L'autre jour, un article sur Internet a attiré mon attention. Le contenu en était les propos qu'un humoriste japonais avait tenus dans sa propre émission de radio: "Après la fin du coronavirus, il y aura une chose jouissive. Des jolies femmes travaillent dans le commerce du sexe, car elles doivent gagner de l'argent à court terme. Ces jolies femmes travaillent intensivement pendant environ trois mois, et après elles arrêtent. Alors, supportons cette situation de l'épidémie. J'y crois, je supporte !!" Ces paroles ont provoqué la polémique. En lisant cet article, j'ai éstimé qu'il était vachement con. Je ne regarde pas les émissions de télé dans lesquelles il se produit depuis longtemps. Comme cet humoriste est populaire, son revenu annuel est de plus de cent millions yens (environ 800,000 euros). Mais, il ne fait pas un don pour le coronavirus.
Si, par exemple, une étudiante ne peut pas payer ses frais de scolarité à l'université, parce que son père a perdu son emploi à cause de la faillite de son entreprise due au coronavirus, elle est obligée de se prostituer pour gagner efficacement de l'argent. Cet humoriste espère une telle situation. De plus, il ne pouvait pas penser que cette mauvaise idée était honteuse, il l'a dit en public. Pourquoi les responsables de cette émission de radio n'ont-ils pas interrompu ces paroles ?
À propos, selon l'index de l'écart entre la condition de la femme et celle de l'homme en 2019, le rang du Japon est 121 sur 153 pays, celui de l'année précédente était 110. Mon pays (Japon) est sans aucun doute un pays pseudo-développé. Je pense que les paroles de cet humoriste japonais sont basées sur le machisme. Il a 49 ans, et il appartient à la génération de "Junior du Babyboom". Moi aussi. Lorsque j'étais lycéene, une amie et moi avons discuté de nos parents. Ils ont été élevés par des parents nés avant la guerre, ils ont herité plus ou moins la norme du machisme.
En 2007, le ministre de la santé a dit: "Les femmes de 15 à 50 ans sont des machines à coucher." Cette parole était scandaleuse. Ce minisitre est né avant la guerre. Même si cette parole était utilisée au sens figuré, la societé japonaise engendre de telles idées. Parfois, mon père ou certains hommes agés disaient que les femmes étaient infâmes. Car les femmes ont leurs règles. Est-ce que c'est dégueulasse ? Je pense que c'est une misogynie contradictoire. Je veux répliquer à ces hommes en leur crachant: "Tu es né dans l'entrejambe d'une femme, et tu es empli de désir charnel pour ces femmes, et tu oses dire que les femmes sont infâmes, alors, ne fais plus l'amour jusqu'à ta mort ! Masturbe-toi seulement !" Les femmes japonaises doivent vivre astucieusement dans cette société machiste, elles ne sont pas exemptes du duplicité.
Autrefois, quand j'avais 14 ou 15 ans, j'ai lu un roman de la bibliothèque de mes parents: "La limite du bonheur" d'Ishikawa Tatsuzō dans. Une phrase était très impressionante: "Est-ce que l'épouse n'est qu'une bonne à tout faire et un exutoire sexuel ?" Ce qui me surprend c'est que l'idée de cette phrase persiste encore de nos jours. Ce roman a été écrit en 1947, l'année de naissance de ma mère. Au Japon, les maris ne partagent pas tellement le travail domestique. De temps en temps, j'entends les plaintes de plusieurs amies. Selon le taux des maris qui participent au travail domestique en 2012, le rang de Japon était 33 sur 33 pays. Bravo !! Ce résultat indique que l'améliolation mentale chez les maris japonais n'a pas été pratiquée.
Lorsque j'étais en France, après avoir lu un article de journal sur les inégalités hommes-femmes pendant un cours, une professeur de l'école linguistique m'a dit: "En France, il y a un plafond invisible pour les femmes." Cela m'a étonnée, parce que la position des Françaises est meilleure que celle des Japonaises. Cela ne change pas. Probablement, cette professeur a dû comparer la différence de situation entre les femmes et les hommes dans les pays nordiques.
Si, par exemple, une étudiante ne peut pas payer ses frais de scolarité à l'université, parce que son père a perdu son emploi à cause de la faillite de son entreprise due au coronavirus, elle est obligée de se prostituer pour gagner efficacement de l'argent. Cet humoriste espère une telle situation. De plus, il ne pouvait pas penser que cette mauvaise idée était honteuse, il l'a dit en public. Pourquoi les responsables de cette émission de radio n'ont-ils pas interrompu ces paroles ?
À propos, selon l'index de l'écart entre la condition de la femme et celle de l'homme en 2019, le rang du Japon est 121 sur 153 pays, celui de l'année précédente était 110. Mon pays (Japon) est sans aucun doute un pays pseudo-développé. Je pense que les paroles de cet humoriste japonais sont basées sur le machisme. Il a 49 ans, et il appartient à la génération de "Junior du Babyboom". Moi aussi. Lorsque j'étais lycéene, une amie et moi avons discuté de nos parents. Ils ont été élevés par des parents nés avant la guerre, ils ont herité plus ou moins la norme du machisme.
En 2007, le ministre de la santé a dit: "Les femmes de 15 à 50 ans sont des machines à coucher." Cette parole était scandaleuse. Ce minisitre est né avant la guerre. Même si cette parole était utilisée au sens figuré, la societé japonaise engendre de telles idées. Parfois, mon père ou certains hommes agés disaient que les femmes étaient infâmes. Car les femmes ont leurs règles. Est-ce que c'est dégueulasse ? Je pense que c'est une misogynie contradictoire. Je veux répliquer à ces hommes en leur crachant: "Tu es né dans l'entrejambe d'une femme, et tu es empli de désir charnel pour ces femmes, et tu oses dire que les femmes sont infâmes, alors, ne fais plus l'amour jusqu'à ta mort ! Masturbe-toi seulement !" Les femmes japonaises doivent vivre astucieusement dans cette société machiste, elles ne sont pas exemptes du duplicité.
Autrefois, quand j'avais 14 ou 15 ans, j'ai lu un roman de la bibliothèque de mes parents: "La limite du bonheur" d'Ishikawa Tatsuzō dans. Une phrase était très impressionante: "Est-ce que l'épouse n'est qu'une bonne à tout faire et un exutoire sexuel ?" Ce qui me surprend c'est que l'idée de cette phrase persiste encore de nos jours. Ce roman a été écrit en 1947, l'année de naissance de ma mère. Au Japon, les maris ne partagent pas tellement le travail domestique. De temps en temps, j'entends les plaintes de plusieurs amies. Selon le taux des maris qui participent au travail domestique en 2012, le rang de Japon était 33 sur 33 pays. Bravo !! Ce résultat indique que l'améliolation mentale chez les maris japonais n'a pas été pratiquée.
Lorsque j'étais en France, après avoir lu un article de journal sur les inégalités hommes-femmes pendant un cours, une professeur de l'école linguistique m'a dit: "En France, il y a un plafond invisible pour les femmes." Cela m'a étonnée, parce que la position des Françaises est meilleure que celle des Japonaises. Cela ne change pas. Probablement, cette professeur a dû comparer la différence de situation entre les femmes et les hommes dans les pays nordiques.
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