Le dernier article était un peu long. Le 19 mars, le procès a commencé à 14h 30. Mon oncle et plusieurs cousins sont venus au tribunal. Mon frère et moi étions dans la galerie publique avec eux. La procuratrice a lu l'accusation, elle m'a étonnée. Elle était jeune, il m'a semblé qu'elle avait 27 ou 28 ans. Mon frère m'a dit que cette procuratrice était très jeune, mais elle était absolument intelligente. Son attitude était paisible. La procuratrice a successivement posé des questions à l'accusée.
Par exemple, "Est-ce que vous alliez d'habitude en voiture au bar où vous travaillez ?" L'accusée a répondu: "Quelques fois". La procuratrice lui a demandé, "Néanmoins, pourquoi vous avez utilisé la navigation automobile ?" "Ce jour-là, je vérifiais le contournement sur l'écran de navigation". "Pourquoi vous n'avez pas arrêté votre voiture au bord de la route pour toucher l'écran ?"
Par exemple, "Est-ce que vous alliez d'habitude en voiture au bar où vous travaillez ?" L'accusée a répondu: "Quelques fois". La procuratrice lui a demandé, "Néanmoins, pourquoi vous avez utilisé la navigation automobile ?" "Ce jour-là, je vérifiais le contournement sur l'écran de navigation". "Pourquoi vous n'avez pas arrêté votre voiture au bord de la route pour toucher l'écran ?"
Ensuite, l'avocat de ma mère a demandé à l'accusée à la place de ma mère, "Vous avez offert des fleurs sur le lieu de l'accident ?" Elle lui a répondu: "Quatre fois". Tout de suite, j'ai compris que les fleurs des autres trois fois ont été volées par quelqu'un comme dans le cas de ma famille. L'avocat a posé une autre question acerbe: "Votre père a contacté la famille de la victime, la compagnie d'assurance aussi. Qu'est-ce que vous avez fait vous-même pendant six mois, après la mort de la victime ?" L'accusée a répondu: "Mon statut mental était instable après l'accident. J'habitais pendant plusieurs semaines chez mes parents. J'ai arrêté de travailler quelques jours". Cependant, l'avocat lui a cyniquement demandé: "Pour l'instant, vous pouvez travailler ?" Elle a répondu."Oui". Dans mon cœur, "Quelle menteuse tu es !" Certainement, elle est jeune, 21 ans. Mais, elle n'a pas envoyé de lettre d'excuses à ma mère. Elle ne lui a pas demandé si'il lui était permis de prier devant l'autel familial, chez ma mère. En fait, le Karaoke était plus prioritaire que la rédemption pour cette accusée. Elle a passé joyeusement la fin d'année et fêté le nouvel an.
Et après, la mère de cette accusée était debout à la barre des témoins, en tant que témoin pour les circonstances atténuantes. J'ai pu comprendre qu'elle voulait défendre sa fille qui était accusée. Pourquoi elle n'a pas encouragé sa fille à écrire une lettre d'excuses et à aller prier devant l'autel familial etc. ? C'est une question de discipline dans un sens. Comme je n'ai pas d'enfant, je n'ai pas d'expérience pour élever un enfant, la société me critique parfois: "Pour qui tu te prends ?"
Ces parents ont proposé à ma mère de payer l'argent pour un règlement hors cour via l'avocat pendant la préparation de ce procès. Le montant était d'environ 790 euros. Évidemment, ma mère a refusé. Si elle l'acceptait, le procès devient avantageux pour l'accusée. Dans l'article "Un procès 1", j'ai écrit sur 香典 (le Kōden), leur Kōden était d'environ 234 euros. La somme était moins que celle des proches de mon père. Si la somme de kōden était d'environ 790 euros, je peux le comprendre. Je me plaignis de la somme de Kōden et de l'argent pour le règlement hors cour. C'est humble. Je le sais. On peut facilement imaginer que cet argent pour le règlement hors cour était une proposition de l'avocat de l'accusée. Est-ce que c'est considéré comme une sorte d'obligation ? J'ai pensé que l'accusée ne se repentait pas sincèrement. De plus, elle ne savait pas que ses parents préparaient cet argent. Dans ce procès, la parole de l'accusée l'a dévoilé. Pourquoi ses parents n'ont pas discuté sur l'argent avec elle ?, bien que leur fille ait causé l'accident.
Après le témoin pour les circonstances atténuantes, ma mère a énoncé son opinion, que nous avions écrit avec notre avocat. Quand elle lisait, elle a commencé à pleurer. Cela a étonné mon frère et moi. Tant bien que mal, elle a pu la finir. Finalement, l'accusée a exprimé des regrets, en versant des larmes. Cela m'a gêné. La procuratrice a prononcé un emprisonnement d'un an. L'avocat de l'accusée a argumenté une peine avec sursis, car mon père n'a pas passé un passage piéton. Je voulais demander à cet avocat: "Vous n'avez jamais passé hors le passage piéton jusqu'à maintenant ?"
Le jugement est rendu le 27 mars. Ma famille anticipait que le juge ajouterait un sursis. L'accusée a été condamnée à un an et deux mois d'emprisonnement avec sursis de quatre ans, comme nous nous y attendions. Mais, une crise d'hyperventilation l'a frappé, elle s'est recroquevillée pendant plusieurs minutes. Cela m'a fatigué. Dès lors, comme toujours, elle écrit des messages de LINE. Je pense que la mort de mon père n'a pas d'importance pour elle.
Repenser à l'accident, avoir des questions sans réponse, ne pas comprendre les réactions de l'accusé, ... Cela doit être une épreuve très difficile à vivre. Courage.
RépondreSupprimerIl va falloir accepter et passer à autre chose, mais cela va demander du temps.
Fabien
Bonjour Fabien,
RépondreSupprimerMerci pour ton commentaire.
Cette accusée écrit "Une nouvelle vie commence ! ^^ ",
j'en ai marre.
Il y a encore un procès civil de la compensationa financière,
mais, on sait pas encore si ma famille accusé cette conductrice.
Il faut discuter sur cette affaire avec l'avocat.
Généralement, toutes les familles de victimes ne sont pas consolées.
Travers à cet accident, je l'ai bien compris.