Je suis allée au théâtre pour voir la pièce "Tosca" il y a deux semaines. C'était la première fois. Lorsque j'étais en France, je voulais voir une pièce d'opéra. Mais, cela ne s'est pas réalisé. Chaque fois que plusieurs correspondants racontent l'opéra, je le regrette.
Au Japon, le billet d'opéra coûte très cher. Ma place était au balcon du quatrième étage, cinquième rang. Le prix était 17000 yen (environ 163 euros). Ma ville a versé une subvention pour cette représentation. Dans le programme, un message d'accueil a été écrit par le maire. Relativement, tous les billets étaient moins chers que les autres représentations avec déménagement.
Qu'est-ce que c'est "la représentation avec déménagement" ? Je crois que c'est un système unique au Japon. À part le bâtiment de théâtre, l'ensemble des décors et des gens qui concernent la représentation sont apporté au Japon. Le système est né dans les années 80 où le Japon a connu une bulle spéculative. On dit que le nombre de représentation avec déménagement est en train de diminuer à cause de la récession ces dernières années. La classe riche peut voyager dans les pays étrangers, n'importe quand, afin de voir des pièces d'opéra. Au fur et à mesure que beaucoup de DVD d'opéra sont vendus, les gens qui ne peuvent pas acheter un billet d'Optima s'en contentent un peu. Et alors, il est possible qu'ils n'aillent pas plus souvent au théâtre qu'avant.
J'ai vu la pièce "Tosca" montée par Teatro Massimo, ces billets d'opéra n'ont pas été épuisés. Les places d'Optima (environ 275 euros) étaient presque completes, mais les places du troisième et du quatrième rang devant moi étaient vides. Il n'y avait personne. Car, à partir du cinquième rang, c'était 17000 yen (environ 163 euros), à partir du premier rang jusqu'au quatrième rang, c'était 23000 yen (environ 187 euros). C'est trop cher.
À propos de la représentation, c'était impressionant. La voix est vraiment un instrument, je l'ai senti de nouveaux. Comme je ne suis pas très au courant sur l'opéra, les admirateurs d'opéra doivent être étonnés que je ne connaisse pas les noms des chanteurs d’opéra Fiorenza Celdolis et Marcello Giordani.
Deux affichages dynamiques pour les sous-titres en japonais ont été installés sur le côté droit et gauche de la scène. Au début, il m'a semblé que c'était pratique. Environ 30 minutes ont passé, je n'ai pas tellement vu la scène pour lire ces paroles. J'ai jugé que ce n'était pas nécessaire de lire des sous-titres, parce que j'avais déjà lu le livre "Tosca" en italien et en japonais le mois dernier.
Des admirateurs, autour de moi préparaient leurs jumelles de théâtre avant que deux aria "Vissi d'arte" et "Lucevan le stelle" commencent, et ils attendaient ce moment. Dorénavant, si je peux voir l'opéra au théâtre, il vaudrait mieux acheter des jumelles de théâtre.
Au fil des siècles, l'opéra survit. Qu'est-ce que c'est cet envoûtement pour l'opéra ? Que j'en voie beaucoup de fois, je ne pourrais jamais le comprendre. Le héros du film "Fitzcarraldo" rêve de construire un théâtre d'opéra pres en amont d'une rivière amazonienne. Il entame ce projet fou. Maintenant, j'ai compris un peu l'ambition de "Fitzcarraldo" .
Qu'est-ce que c'est "la représentation avec déménagement" ? Je crois que c'est un système unique au Japon. À part le bâtiment de théâtre, l'ensemble des décors et des gens qui concernent la représentation sont apporté au Japon. Le système est né dans les années 80 où le Japon a connu une bulle spéculative. On dit que le nombre de représentation avec déménagement est en train de diminuer à cause de la récession ces dernières années. La classe riche peut voyager dans les pays étrangers, n'importe quand, afin de voir des pièces d'opéra. Au fur et à mesure que beaucoup de DVD d'opéra sont vendus, les gens qui ne peuvent pas acheter un billet d'Optima s'en contentent un peu. Et alors, il est possible qu'ils n'aillent pas plus souvent au théâtre qu'avant.
J'ai vu la pièce "Tosca" montée par Teatro Massimo, ces billets d'opéra n'ont pas été épuisés. Les places d'Optima (environ 275 euros) étaient presque completes, mais les places du troisième et du quatrième rang devant moi étaient vides. Il n'y avait personne. Car, à partir du cinquième rang, c'était 17000 yen (environ 163 euros), à partir du premier rang jusqu'au quatrième rang, c'était 23000 yen (environ 187 euros). C'est trop cher.
À propos de la représentation, c'était impressionant. La voix est vraiment un instrument, je l'ai senti de nouveaux. Comme je ne suis pas très au courant sur l'opéra, les admirateurs d'opéra doivent être étonnés que je ne connaisse pas les noms des chanteurs d’opéra Fiorenza Celdolis et Marcello Giordani.
Deux affichages dynamiques pour les sous-titres en japonais ont été installés sur le côté droit et gauche de la scène. Au début, il m'a semblé que c'était pratique. Environ 30 minutes ont passé, je n'ai pas tellement vu la scène pour lire ces paroles. J'ai jugé que ce n'était pas nécessaire de lire des sous-titres, parce que j'avais déjà lu le livre "Tosca" en italien et en japonais le mois dernier.
Des admirateurs, autour de moi préparaient leurs jumelles de théâtre avant que deux aria "Vissi d'arte" et "Lucevan le stelle" commencent, et ils attendaient ce moment. Dorénavant, si je peux voir l'opéra au théâtre, il vaudrait mieux acheter des jumelles de théâtre.
Au fil des siècles, l'opéra survit. Qu'est-ce que c'est cet envoûtement pour l'opéra ? Que j'en voie beaucoup de fois, je ne pourrais jamais le comprendre. Le héros du film "Fitzcarraldo" rêve de construire un théâtre d'opéra pres en amont d'une rivière amazonienne. Il entame ce projet fou. Maintenant, j'ai compris un peu l'ambition de "Fitzcarraldo" .
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