vendredi 27 mars 2020

La révolution du manga

L'exposition de la collection de Courtauld Gallery au musée préfectoral où j'ai eu l'intention d'aller pour voir "Un bar aux Folies Bergères" de Manet a été annulée à cause du Covid-19. En outre, bien que j'aie fini la lecture de "Où en sommes-nous ?" d'Emmanuel Todd, je ne peux pas lire son autre œuvre "L'origine des systèmes familiaux "(en japonais) que j'avais réservé à la bibliothèque municipale. Car, elle est aussi fermée. Je voulais voir le film "Les Misérables" de Ladj au cinéma. Mais, comme le cinéma est un espace fermé, c'est dangereux. J'y ai renoncé. Et alors, j'ai fait des dictées sur Internet ou écouté la radio à la maison. Une émission de France culture m'a attiré. Ce titre était "Tsuge Yoshiharu, la révolution du manga". Car, lorsque j'écrivais l'article "Pithecanthropus", je me suis souvenue de quelques chansons de TAMA qui sont influencées par lui. Une nouvelle dans cette émission m'a étonné. Tsuge Yoshiharu a reçu un Fauve d’honneur au Festival international de la bande dessinée d'Angoulême. Tous les Japonais connaissent le nom Tezuka Osamu, mais cet auteur de manga, Tsuge Yoshiharu, n'est pas tellement connu. Comme le monde de Tsuge Yoshiharu est inédit et original, certains gens s'engagent dans ce monde et soutiennent ses mangas. Je peux le comprendre.


Dans cette émission, Xavier Guilbert, commissaire d'expositions du festival, disait que Tsuge est à la bande dessinée, ce que Jean-Luc Godard est au cinéma français. Cette expression est correcte dans un sens. Il me semble que ce genre de manga fait partie de la culture souterraine dans l'ère Shōwa. Pour l'ensemble des œuvres de Tsuge Yoshiharu, son atmosphère est sombre et un peu obscène. Les années 60 et 70 où des ombres, socialement, restaient à l'arrière de la croissance économique. Je me demande si les Européens acceptent ses mangas. Est-ce que la rentabilité est espérée ? J'imagine que le traducteur français avait du mal à traduire ses mangas, en respectant le monde particulier de Tsuge. Cet auteur visitait souvent des villages de province au Japon, ses mangas s'inspirent de cette expérience. Ce n'est pas une sorte de littérature de voyage, l'auteur erre plutôt entre la réalité et l'illusion. On dit que c'est comme un voyage introverti. Cela entraîne les lecteurs.

Lorsque j'étais jeune, ses mangas "La vis", "L'homme sans talent" et "L'auberge de réalisme" etc. ont été tournés en film dans les années 90. Je crois que ces films ne sont pas sortis dans les pays étrangers. Comme il y a une attirance indicible dans les mangas de Tsuge, quelques cinéastes ont dû vouloir réaliser des images de ses mangas. La semaine dernière, j'ai demandé à ma mère si elle connaissait Tsuge Yoshiharu. Elle m'a répondu: "Oui, je connais seulement son nom. Mais, je n'ai jamais lu ses mangas." Je sais qu'elle n'aime pas tellement les mangas et qu'elle a un préjugé contre les mangas. Elle estime que ce sont les enfants qui lisent les mangas. Pour ma part, cela dépend de la qualité des mangas. Je pense que les mangas sont équivalents aux livres.

Il y a plus de cinq ans, j'ai lu le livre "Le carnet de voyage d'un pauvre". C'est un essai. Je voulais savoir comment cet auteur écrit des phrases. Son style d'écriture s'accompagnait de quelque chose de moite. Et pourtant, je pensais parfois à vouloir de tel voyage pendant cette lecture. Un chapitre "Le carnet de voyage d'une fugue" est très court. Le désir que l'on veut s'évader à l'insu de tout le monde compose une image de ce voyage. Bien que ce ne soit pas un manga, cela a fait un film. Les images du film sont bien réalisées.


À propos de l'intrigue du film, un auteur de manga tombe dans une impasse. Et alors, il voyage quelque part avec la table des horaires et le peu d'argent qu'il possède. Ce protagoniste est absolument l'alter ego de Tsuge. Il prend un train pour visiter son admiratrice qui lui a écrit une lettre. Il imagine qu'il se marie avec cette admiratrice, et que sa vie change. Dans le train, une jeune femme lui adresse la parole. "Est-ce que je peux vous guider dans mon village ?" Ici aussi, ce protagoniste se demande s'il vaut mieux se marier avec cette jeune femme. Des scènes avec un ton d'illusion continuent. Et après, il loge dans une auberge et voit son admiratrice. Tout de suite, il la demande en mariage. Comme elle est infirmière, elle est occupée. Elle lui répond: "Pourriez-vous attendre une semaine ?" Le protagoniste tue le temps et déambule. Il rencontre une personne âgée qui cherche une pierre pour sa tombe, un malade mental et une strip-teaseuse. Ces gens sont vraiment bizarres. Cette histoire s'enchevêtre à la fin. Franchement, je ne peux pas me rappeler la scène finale. Dans ce type de film, poursuivre l'intrigue est inutile. Il vaut mieux que les spectateurs flottent sur les images.

samedi 21 mars 2020

Intersections

La dernière fois, je voulais ajouté une présentation de l'album "Intersections" d'Into it. Over it. à l'article "La rémanence de disques". Mais, j'ai écrit un peu trop sur le disquaire. Quand le genre de musique "l'emo" a-t-il été engendré ? Je me suis demandée si un tel mouvement de musique est arrivé en Europe. Selon l'explication de Wikipédia, c'est dans les années 1980. Personnellement, le rock indépendant américain était à la mode dans les années 1990, beaucoup de labels indépendants ont été fondés. Quelques groupes de musique de ces labels se sont transférés dans des grandes maisons de disques. La subdivision du rock américain a résulté de ce flux. Par exemple, le rock alternatif, le grunge, le hardcore, le hardcore mélodique, le post-rock, et l'emo etc. Chaque label indépendant est très caractérisé et correspond à ces genres de musique. Depuis mon déménagement, je n'ai eu aucun nouveau disque ou CD. J'écoute parfois la radio sur Internet ou des chansons sur Youtube.

Il y a six ou sept ans, j'ai trouvé un groupe français de musique "Fauve" sur Youtube. En particulier, ses deux chansons "Nuits fauves" et "Cock music smart music" étaient impressionantes. Car, le riff de guitare m'a évoqué celui d'un groupe américain de musique "Modest Mouse". Le chanteur principal chante comme s'il récitait une poésie. Est-ce que ce style est strictement le rap ? Il me semble que le rock et le récital de poésie se mélangent. Dans la chanson "Le voyou", une mélodie de "Trio pour piano et cordes no. 2" de Schubert est utilisée. Ce groupe s'est déjà séparés, c'est dommage qu’il ne soit pas venu au Japon pour un concert.

Il faut revenir au sujet. J'ai écrit cet article, en écoutant le CD de l'album "Intersections". À mon avis, le temps d'écouter un album d'un artiste est très précieux et luxueux de nos jours. Parce que l'on est affairé, la majorité des gens écoutent souvent une chanson unique avec smartphone ou ordinateur. Il y a peu de gens qui écoutent un album, peut-être sauf la musique classique. Des chansons diverses sont compilées dans un album, et cependant, je crois que cet album est comme un roman ou une histoire. Dans le cas de disque, il y a deux faces. Pour que l'image totale de l'album ne soit pas divisée, l'ordre des chansons est important. La couverture et le livret du disque est plus grand que ceux du CD. Cela m'attire.

Cette fois, la photo de la couverture d'"Intersections" m'a plu. Un paysage d'une ville américaine est très ordinaire. Une rue est éclairée par des lampadaires sous un pont autoroutier ou ferroviaire dans la nuit. Un grand silence de la ville subsiste. Je peux facilement imaginer que des voitures et des gens se croisent dans l'après-midi. C'est comme le titre "Intersections". Le concept de l'album est bien exprimé.

Quant aux chansons de l'album, le tempo de la première chanson est calme, cela m'a étonné. Pourquoi le propriétaire du disquaire "Stiff Slack" m'a-t-il recommandé cet album ? Cette chanson n'est pas tellement le type de STARMARKET qui est un groupe suédois de musique. Il me semble que la sensation de courir manque dans cette chanson. Deux chansons "Spatial exploration" et "Upstate blues" sont typiquement le genre de l'emo. La chanson "Contractual obligation" est la meilleure de l'album pour moi. La durée de cette chanson est plus longue que celle des autres chansons de l'album. Cette partie finale d'environ une minute est un effet larsen de guitare, comme si un écho est lancé dans la ville. Ce n'est pas tellement bruyant. Un genre de musique est complètement établi, cela forme un moule. Des chansons se ressemblent, c'est inévitable. Cette fois, des chansons de cet album ont des variations. Ce genre "l'emo" a évolué grâce à beaucoup de nouveaux groupes de musique. De plus, il est possible qu'il engendre un autre genre.

vendredi 13 mars 2020

Pithecanthropus

Ma lecture de "Où en sommes-nous" d'Emmanuel Todd va finir bientôt. Après cette lecture, j'ai l'intention de lire son œuvre "L'Origine des systèmes familiaux". L'auteur mentionne le type familial d'homo sapiens dans le chapitre 3. La parole d'une chanson japonaise "Au revoir l'être humain" a surgi dans ma tête à cause de cela. Cette parole satirique: "Le jour où l'être humain devient Pithecanthropus approche."

Cette chanson est sortie en 1990, à mes 17 ans. L'apparence des membres de ce groupe de musique "Tama" était un peu bizarre. Il m'a semblé que l'atmosphère folklorique et nostalgique s'était mélangé. Pourquoi la chanson était à la mode ? Je pense que le déséquilibre de cette chanson était stupéfiant. Car, sa mélodie est pastorale, les paroles sont à la manière surréaliste. L'interlude de cette chanson ressemble au début de "God only knows" des "Beach Boys".

J'ai traduit ces paroles en français. Mon sens du vocabulaire japonais et français fait question. Maintenant, en écoutant cette chanson, j'écris cet article. Je m'efforce de me rappeler le climat social de cette époque (1990) . Le Japon était en pleine bulle spéculative. L'année suivante, cette conjoncture économique s'est effondrée, comme si c'était des bulles de savons. Je me suis demandée si le contenu de cette chanson tirait la sonnette d'alarme.

Cette chanson a symbolisé un tournant dans l'histoire japonaise. Lorsque j'étais étudiante, j'ai vu le film "2001, l'Odyssée de l'espace". La scène où des singes touchent une dalle noire m'a évoqué les paroles de cette chanson: "Je cherche seulement des aimants cassés sur la plage. Je deviens singe." Ce film et cette chanson suggèrent la régression de l'être humain, au fur et à mesure que la technologie progresse. En conséquence, c'était de la clairvoyance.


二酸化炭素(にさんかたんそ)をはきだして あの子(こ)が呼吸(こきゅう)をしているよ
Cet enfant expire du CO2 et respire

曇天模様(どんてんもよう)の空(そら)の下(した) つぼみのままでゆれながら
En étant bourgeon, il oscille sous les nouages

野良犬(のらいぬ)は僕(ぼく)の骨(ほね)くわえ 野生(やせい)の力(ちらか)をためしてる
Un chien errant tient mon os dans la bouche et essaie sa propre aptitude de sauvage

路地裏(ろじうら)に月(つき)が落(お)っこちて 
La lune tombe dans la ruelle

犬(いぬ)の目玉(めだま)は四角(しかく)だよ
Les yeux du chien sont carrés

今日(きょう)人類(じんるい)がはじめて 木星(もくせい)についたよ
Aujourd'hui l'être humain est arrivé pour la première fois à Jupiter

ピテカントロプスになる日(ひ)も近(ちか)づいたんだよ
Le jour où l'être humain devient Pithecanthropus approche

アラビアの笛(ふえ)の音(おと)響(ひび)く 街(まち)のはずれの夢(ゆめ)のあと
Le son d'une flûte arabe résonne après le rêve de la sortie de la ville

翼(つばさ)をなくしたペガサスが 夜空(よぞら)にはしごをかけている
Pegase perdant les ailes met une échelle contre le ciel nocturne

武器(ぶき)をかついだ兵隊(へいたい)さん 南(みなみ)にゆこうとしてるけど
Des soldats qui portent des armes sur leurs épaules vont vers le sud

サーベルの音(おと)はチャラチャラと 街(まち)の空気(くうき)を汚(よご)してる
Le bruit de leurs sabres cliquetants nuit à l'air dans la ville

歌(うた)を忘(わす)れた カナリア
Un canari qui oublie la chanson

牛(うし)を忘(わす)れた 牛小屋(うしごや)
Une étable qui oublie les vaches

壊(こわ)れた磁石(じしゃく)をひろい集(あつ)める博士(はかせ)はまるはげさ
Un docteur qui rammasse des aimants cassés est complètement chauve

あのこは花火(はなび)を打(う)ち上(あ)げて この日(ひ)がきたのを祝(いわ)ってる
Cet enfant lance un feu d'artifice et fête ce jour qui est arrivé

冬(ふゆ)の花火(はなび)は強(つよ)すぎて 
Comme le feu d'artifice en hiver est trop fort

僕(ぼく)らの身体(からだ)は砕(くだ)け散(ち)る
Notre corps est brisé

ブーゲンビリアの木(き)の下(した)で 僕(ぼく)はあのこを探(さが)すけど
Sous l'arbre de bougainvillier, je cherche cet enfant

月(つき)の光(ひかり)に邪魔(じゃま)されて あのこのカケラは見(み)つからない
La lumière de la lune me gêne, je ne trouve pas des fragments de cet enfant

猿(さる)にはなりたくない 猿(さる)にはなりたくない
Je ne veux pas devenir singe, je ne veux pas devenir singe

壊(こわ)れた磁石(じしゃく)を砂浜(すなはま)でひろっているだけさ
Je cherche seulement des aimants cassés sur la plage

猿(さる)になるよ 猿(さる)になるよ
Je deviens singe, je deviens singe

samedi 7 mars 2020

La rémanence de disques

Il y a deux semaines, je suis allée chez un disquaire "Stiff Slack" pour une donation, après le cours de français. À vrai dire, lorsque je discutais sur la musique avec un jeune coiffeur dans le salon, il y a plusieurs années, il m'a dit qu'il visitait parfois ce disquaire pour acheter des disques de genre de musique de l'emo. Maintenant, il ne travaille plus dans ce salon. Je ne sais pas s'il a démissionné ou changé de salon. Le propriétaire de ce magasin de disques est une de mes connaissances.

Je ne l'ai jamais visité depuis mon mariage. En travaillant au bureau le 20 février, je me suis souvenue tout à coup de son magasin. Je ne sais pas pourquoi. Et alors, j'ai vu son site. Une nouvelle sur l'écran m'a sauté aux yeux. C'était comme ça: "Ce magasin déménage à la fin de mars. En outre, il va s'équiper d'un bar et d'une boîte. Si vous approuvez cette idée, pourriez-vous faire une petite offrande ?" Ensuite, sa page de site de crowdfunding était indiquée. Je l'ai cliqué, la somme de son objectif était environ 38,461 euros. Cependant, le montant de donnation était déjà plus de 61,538 euros ce jour-là. Cela m'a étonnée. J'ai pensé que cette grosse somme reflétait concrètement le succès de son magasin pendant 16 ans. Je voulais faire une donnation. Mais je ne connaissais pas tellement la façon de procéder avec ce site de crowdfunding. J'ai cru qu'il vallait mieux visiter directement ce disquaire. Et pourtant, si je le visite, il est possible que ce propriétaire ne soit pas là. C'est embêtant. Je lui ai hâtivement envoyé un courrier. Sa réponse était qu'il était dans son magasin à partir de 13h jusqu'à 18h le 22 février.

Ce propriétaire avait oublié mon visage jusqu'à ce que j'y aille. C'est normal. Nous ne nous somme pas vus depuis plus de dix ans. Néanmoins, le jour dit, dès qu'il m'a vu, il m'a dit "Ah, ça fait longtemps !" Je lui ai parlé du processus de ma visite et de la petite histoire de ma vie (mariage, divorce, pour l'instant je n'ai pas de disque etc.).

Au Japon, la décroissance démographique devient considérable dorénavant. Tous les petits magasins sans grand capital sont obligés de se confronter à une conjoncture dure. Son projet d'un petit établissement polyvalent (disquaire, boîte et bar) est un grand défi et un pari. Avant que ce propriétaire tienne son propre magasin, il était employé dans un petit magasin de disques. À cette époque, il organisait souvent des concerts des groupes de musique américains qui avaient lieu à Nagoya. J'allais parfois à ces concerts auparavant. Et alors, je comprends bien qu'il veuille avoir sa propre boîte. Je souhaite que les jeunes expérimentent des concerts. Car, de telle expérience de concert est très précieuse. La scène est proche des auditeurs dans une petite boîte. On peut ressentir la présence. C'est comme si quelque chose s'imprègne dans le corps.

Après le bavardage d'environ une heure, j'ai passé l'argent pour la donation au propriétaire. Il m'a offert un CD (album "Intersections" d'Into It. Over It.). Comme je suis très faible en l'emo actuel, je lui ai demandé: "Quel type est ce groupe de musique ?" Il m'a répondu: "C'est comme STARMARKET. D'abord, écoute-le." STARMARKET est un groupe de musique suédois. J'avais ses trois albums. À l'instant, la rémanence des disques et CD que j'avais achetés chez le disquaire où il avait travaillé jadis m'a frappé. Non seulement lui, mais aussi d'autre vendeurs écrivaient un commentaire de chaque album de groupe de musique et d'artiste avec passion. J'aimais lire ces commentaires chez le disquaire, en imaginant le son de cet album. Parce que leur rôle est comme un médium de la musique. Leur frénésie pour elle déborde de ces commentaires. La circonstance qui entoure les disquaires a vraiment changé avec Internet.

De nos jours, on peut acheter des disques via Internet. Quelle est la raison d'être des disquaires en réalité ? Personnellement, c'est la mémoire de l'endroit. Avant de déménager, lorsque je triais environ mille disques afin de les vendre et les donner à mes amis, ma mère m'a demandé si je mémorisais où j'avais acheté ces disques. Je lui ai répondu que je le mémorisais en gros. Un disquaire où je suis allée parfois avec une amie, un autre disquaire où l'étalage des disques était bordélique, mais où la quantité des disques dans un genre étaient formidables. De plus, un autre disquaire où un vendeur n'était pas tellement sympathique, mais les commentaires de disques étaient soigneusement écrits. En somme, mon souvenir a jailli à travers ces disques. L'atmosphère des disquaires caractérisés est très originale. En général, on a du mal à enjamber le seuil d'un disquaire. Il faut s'encourager. Du côté du vendeur, son magasin ne refuse jamais un nouveau client. Ces dernières années, des magasins de disques disparaissent, ce paysage dans la ville est triste pour moi. C'est pour cela que je voulais célébrer le projet du propriétaire de "Stiff Slack". Pourvu que ça marche.