Il y a quelques semaines, j'ai lu le livre "N'espérez pas vous débarrasser des livres" (en japonais) d'Umberto Eco et de Jean-Claude Carrière. Ce titre m'a attiré, je voulais le lire depuis longtemps. Franchement, je ne connaissais pas Jean-Claude Carrière, c'est une honte. Selon la présentation de lui dans le livre, il est scénariste, il a écrit quelques scénario de films de
Luis Buñuel ("Le journal d'une femme de chambre", "Belle de jour", "La voie lactée" et "Le charme discret de la bourgeoisie" etc.). De plus, il joue le rôle du curé de village dans le film "Le journal d'une femme de chambre". Je ne l'avais pas remarqué.
Quant au contenu de ce livre, ces deux hommes renommés racontent sincèrement leur passion pour les livres. Leur conversation m'a fait penser à beaucoup de choses. Vu le pouvoir d'influence de l'invention à l'échelle mondiale, la typographie de Johannes Gutenberg est plus grande que celle sur internet. De nombreux livres ont été mangés par les poissons d'argent, Certains livres ont été considérés comme nuisibles par des gouvernements et des gens qui ont le pouvoir, et ont été brûlés. Dans l'avenir, est-ce que nous ne pourrons pas posséder des livres comme dans le roman "Fahrenheit 451" de Ray Bradbury ? De nos jours, je trouve que le livre numérique s'accroît. Il est sûr que cet outil est pratique, il est comme une bibliothèque. Ces deux écrivains indiquent un inconvénient : le livre numérique ne fonctionne pas sans électricité. En suite, ils disent que c'est nécessaire que le livre existe en tant qu'objet. Pour ma part, j'aime toucher des caractères inégales de typographie dans un livre.
Il y a une autre chose qui m'intéresse. Umberto Eco-ou bien Jean-Claude Carrière-dit que les connaissances succombent à la foi. La foi suprême et pure n'a pas besoin de connaissances, des connaissances dérangent la foi ? On obtient et saisit des connaissances dans la vie, on interprète parfois diversement des événements, en utilisant ces connaissances. Ici, qu'est-ce que c'est les connaissances pour les humains ? Le roman "Le nom de la rose" d'Umberto Eco continue de s'interroger sur cette question jusqu'à la fin du roman. J'ai seulement vu le film "Le nom de la rose" de Jean-Jacque Annaud, mais l'adaptation du roman pour le cinéma ne m'a pas tellement fasciné. Je ne l'ai pas encore lu, probablement est-ce qu'il vaut mieux le lire ? Y a-t-il quelqu'un qui l'a lu pour me donner quelques conseils ?
Dans ce livre, on utilise quelques réveils matins pour chasser des poissons d'argent grâce à ces vibrations, ils fuient. Ceci. Comme ces deux écrivains ont beaucoup de vieux livres chez eux, j'imagine que des poissons d'argents sortent des livres. J'en ai peur, mais je vois plusieurs poissons d'argent à chaque saison des pluies, chez moi.