Je finis bientôt de lire le livre "Le voyage de Théo" de Catherine Clément qu'une correspondante m'a offert. J'ai commencé à lire ce livre le 20 décembre, mais 707 pages sont trop longues pour moi. En outre, ma mère a été hospitalisée, je rentre chez mes parents chaque week-end. Je n'ai pas tellement pu consacrer du temps à la lecture, j'écris aussi une telle rédaction pour ce blog.
Quant à ce livre, le héros (Théo) de 14 ans attrape une maladie incurable. Il voyage dans le monde entier avec sa tante, pour découvrir des religions variées. Les mots religieux m'embarrassent. Chaque fois que je consulte le dictionnaire, je soupire et me dis qu'en japonais, j'aurais pu comprendre ce mot toute seule. Par exemple, les mots "autel", "idolâtre" et "ablution" etc. Simplement, le vocabulaire en français me manque encore, et puis je ne peux pas tout de suite me souvenir du sens des mots que j'ai déjà consultés dans le dictionnaire, quand ces mots apparaissent de nouveaux dans ce livre.
Il y avait des expressions marrantes dans ce livre. "S'asseoir en tailleur", j'ai déjà appris dans un livre, mais j'ai oublié ce titre. J'ai pu trouver son sens dans ma tête. À vrai dire, lorsque je lisais le livre "Les âmes grises", j'ai rencontré le mot inconnu "taillis" et consulté le dictonnaire. Alors, le mot "tailleur" est dessus du mot "taillis". "S'asseoir en tailleur" est souligné dans mon dictionnaire, je l'ai remarqué. Ce point est intéressant avec le dictionnaire papier. À part cela, j'ai vu plusieurs fois le mot "malice" dans ce livre, cela m'évoque le mot "limace". Je me demande s'il y a une limace malice. Mes idées sont toujours stupides.
Auparavant, je me suis trompée. Lorsque j'étais lycéenne, mes amies et moi sommes allées au Karaoké. Une amie m'a dit; "Yoroboshi, comme on peut emprunter gratuitement des maracas chez ce karaoké, tu pourrais les emprunter à la réception ?". Je lui ai répondu; "D'accord", et j'ai demandé au réceptionniste; "Pourriez-vous me prêter des mascaras ?". Son visage était stupéfait. En grimaçant, je ne me suis pas aperçue de mon erreur. Il m'a demandé "des mascaras ?". À cet instant, je me suis rendue compte que j'avais commis une erreur. Je lui ai encore demandé; "Pourriez-vous prêter des maracas ?". Au fait, une expression japonaise va bien à cette phrase "son visage était stupéfait". C'est "鳩(はと)が豆鉄砲(まめでっぽう)を食(く)らったような顔(かお)". J'essaye de la traduire littéralement en français. Cela veut dire que "le visage d'un pigeon qui a été attaqué par le tire-pois". Pourquoi "le pigeon" ? Je ne sais pas. Mon voyage linguistique continue.