J'ai recommencé à suivre le cours de français à partir d'avril. C'est bien. Au Japon, la quatrième vague du covid-19 est en train de se répandre à cause du variant anglais. Mais, je travaille avec entrain comme d'habitude en semaine. Maintenant, j'écris cet article dans mon bureau. Le climat printanier est agréable, la somnolence me gagne de temps en temps. La cérémonie de sortie ou d'entrée a lieu dans toutes les écoles pendant le mois de mars et d'avril. La majorité des gens s'activent pour l'instant. De plus, le relais de la flamme olympique commence. Il y a beaucoup de spectateurs au bord de la rue pour le voir. La vaccination au Japon est plus tardive que dans les autres pays. Est-ce que la quatrième vague s'aggrave ? En tout cas, on ne sait pas quel est le meilleur moyen d'en finir avec cette épidémie. Même si je réfléchis à ce status quo, je ne pourrais pas trouver des solutions.
Comme toujours, j'ai vu sept films sur DVD. Je suis allée au cinéma pour voir deux films le mois dernier. Alors, présentons ces deux films. Premièrement, c'est "Scent of My Daughter". Au début de la scène, l'attentat du 14 juillet à Nice en 2016 est provoqué par un camion. Malheureusement, l'héroïne Béatrice a perdu sa fille, son mari et son père à cause de cet attentat. Elle obéit au testament de son père arménien, elle visite un village arménien qui se trouve en Turquie pour son enterrement. La désolation pèse sur elle, Béatrice essaie de se suicider dans le cimetière. À cet instant, une fille kurde Hevi est caché derrièrre un arbre se précipite sur Béatrice pour l'en empêcher. Cette fille a été arrêtée par l'État islamique et était traitée en tant qu'esclave. Et après, l'armée turque a sauvé de telles filles. Cependant, comme Hevi a entendu que sa sœur vit dans un camp de réfugiés, elle s'enfuit pour la chercher. Alors, Béatrice et Hevi se rencontrent par hasard au cimetière. Elles logent dans une auberge du village. Elles communiquent grâce à la traduction du smartphone de Béatrice. L'une et l'autre comprennent leur situation respictive tant bien que mal.
Le lendemain, Béatrice demande en anglais à l'hôtesse de cette auberge s'il y a un bus pour le camp de réfugiés. L'hôtesse ne peut pas comprendre ce qu'elle dit. Comme son neveu Ibrahim qui habitait aux États-Unis est retourné en Turquie, il traduit en turc cette question. Ibrahim aussi, ses parents sont déja morts. L'hôtesse lui demande de les accompagner là-bas. Ces trois personnes visitent en voiture plusieurs camps de réfugiés afin de chercher la sœur d'Hevi. Finalement, Hevi réussi à revoir sa sœur.
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