J'ai fini la lecture de "La mort à Venise" (en français et en japonais). À vrai dire, un correspondant français m'a envoyé deux livres "La mort à Venise" et "Le liseur". D'abord, j'ai commencé à lire "La mort à Venise". Mais j'ai laissé tomber ce livre sur le chemin, quand je suis allée au bureau un matin. Quelle bêtise ! C'est ma faute. Pourquoi ? Parce qu'une poche de la jupe de l'uniforme estival n'est pas assez profonde, en marchant, le livre est tombé. Je lis souvent un livre dans mon bureau. En dépit de mon revenu modeste, mon patron a acheté un 4×4 d'une marque allemande. Je n'ai aucun sentiment de culpabilité. Maintenant aussi, j'écris cet article aussi dans mon bureau. Et alors, j'ai écrit cette anecdote à ce correspondant. Comme il est gentil, il m'a proposé d'envoyer de nouveau le livre. Mais, comme j'ai estimé que le port était plus cher que le livre de poche, j'ai refusé. Heureusement, j'ai trouvé le texte intégral de "La mort à Venise" sur Internet.
Dès que j'ai lu environ cinq phrases de ce roman, il m'a semblé que c'était difficile. Comme le roman est publié en 1912, le style d'écriture n'est pas contemporain. Le vocabulaire utilisé est littéraire. J'ai rencontré plusieurs fois le mot "griserie", mais quand utiliser ce mot ? De plus, des personnages de la mythologie grecque sont cités, il a fallu lire attentivement l'annotation. Il y a plus de 20 ans, j'ai vu ce film. En me souvenant de l'intrigue, j'ai avancé dans la lecture.
Au début du roman, je me suis demandée si le protagoniste Aschenbach était compositeur. En outre, le protagoniste se promène à Munich. Est-ce qu'il y avait une telle scène dans le film ? J'ai oublié les détails. C'est un symptôme de démence sénile ? Après la lecture, j'ai vu le film pour le vérifier. Je suis rassurée maintenant. Ce chapitre de Munich est omis. Le dialogue intérieur est déployé chez Aschenbach, j'ai pensé que cette partie était importante. Ceci le guide vers Venise, il monte dans un bateau, et rencontre un homme bizarre sur le pont. Bien que cet homme soit vieux, il se maquille un peu, et il porte un vêtement de jeune homme. Son apparente jeunesse est ridicule, cela offusque Aschenbach. Cet événement fait allusion à son avenir.
Ensuite, Aschenbach change de bateau à Venise, et il va au Lido. Son air est morose, lorsqu'il arrive à l'hôtel, Je me suis rendue compte que cet hôtel était l'hôtel Excelsior dans le livre, et que c'était le Grand hôtel des Bains dan le film. Pour Visconti, l'image du Grand hôtel des Bains est plus appropriée ? À vrai dire, je suis allée au Lido pendant la saison morte, il n'y avait pas de touristes. Je n'ai pas pu loger dans ces hôtels, c'était trop cher pour moi. Pendant quelques heures, je me suis promenée au Lido, et j'ai vu la plage.
Dans l'hôtel, Aschenbach rencontre un beau garçon, Tadzio. De ce garçon émane une sorte d'envoûtement irrésistible, le regard d'Aschenbach ne peut pas s'en détacher de Tadzio. Cette scène est encore présente à mes yeux. En lisant le roman, je me suis aperçue que mon image d'Aschenbach et de Tadzio collait à Dirk Bogarde et Björn Andrésen dans le film. La Symphonie nº5 de Mahler est automatiquement parvenue à mes oreilles. L'influence du film est incommensurable. Aschenbach évoque la notion de l'esthétique avec éloquence dans le roman. Il pense qu'il peut représenter la beauté sensuelle avec les mots, mais il ne peut pas la reproduire. Thomas Mann manifeste une souffrance en tant qu'écrivain à travers le protagoniste Aschenbach. Il me semble que cette description n'est pas tellement exprimée dans le film. C'est dommage. Aschenbach est complètement hanté par la beauté divine de Tadzio. Il le suit chaque jour comme un somnambule, il a déjà attrapé le choléra. La visage d'Aschenbach se reflète dans un miroir de l'hôtel, son vieillissement le gêne. Un jour, il va chez le coiffeur de l'hôtel où on lui prpopose de le rajeunir avec un truc. Grâce au maquillage, Aschenbach obtient la jeunesse. Son apparence ressemble à celle de ce vieil homme qu'il a rencontré dans un bateau.
Quelques jours plus tard, Tadzio et sa famille s'en vont. Avant le départ, les membres de la famille et Tazio passent un peu de temps sur la plage. Aschenbach souhaite le graver dans son cœur pour toujours, en s'assoyant sur un transat. Et pourtant, il rend son dernier soupir. La scène finale du film a de l'impact. Je voudrais que le film ne soit pas repris par un autre cinéaste. Visconti est issu d'une famille noble, pour cette raison, je pense que ce film et aussi les films " Le Guépard " et "Les Damnés" sont réussis.
Dans l'hôtel, Aschenbach rencontre un beau garçon, Tadzio. De ce garçon émane une sorte d'envoûtement irrésistible, le regard d'Aschenbach ne peut pas s'en détacher de Tadzio. Cette scène est encore présente à mes yeux. En lisant le roman, je me suis aperçue que mon image d'Aschenbach et de Tadzio collait à Dirk Bogarde et Björn Andrésen dans le film. La Symphonie nº5 de Mahler est automatiquement parvenue à mes oreilles. L'influence du film est incommensurable. Aschenbach évoque la notion de l'esthétique avec éloquence dans le roman. Il pense qu'il peut représenter la beauté sensuelle avec les mots, mais il ne peut pas la reproduire. Thomas Mann manifeste une souffrance en tant qu'écrivain à travers le protagoniste Aschenbach. Il me semble que cette description n'est pas tellement exprimée dans le film. C'est dommage. Aschenbach est complètement hanté par la beauté divine de Tadzio. Il le suit chaque jour comme un somnambule, il a déjà attrapé le choléra. La visage d'Aschenbach se reflète dans un miroir de l'hôtel, son vieillissement le gêne. Un jour, il va chez le coiffeur de l'hôtel où on lui prpopose de le rajeunir avec un truc. Grâce au maquillage, Aschenbach obtient la jeunesse. Son apparence ressemble à celle de ce vieil homme qu'il a rencontré dans un bateau.
Quelques jours plus tard, Tadzio et sa famille s'en vont. Avant le départ, les membres de la famille et Tazio passent un peu de temps sur la plage. Aschenbach souhaite le graver dans son cœur pour toujours, en s'assoyant sur un transat. Et pourtant, il rend son dernier soupir. La scène finale du film a de l'impact. Je voudrais que le film ne soit pas repris par un autre cinéaste. Visconti est issu d'une famille noble, pour cette raison, je pense que ce film et aussi les films " Le Guépard " et "Les Damnés" sont réussis.
À propos, j'ai recherché le mot "Gustav von Aschenbach" sur Internet, une marque de vêtement "Gustav von Aschenbach" est apparue.
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