
Personne ne sait quand il meurt, où il meurt, en raison de cela, on peut vivre maintenant. Mais la mort peut brutalement m'attaquer. Et alors, j'ai jeté beaucoup de mes photos il y a quelques années, malgré que mes parents aient pris des photos de moi dans mon enfance. Je leur ai demandé s'ils me permettaient de jeter ces photos. Il m'ont répondu "Toutes les photos ?", je leur ai dit avec le sourire, "Non, je garde quelques photos". Cependant mes parents aussi ont déjà jeté tant de leurs photos dès leur retraite. Cela m'a étonnée. Est-ce que ma manière de penser ressemble à la leur ?
Revenons au livre "La dernière leçon". Ceux-là qui choissent l'euthanasie, je pense que la majorité a une maladie incurable comme dans le film "Quelques heures de printemps" de Stéphane Brizé. Dans ce cas, la douleur physique accompagne ces personnes et elles y succombent probablement. Ici, une question éthique m'arrive, "À qui appartient la vie ?". Oui, c'est sûrement à moi. Pour autant, puis-je décider la date de mourir ? En 2009, une jeune fille italienne était dans le coma depuis 17 ans, sa famille souhaitait l'euthanasie, cet événement a suscité de nombreuses controverses en Italie. Le film "La belle endormie" de Marco Bellocchio s'inspire de cet événement. Trois histoires se développent dans le film. Si je suis dans le coma, comment serai-je traitée ? Il vaut mieux faire un testament que je n'espère pas faire un traitement pour survivre ? Je ne le sais pas. Pour l'instant, il faut travailler.
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