'y aller ensemble, cette promesse n'a pas été encore tenue. Comme Harriet atteinte d'un cancer en  phase terminale, il décide de visiter ce lac avec elle en voiture.

Dans ce roman, Fredrik se rappelle souvent ses parents et grand parents. C'était impressionnant pour moi. Au fur et à mesure que l'on vieillit, est-ce qu'on se souvient de son passé, en particulier, de son enfance ? Ma mère et ma grand-mère aussi. En fermant les yeux, ma mère me raconte parfois en détail une anecdote de son enfance. Son apparence se superpose à celle de ma grand-mère. Je qualifie ce discours de "sermon du souvenir".

Il faut revenir à l'histoire du livre, Fredrik et Harriet arrivent tant bien que mal au lac. Ensuite, elle lui propose de visiter un autre lieu. En outre, sa confession surprend Fredrik. Quand Harriet est venue chez Fredrik au début du l'histoire, elle lui a simplement dit qu'elle avait une fille, Louise. Mais, son père est Fredrik. Et puis, Fredrik et Harriet vont la voir. Pour l'instant, Louise vit en caravane dans une forêt rurale. Le lien entre parents et enfants n'a pas été fondé entre Fredrik et Louise. Ils se parlent, toutefois, c'est saccadé. Le lendemain, l'état d'Harriet s'aggrave. Fredrik et Louise se hâtent de l'emmener à l'hôpital. Les deux passent une nuit dans un café-restaurant. J'aime leur conversation qui se déroule là-bas.

Particulièrement, Louise mentionne une peinture de Caravage. Je n'ai pas pu me souvenir de ce titre, je l'ai cherché sur Internet. Ce titre est "David avec la tête de Goliath". On dit que la tête décapitée de la peinture est celle de Caravage comme Louise l'explique. Auparavant, je l'ai lu dans un livre d'art. Caravage était excentrique, il a commis un meurtre. Cette peinture présente une réflexion de Caravage. Il a envisagé de bénéficier d'une amnistie. Un correspondant m'a écrit que ce roman exprimait la rédemption de Fredrik dans un sens. Il a raison. Il me semble que cette anecdote sur Caravage suggère la vie de Fredrik.

J'ai encore déraillé. Alors, Harriet sort de l'hôpital sans la permission de sortie du médecin. Et après, Fredrik se dispute avec elles. Il revient sur son île. Mais le fait qu'Harriet va bientôt mourir provoque à Fredrik une décision. Après avoir cherché l'adresse d'une femme qui avait perdu un bras à cause d'une erreur medicale de Fredrik, il lui écrit. Heureusement, sa réponse arrive, il lui rend visite. Cette femme, Agnès, accueille et garde quelques filles immigrées à problèmes qui ne peuvent pas s'intégrer à la société suédoise. Agnès lutte contre le comportement de ces filles chaque jour, Fredrik ne peut pas savoir pourquoi elle s'occupe d'elles. Et pourtant, il se rend compte qu'elle affronte un conflit intérieur. À partir de l'erreur médicale, la vie d'Agnès a été bouleversée. Fredrik imagine de nouveau comment elle a vécu jusqu'à maintenant. Ainsi, ces filles immigrées sont de la même sorte qu'Agnès. Elles sont désorientées par leur destin inéluctable. Je pense que Fredrik se sent complètement dépassé par la manière de vivre d'Agnès. À son retour, il éprouve un sentiment de solitude encore plus qu'avant. En outre, les deux morts (Harriet et une fille immigrée) le frappent, ensuite il y a des querelles entre Louise et lui, avec Agnès aussi.

Finalement, Fredrik pense que sa vie stagnait depuis qu'il avait déménagé sur l'île. En ruminant les événements après l'arrivée d'Harriet, la vie de Fredrik est revitalisée. Quelque temps après, un cordonnier italien qui est un ami de Louise offre à Fredrik une paire de chaussures. Ces chaussures symbolisent son avenir. On ne peut pas savoir ce qu'il va arriver, jusqu'à ce que l'on entre dans un cercueil.

samedi 16 février 2019

Le quatuor

Le mois dernier, ma mère a été convoquée par le procureur, et il lui a dit qu'il accusait la conductrice de cet accident. Pour l'instant, il y a un système de participation de la famille de la victime au procès, le procureur lui a demandé si elle utilisait ce système ou pas. Ma mère lui a répondu tout de suite "Oui". Ainsi, elle est allée au cabinet d'avocats. La date du procès n'est pas décidée. Bientôt, cette annonce va arriver.

Ma mère et moi, nous nous disions en décembre qu'il fallait se changer les idées. Alors, je cherchais des présentations de Nô, les pièces de ces présentations ne m'ont pas tellement attiré. De plus, j'ai continué de chercher des informations de concert. Un concert avait l'air intéressant, ce prix n'était pas trop cher. C'était le concert du quatuor Belcea. J'avais eu l'intention d'aller toute seule à ce concert, ma mère m'a dit qu'elle voulait y aller. J'ai acheté deux tickets l'année dernière. Nous sommes allées au concert le 2 février.

Je ne connaissais ni ce quatuor Belcea, ni les trois pièces qui étaient présentées dans la publicité du concert. Lorsque j'ai acheté deux tickets l'année dernière, je lisais le livre "Shostakovich - A life of torn glory" d'un professeur japonais de la littérature russe. Dans ce livre, Shostakovich est influencé par un quatuor à cordes de Bartók, il a composé quelques quatuors à cordes. Comme les deux compositeurs ont vécu dans la même époque, cette chose est normale. Bartók a émigré aux États-Unis, en revanche, Shostakovich a demeuré sous le totalitarisme stalinien.

Cette fois, Le quatuor à cordes no.6 Sz.114 (Bartók) a été interprété. Son atmosphère était lourde, selon l'explication de chaque pièce que la salle de concert nous a distribué, cette pièce a été composée pendant la Seconde Guerre mondiale, sa patrie, la Hongrie courrait toujours le risque d'être envahi par des autres pays, et il a des éléments faibles géopolitiques. En écoutant ce quatuor de Bartók, une nervosité me frappait. Le pizzicato est souvent utilisé, tous les sons engendrent un air dissonant. Je me suis demandée si les instrumentistes jouaient avec peine. Cette pièce est la deuxième dans le concert.

Quant à la première pièce "Le quatuor à cordes K.589 (Mozart)", bien que je sois toujours débutante en musique classique, il m'a semblé que cette pièce avait une qualité du récit. Le titre de la musique est "Le deuxième : Le roi de Prusse", le thème est explicite. Cette musique est le comble de l'élégance. Dans la partie "2: larghetto", le violoncelle était principal. Cette mélodie était agréable.

La dernière pièce était Le quatuor à cordes op.80 (Mendelssohn). J'ai pensé que cette musique était dramatique et passionnée, la cime du final était facile pour moi. Car, le tempo de la dernière partie était un peu rapide. Cette musique a plu à ma mère. Elle m'a dit: "Si le quatuor à cordes de Bartók était la dernière présentation, il nous entraînerait dans les abysses de la misère de la guerre". Le tour des présentations est toujours très important.

À l'issue de la présentation de ces musiques, tous les auditeurs ont applaudi. Le quatuor Belcea s'est retiré dans l'aile, les applaudissements ne s'arrêtaient pas. Le quatuor Belcea est revenu sur la scène pour un rappel. Le violoniste alto a dit: "Le quatuor à cordes no.3 de Shostakovich 3. Allegro non troppo", cette présentation a commencé. J'ai plutôt préféré ce quatuor à cordes à celui de Bartók.

Aller au concert mérite, c'est une expérience. De nos jours, on peut écouter la musique sur lnternet, n'importe quand. Les vibrations du son ne sont pas transmises par lnternet. Cependant, la réalisation visuelle est en train d'évoluer. Il est possible que la conception du concert change. Car, la technique numérique est la puissance nième. Dans ce concert du quatuor Belcea, les quatres musiciens utilisaient la partition d'iPad. Cela m'a un peu étonnée. L'époque a changé.

lundi 11 février 2019

Un sanatorium

Après la mort de mon père, je retourne et loge chez ma mère chaque week-end. Je me suis habituée à vivre toute seule, ma mère ne s'y habitue pas encore. Elle va bien apparemment, je me demande si elle cache sa tristesse. Comme je n'ai pas de télé chez moi, je vois régulièrement plusieurs émissions chez ma mère.

Tout les dimanches matin, l'émission de l'art "日曜美術館 (Nichiyō bijyutukan)" est diffusée. L'exposition d'Alvar Aalto était présentée dans cette émission en décembre. Qui est Alvar Aalto ? Un vase qu'il avait conçu était projeté sur l'écran au début de l'émission. Ce vase est très connu à l'échelle mondiale, je l'ai quand même vu quelques fois dans des magasins de décoration d'intérieur. Cette forme est comme une amibe. Je trouve que c'est ludique. D'après l'explication de cette émission, le talent d'Alvar Aalto est multiple. Il est aussi architecte. Des églises, des bibliothèques et un sanatorium etc. ont été construits par lui. À la fin de l'émission, j'ai su que cette exposition avait lieu au musée municipal à Nagoya. Alors, j'y suis allée il y a deux semaines, après le cours de français.

Ce jour-là, il faisait froid. Il y avait plus de visiteurs là-bas que j'avais imaginé. Dès que je suis entrée dans la salle d'exposition, un objet noir qui était installé à gauche m'a sauté aux yeux. Qu'est-ce que c'est ? C'est le chandelier en fer de l'église de Toivakka en Finlande, sa forme est comme un arbre. Cela m'a plu. De nombreux panneaux d'exposition étaient des photos de ses architectures. C'était dommage que l'on ne puisse pas faire l'expérience dans l'espace même de ses architectures. Cependant, une chambre pour les personnes atteintes de tuberculose dans le sanatorium de Paimio était présentée. La couleur verte claire était utilisée, et elle apportait un air apaisé. Un placard simple était équipé. D'abord, je ne savais pas exactement à quoi cette décoration servait. Comme si une planche arrondie en acier ou en fer était seulement collée, c'était le placard. Ces conceptions tiennent compte des patients. J'ai pensé que le paysage que l'on voit par la fenêtre et l'intérieur de la chambre s'harmonisent. Il n'y avait pas ce paysage dans cette exposition, mais, on a pu l'imaginer, en voyant des photos du sanatorium.

Ensuite, quatre reliefs en bois étaient accrochés au mur, ils étaient chouettes. Des planches en bois accumulées sont traitées en arrondi, Alvar Aalto les a utilisées et a créé des motifs abstraits. En dépit des motifs abstraits, il m'a semblé qu'ils étaient tendres grâce au matériau de bois. Leur courbe est belle. Je voulais en acheter un, mais c'est trop cher. Tout à l'heure, j'ai trouvé ce relief chez The Conran shop sur Internet. Le prix est environ 1221 euros, c'es trois mois de mon loyer. Je ne peux absolument pas l'acheter.

Dans une autre salle d'exposition, ses créations de design (des tabourets, des chaises, des luminaires et des vases) étaient étalées. J'ai vu la présentation sur le processus de la fabrication du vase comme une amibe sur le projecteur. Selon la légende de ce vase, cette forme n'était pas une amibe, elle était le contour d'un lac en Finlande. Plusieurs maquettes d'architecture étaient exposées, c'était vraiment dommage que l'on ne puisse pas faire l'expérience de ces espaces.

Pendant mon retour, je me suis souvenue qu'une amie et moi avons passé la nuit dans un sanatorium, lors du voyage dans les pays nordiques. J'ai oublié le nom de ce sanatorium. Je crois qu'il se trouve à Helsinki ou Oslo. Basiquement, nous avions déjà réservé du Japon le logement dans des auberges de jeunesse. Et pourtant, il y avait seulement deux jours où nous n'avions pas réservé le logement dans notre itinéraire.

Nous étions optimistes, nous pourrions le chercher facilement à la capitale pour une nuit. Notre attente a été trompée. Comme beaucoup de touristes estivaux visitaient là-bas, nous n'avons trouvé aucun lit dans quelques hôtels. Le smartphone n'était pas encore apparu à cette époque. Alors, est-ce que nous avons dormi dehors ? Non, nons avons pu loger dans le sanatorium grâce à une dame hollandaise qui avait pris le même autocar que nous. Elle cherchait une chambre d'hôtel, elle avait l'air embarrassé. Nous lui avons demandé: "Vous avez réussi à trouver une chambre ?" Elle nous a répondu: "Non, vous non plus ? Je demande au réceptionniste s'il n'y a pas un établissement pour passer une nuit." Je pense qu'elle a jugé notre faible capacité de l'anglais, elle a négocié pour nous. Elle nous a dit que le réceptionniste m'a présenté un sanatorium, ensuite on est allé au sanatorium en taxi. Il m'a paru que cette dame avait une auréole à ce moment-là. Une autre fois, je vais vous raconter un autre jour où nous n'avons pas réservé lors de ce voyage.

dimanche 3 février 2019

Le Festin de Babette

Je lis le roman "Les chaussures italiennes" d'Henning Mankell qui est un écrivain suédois, depuis le début janvier. Une correspondante française me l'a offert. Je ne connaissais pas cet écrivain. Cependant, beaucoup de ses livres sont traduits en japonais. C'est le genre polar, je ne suis pas tellement forte en polar. Ce qui m'a le plus étonnée, c'est que l'écrivain est marié avec une fille d'Ingmar Bergman.

Ma lecture en français est toujours lente, j'ai lu environ 260 pages, il y a encore 110 pages. Dans ce roman, le protagoniste a logé dans la pension où Karen Blixen avait habité autrefois à Rome. Qui est Karen Blixen ? Tout de suite, je l'ai cherché sur Internet. Une chose m'a étonné de nouveau. Son recueil de nouvelles "Anecdotes de destin" contient la fameuse nouvelle "Le dîner de Babette". De plus, Karen Blixen utilisait un alias Isak Dinesen, elle a écrit le roman "La ferme africaine."

Il y a plusieurs années, j'ai vu une affiche du film "Le Festin de Babette (remastérisation)" qui était accrochée au mur du cinéma. Je me suis souvenue qu'une amie disait que ce film était bien. Tout à fait d'accord. Le repas change le sentiment et l'idée, et il peut parfois amortir la tristesse. Manger quelque chose avec quelqu'un et partager ce temps, je pense que c'est un remède indispensable dans la vie.


Simplement, expliquons cette intrigue, comme je l'ai presque oublié. Au 19 ème siècle, deux  sœurs  jolies, Martine et Filippa, et leur père qui est prêtre, habitent dans un village au bord de la mer. Un jour, un officier militaire, sous châtiment, apparaît devant Martine, ils s'attirent. En outre, un chanteur baryton renommé tombe amoureux de Filippa, il lui propose de se marier. Mais, les deux sœurs refusent leur amour. Après la mort de leur père, elles travaillent à sa place. Beaucoup d'années s'écoulent. Une Française exilée, Babette, vient chez les deux sœurs grâce à l'intervention de ce chanteur baryton. Car, elle a perdu sa famille à cause de la Commune de Paris. Babette leur propose de travailler sans salaire, elles acceptent qu'elle habite chez elles en tant que femme de ménage.

Des années plus tard, une annonce que Babette a gagné au loto arrive. Les sœurs supposent qu'elle retourne bientôt en France. Leur triste subsiste. Et à part ça, les sœurs craignent que la foi des villageois soit en baisse. Alors, elles envisagent de célébrer le centenaire de la naissance de leur père. Un festin est donné par elles, pour inviter les villageois. Babette leur demande si elle peut préparer le dîner et propose de servir un repas français. Alors, beaucoup des aliments sont commandés par Babette et envoyés chez elles. Il y a une tortue marine vivante et des cailles etc. En les voyant, les sœurs ont un cauchemar. Elles s'inquiètent de subir une punition divine. Les villageois et elles discutent sur cela, ils décident de ne pas goûter les plats, lors du festin.

Enfin, le festin commence. Cet officier aussi qui aimait Martine autrefois est invité par les sœurs. Babette cuisine minutieusement tant de plats avec zèle, son don se ranime. Jadis, elle était cuisinière dans un restaurant à Paris. Elle place des plats (la soupe de tortue marine, la tourte de cailles, et des beaux fruits etc.) sur la table devant les invités. L'officier s'émeut pour ces plats. Néanmoins, la conversation des invités se déroule bizarrement. Ils ne mentionnent pas cette cuisine. Mais, au fur et à mesure que les invités s'aperçoivent que les plats sont très bons, la langue se délie. La cuisine de Babette attendrit tous les invités. Leur cœur se calme. Entre plusieurs invités villageois, il y avait une petite querelle. À la fin du festin, elle disparaît. Le repas est exactement comme un bâton magique.

Après le festin, Babette confie aux sœurs qu'elle était cuisinière dans un restaurant renommé à Paris. Les sœurs lui dit qu'elle retourne à Paris, et qu'elles ne l'oublieront pas. Babette leur répond qu'elle n'y retourne pas. Parce qu'elle a épuisé tout l'argent qu'elle avait gagné au loto pour ce festin. Cela étonne les sœurs. C'était un repas luxueux.

La scène où Babette utilise des aliments variés, elle fait des plats, c'est très impressionnant. Comme je suis maladroite, je ne peux pas rapidement préparer le repas comme elle. Dans cette scène, qu'est-ce que Babette pensait pendant la cuisine ? Est-ce qu'elle pensait qu'elle leur était redevable ? Les deux sœurs mènent une vie modeste, ajouté à cela, elles ont accueilli Babette. Probablement, Babette ressent profondément leur tendresse. J'imagine qu'elle voulait servir des repas précieux pour elles. En écrivant cet article, j'ai faim maintenant.