Je ne vois pas de films depuis décembre, je ne vais pas au musée ni au cinéma. Je rentre chez mes parents chaque week-end. Ma mère m'a dit que la fête des poupées (Hina Matsuri) arrivait bientôt, et que comme j'étais fatiguée, il n'était pas nécessaire d'exposer des poupées. Néanmoins, je les ai exposées la semaine dernière. Il faut aérer et prévenir que des mites dévorent les vêtements des poupées. En exposant ces poupées que ma grand-mère a achetées, je me suis souvenue de la conversation avec ma mère et de l'article "Le goût de la cerise". Le temps passe vite, on est déjà en mars. Je n'ai pas le temps d'éprouver de la mélancolie.
Cette fois, quand j'ai écrit l'article "Antimanuel de philosophie" l'année dernière, à vrai dire, je voulais écrire une autre chose. Dans le livre "Antimanuel de philosophie" de Michel Onfray, cet auteur écrit un peu sur "Fontaine" de Marcel Duchamp, pourquoi cette œuvre est traitée en tant qu'art ? Il explique un peu cette raison. Cette œuvre a complètement détruit la notion existante de l'art. Mais l'art contemporain est difficile pour moi, je suis parfois perturbée devant quelques œuvres. En particulier, dans le cas de l'art conceptuel, je lis la légende d'œuvre qui est accroché au mur. Je n'arrive pas souvent à comprendre ce concept. Est-ce que le sens artistique me manque ? De nos jours, l'art contemporain est devenu une sorte de spéculation, comme Michel Houellebecq l'a écrit "Damien Hirst et Jeff Koons se partageant le marché de l'art" dans le livre "La carte et le territoire".
Alors, je vous présente deux films. Premièrement, c'est le film "Faites le mur !" de Banksy. Banksy est très connu dans le monde entier. Mais on ne sait pas quand et où il apparaît et dessine sur le mur, seuls ses graffitis restent, cet artiste n'est pas capturé. Son acte est comme une guérilla et un attentat dans l'art. Il va à Jérusalem et à Bethléem etc., il dessine sur quelques barrières de séparation israélienne. Ses œuvres humoristiques et satiriques posent toujours des problèmes. La relation entre l'art et la société n'est jamais divisée dans ses graffitis qui contiennet des messages variés. Probablement, c'est la philosophie de Banksy. Quant au film "Faites le mur !" que Banksy a tourné, le film suscite l'intérêt et montre septiquement le marché actuel de l'art.
Thierry Guetta, un Français qui habite à Los Angeles, est commerçant, il filme beaucoup de documentaires que Banksy dit être comme des déchets. Il rencontre Banksy et d'autres artistes de grafiti grâce à ses documentaires. Banksy lui exhorte à créer des œuvres et à exprimer ses idées. Cette parole déclenche chez lui une activité artistique. Thierry imite des œuvres d'Andy Warhol, il affirme que ce concept est un recyclage d'art. Ensuite, il supplie Banksy d'une petite phrase de recommendation pour une exposition solo. Sous la renommée de Banksy, quelques médias poursuivent et présentent ce nouvel artiste. Au final, son exposition a été ironiquement un succès. Les spectateurs du film se rendent compte que le statu quo de l'art est ambigu et les œuvres de Tierry sont des contrefaçons artistiques. On n'a pas l'intention de lui faire des reproches. Qu'est-ce que l'art ? Qu'est-ce que l'expression à travers l'art ? Un objet ou un produit ou une personne sont bien traités par les médias, ils s'accompagnent d'une valeur ajoutée. Cela apporte un succès. Ce film nous lance de telles choses.
Deuxièmement, c'est le film documentaire "Waste Land". Il y a un très grand lieu de déchets qui s'appelle "Jardim Gramacho" dans la banlieue de Rio de Janeiro. Beaucoup de gens qui ramassent et trient ces déchets gagnent leur vie. Ils sont appelés "Catadores". Vik Muniz, célèbre artiste contemporain, retourne au Brésil. Il envisage de faire quelque chose pour résoudre ce problème de déchets et améliorer la situation des "Catadores". Cet artiste est confronté à ce problème difficile des "Catadores", il fait se transformer des déchets en des œuvres artistiques. C'est comme une magie formidable. D'abord, des "Catadores" ne peuvent pas comprendre la notion d'art. C'est normal, car il ne leur a pas été donné l'occasion d'apprendre et ressentir l'art. Ils sont déconcertés par les travaux de l'art avec Vik Muniz, cependant ils sont graduellement influencés. Leur changement psychologique apparaît. Ils commencent à avoir un petit espoir vers l'avenir. On ne peut pas choisir l'environnement de famille , lorsque l'on naît, et puis on a du mal à le changer. Ceci m'apprend de nouveau, en voyant le film. Je ne voudrais pas céder au fatalisme, je ne peux pas m'empêcher de penser comme ça. Finalement, des œuvres de Vik Muniz et des "Catadores" sont vendues aux enchères. Ils obtiennent une grosse somme d'argent. Maintenant, ce fameux lieu "Jardim Gramacho" a été fermé en 2012. Ces bénéfices sont utilisés pour que les "Catadores" puissent chercher un autre travail et recevoir une formation professionnelle. Leur succès a été réalisé sur la réputation de Vik Muniz comme le film "Faites le mur !". Mais l'art implique les gens et essaie de changer la société. Le mouvement du film "Waste Land" en est un bon exemple. En outre, je souhaite que de tels films passent au multiplexe cinématographique.

Jadis, l'impressionnisme était l'art contemporain. Tant de nouveaux riches américains ont acheté ses peintures et soutenu les peintres impressionnistes. Ceci est bien écrit dans le livre "The ultimate trophy - How the Impressionist Painting Conquered the World" de Philip Hook qui a travaillé chez Christie's. Le livre est très intéressant, et pourtant il n'est pas traduit en français. Cet auteur clarifie et analyse comment l'impressionnisme a été accepté dans la France, l'Allemagne, les Etats-Unis et l'Angleterre. Plusieurs siècles vont passer, l'art contemporain actuel sera devenu simplement un type d'art dans l'histoire de l'art. Dans le livre "Antimanuel de philosophie", Michel Onfray pose une question: qui décide le critère de l'art ? Évidemment, les spécialistes du musée, les professeurs d'art, et les critiques d'art etc. Ils découvrent l'art brut et le nouvel style d'art, ils les présentent. Jed Martin, le héros du livre "La carte et le territoire", est un artiste contemporain, et un critique d'art connu qui présente ses propres œuvres à la rubrique d'art dans "Le Monde". C'est un truc, une personne élabore une stratégie pour que les œuvres de Jed Martin attirent l'attention des gens.
Alors, je vous présente deux films. Premièrement, c'est le film "Faites le mur !" de Banksy. Banksy est très connu dans le monde entier. Mais on ne sait pas quand et où il apparaît et dessine sur le mur, seuls ses graffitis restent, cet artiste n'est pas capturé. Son acte est comme une guérilla et un attentat dans l'art. Il va à Jérusalem et à Bethléem etc., il dessine sur quelques barrières de séparation israélienne. Ses œuvres humoristiques et satiriques posent toujours des problèmes. La relation entre l'art et la société n'est jamais divisée dans ses graffitis qui contiennet des messages variés. Probablement, c'est la philosophie de Banksy. Quant au film "Faites le mur !" que Banksy a tourné, le film suscite l'intérêt et montre septiquement le marché actuel de l'art.
Thierry Guetta, un Français qui habite à Los Angeles, est commerçant, il filme beaucoup de documentaires que Banksy dit être comme des déchets. Il rencontre Banksy et d'autres artistes de grafiti grâce à ses documentaires. Banksy lui exhorte à créer des œuvres et à exprimer ses idées. Cette parole déclenche chez lui une activité artistique. Thierry imite des œuvres d'Andy Warhol, il affirme que ce concept est un recyclage d'art. Ensuite, il supplie Banksy d'une petite phrase de recommendation pour une exposition solo. Sous la renommée de Banksy, quelques médias poursuivent et présentent ce nouvel artiste. Au final, son exposition a été ironiquement un succès. Les spectateurs du film se rendent compte que le statu quo de l'art est ambigu et les œuvres de Tierry sont des contrefaçons artistiques. On n'a pas l'intention de lui faire des reproches. Qu'est-ce que l'art ? Qu'est-ce que l'expression à travers l'art ? Un objet ou un produit ou une personne sont bien traités par les médias, ils s'accompagnent d'une valeur ajoutée. Cela apporte un succès. Ce film nous lance de telles choses.
Deuxièmement, c'est le film documentaire "Waste Land". Il y a un très grand lieu de déchets qui s'appelle "Jardim Gramacho" dans la banlieue de Rio de Janeiro. Beaucoup de gens qui ramassent et trient ces déchets gagnent leur vie. Ils sont appelés "Catadores". Vik Muniz, célèbre artiste contemporain, retourne au Brésil. Il envisage de faire quelque chose pour résoudre ce problème de déchets et améliorer la situation des "Catadores". Cet artiste est confronté à ce problème difficile des "Catadores", il fait se transformer des déchets en des œuvres artistiques. C'est comme une magie formidable. D'abord, des "Catadores" ne peuvent pas comprendre la notion d'art. C'est normal, car il ne leur a pas été donné l'occasion d'apprendre et ressentir l'art. Ils sont déconcertés par les travaux de l'art avec Vik Muniz, cependant ils sont graduellement influencés. Leur changement psychologique apparaît. Ils commencent à avoir un petit espoir vers l'avenir. On ne peut pas choisir l'environnement de famille , lorsque l'on naît, et puis on a du mal à le changer. Ceci m'apprend de nouveau, en voyant le film. Je ne voudrais pas céder au fatalisme, je ne peux pas m'empêcher de penser comme ça. Finalement, des œuvres de Vik Muniz et des "Catadores" sont vendues aux enchères. Ils obtiennent une grosse somme d'argent. Maintenant, ce fameux lieu "Jardim Gramacho" a été fermé en 2012. Ces bénéfices sont utilisés pour que les "Catadores" puissent chercher un autre travail et recevoir une formation professionnelle. Leur succès a été réalisé sur la réputation de Vik Muniz comme le film "Faites le mur !". Mais l'art implique les gens et essaie de changer la société. Le mouvement du film "Waste Land" en est un bon exemple. En outre, je souhaite que de tels films passent au multiplexe cinématographique.
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