lundi 4 mai 2020

Nintendo Classic Mini

Mes cheveux poussent, néanmoins je ne peux pas aller chez le coiffeur pour l'instant. Il faut supporter. La semaine dernière, ma mère m'a dit: "Il n'y a personne qui sait quand le coronavirus fainit complètement. Mais des cadavres ne s'entassent pas dans la rue, il y a des aliments sur les étals du supermarché. Ce n'est pas vraiment la guerre. Rester à la maison n'est pas grave." Elle a raison. J'ai lavé des rideaux et des filtres de la climatisation le samedi dernier comme chaque printemps. La petite entreprise où je travaille subit l'impact du covid-19. Il est possible que je sois licenciée. On verra.

À propos, lorsque je suis retournée chez ma mère, j'ai joué aux jeux vidéo. Ça faisait longtemps. Mon frère a acheté un Nintendo Classic Mini l'année dernière et l'a offert à ma mère pour qu'elle prévienne la maladie d'Alzheimer. Et pourtant, cela ne l'intéresse pas, il traîne sous la télé depuis l'année dernière. Alors, j'y ai joué pour changer de la lecture comme loisir.

Ce qui m'a surprise, c'est que ce Nintendo Classic Mini est déjà équipé de 25 logiciels. C'est super. Lorsque j'étais écolière, j'ai souvent joué à quelques logiciels. Mais lorsque je suis devenue collégienne, je n'y ai plus joué parce que la vie scolaire devenait plus intense. De plus, j'écoutais la radio. Cette fois, j'ai joué aux logiciels "Donkey Kong", "Pac-Man", "Galaga" et "Ice Climber". Je n'ai pas pu obtenir un bon score. Mon mouvement de doigts était émoussé. J'ai cru que mon cerveau transmettait l'ordre trop lentement à mes doigts. En même temps, je n'ai pas pu plonger dans le jeu vidéo. Finalement, j'y ai seulement joué pendant environ 15 minutes. Le Nintendo Classic Mini est une version plus compacte que le Famicon de Nintendo. Probablement, mon frère a vu le Nintendo Classic Mini, il a dû éprouver de la nostalgie.

Je me suis souvenue d'un événement qui concerne le Famicon de Nintendo. Lorsque mon frère avait 9 ou 10 ans, il voulait acheter un Famicon. Il a patiemment épargné son argent de poche et ses étrennes car nos parents n'achetaient pas tellement de jouets. Un matin pendant les vacances du novel an, mon père a appelé mon frère de bonne heure pour aller à un magasin de jouets, il s'est levé tout de suite et lui a répondu "Oui" comme un soldat. Il a réussi à l'acheter. Entretemps, il est devenu collégien et il n'y a plus joué.

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