
J'ai lu le livre "Le Lysis (sur Amitié)" de Platon qui était dans une bibliothèque de mes parents à mes 17 ou 18 ans. Ce livre pose une question aux lecteurs; "Qu'est-ce que c'est l'amitié ?". Le dialogue entre Socrate et Lysis continue comme un dialogue zen, ce dialogue n'est pas ennuyeux. En fait, la conclusion n'est pas donnée. Le processus de réfléchir est important, ce qui m'intéresse. Cette fois aussi, le livre "Antimanuel de philosophie" m'a donné la même impression. En lisant ce livre, je trouve que Michel Onfray pense toujours que toutes les choses deviennent un sujet philosophique.

À propos du livre "Antimanuel de philosophie", il est écrit non seulement pour les candidats au bac, mais aussi pour tout le monde. À travers les cours de philosophie au lycée, il n'est pas facile de s'accoutumer à la pensée philosophique. Principalement, les enfants sont plus philosophes que les adultes. Car le sens commun tient les adultes dans la contrainte. La parole "Les enfants sont tous philosophes, seuls certains le demeurent" de Michel Onfray, a provoqué la production du film documentaire "Ce n'est qu'un début". Les adultes travaillent, font le travail domestique, s'occupent des enfants, et ont des problèmes à régler. Ils sont affairés, Et puis, on se demande ; "Qu'est-ce que j'ai fait en 2016 ?". Le temps passe vite.
Cependant, en menant sa vie, c'est important que l'on continue de penser à des choses variées et d'appliquer la pensée philosophique. Je trouve que Michel Onfray le propose bien dans son livre. Au fur et à mesure que l'on vieillit, on fixe des stéréoptypes, on s'inquiète du regard d'autrui. La manière de penser n'est pas flexible, des cellules cérébrales vont mourir petit à petit. On mémorise une chose, on l'oublie tout de suite. De mon côté, l'apprentissage de cette langue est un peu une prévention de la maladie d'Alzheimer.
Comme je n'ai pas suivi de cours de philosophie dans le curriculum scolaire au lycée, je ne sais à pratiquer faire la pensée philosophique. Le cours d'éthique existe à la place de celui de philosophie, mais c'est une matière au choix. Lorsque j'étais lycéenne, ma mère m'a demandé; "Maintenant, est-ce qu'il n'y a pas de cours d'éthique au lycée ? Quand j'étais lycéenne, c'était une matière obligatoire. Je n'ai pas aimé l'examen d'éthique. Car, par exemple, qu'est-ce que c'est <idea> ?, c'était seulement cette question. c'était terrible". Cette conversation m'a donné la raison pour laquelle "Le Lysis" de Platon se trouvait dans sa bibliothèque.
Cependant, en menant sa vie, c'est important que l'on continue de penser à des choses variées et d'appliquer la pensée philosophique. Je trouve que Michel Onfray le propose bien dans son livre. Au fur et à mesure que l'on vieillit, on fixe des stéréoptypes, on s'inquiète du regard d'autrui. La manière de penser n'est pas flexible, des cellules cérébrales vont mourir petit à petit. On mémorise une chose, on l'oublie tout de suite. De mon côté, l'apprentissage de cette langue est un peu une prévention de la maladie d'Alzheimer.
Comme je n'ai pas suivi de cours de philosophie dans le curriculum scolaire au lycée, je ne sais à pratiquer faire la pensée philosophique. Le cours d'éthique existe à la place de celui de philosophie, mais c'est une matière au choix. Lorsque j'étais lycéenne, ma mère m'a demandé; "Maintenant, est-ce qu'il n'y a pas de cours d'éthique au lycée ? Quand j'étais lycéenne, c'était une matière obligatoire. Je n'ai pas aimé l'examen d'éthique. Car, par exemple, qu'est-ce que c'est <idea> ?, c'était seulement cette question. c'était terrible". Cette conversation m'a donné la raison pour laquelle "Le Lysis" de Platon se trouvait dans sa bibliothèque.
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