Comme j'ai écrit l'article "La Tuile de Tenpyô" le mois dernier, je vous raconte un souvenir de mon voyage.
À mes vingt ans, j'ai voyagé pour la première fois à l'étranger avec une amie qui s'appelle XYZ. Elle et moi étions étudiantes, on avait beaucoup de temps libre. À cette époque-là, elle apprenait le chinois, son professeur était une étudiante chinoise au Japon. Un jour, une autre amie m'a dit que XYZ planifiait un voyage en Chine. J'allais dans l'université différente des leurs. Alors, j'ai téléphoné à XYZ: "Tu pars quand en Chine ? Franchement, je voudrais y aller avec toi. Car je veux voir la Grande Muraille de mes propres yeux." Elle m'a répondu: "Pendant les vacances d'été, au total une semaine ou deux. Mais, j'ai l'intention de prendre un paquebot pour économiser le budget, ça va ?" Et après, nous sommes allées en Chine en paquebot. Le nom de ce paquebot est "Jianzhen".
La route était à partir de Kobe jusqu'à Shanghai, j'ai passé trois jours et deux nuits. C'était ardu. Les vagues de la mer intérieure étaient calmes. Au contraire, celles de la haute mer secouaient beaucoup. D'abord, je ne savais pas pourquoi toutes les chaises d'un restaurant étaient calées sur le plancher. C'était pour qu'elles ne se déplacent pas à cause de la houle. Malheureusement, le mal de mer m'a attaqué. J'étais sur le pont autant que possible pour éviter des vomissements. Jianzhen devait résister à beaucoup de houles. La brise salée a atténué un peu la nausée. Néanmoins, je n'avais pas tellement faim. Mon amie et moi étions assises sur un canapé, on a hésité à aller dîner. À ce moment-là, un marin nous a adressé la parole: "Même si vous vous sentez mal, il vaut mieux que vous preniez un repas. Nous nous habituons à la houle, nous nous sentons mal de temps en temps." Alors, nous avons dîné. Et après, des autres passagers japonais ou chinois et nous, avons bavardé. Tout le monde a enseigné réciproquement chaque langue maternelle en cercle.
Un intru japonais qui avait la soixantaine a détruit notre air paisible. Il a osé appeler les noms de quelques villes chinoises à la manière japonaise. Jadis, l'armée japonaise a envahi la Chine, ces appellations ont été utilisées. Je ne savais pas pourquoi cet homme allait en Chine. Dans quel but ? Pour affaire ? Est-ce que son père est mort en Chine pendant la Seconde Guerre mondiale ? Une étudiante japonaise l'a accusé :"Arrêtez ces appellations, s'il vous plaît." Cet homme n'a rien dit, il est retourné dans sa chambre. Finalement, cette réunion a fini.
Nous connaissons un peu la Seconde Guerre mondiale à travers des cours de l'histoire mondiale. Mais, lors de cet échange culturel, on s'est détaché plutôt de l'événement historique, il vaut mieux que l'on se fréquente. Par la suite, mon amie et moi nous sommes déplacées de nouveau sur le pont. Sous la voûte étoilée comme un planétarium, la mer dominait immensément. Le petit incident est arrivé tout à l'heure, il m'a semblé que c'était trop nul devant la nature grandiose.
La route était à partir de Kobe jusqu'à Shanghai, j'ai passé trois jours et deux nuits. C'était ardu. Les vagues de la mer intérieure étaient calmes. Au contraire, celles de la haute mer secouaient beaucoup. D'abord, je ne savais pas pourquoi toutes les chaises d'un restaurant étaient calées sur le plancher. C'était pour qu'elles ne se déplacent pas à cause de la houle. Malheureusement, le mal de mer m'a attaqué. J'étais sur le pont autant que possible pour éviter des vomissements. Jianzhen devait résister à beaucoup de houles. La brise salée a atténué un peu la nausée. Néanmoins, je n'avais pas tellement faim. Mon amie et moi étions assises sur un canapé, on a hésité à aller dîner. À ce moment-là, un marin nous a adressé la parole: "Même si vous vous sentez mal, il vaut mieux que vous preniez un repas. Nous nous habituons à la houle, nous nous sentons mal de temps en temps." Alors, nous avons dîné. Et après, des autres passagers japonais ou chinois et nous, avons bavardé. Tout le monde a enseigné réciproquement chaque langue maternelle en cercle.
Un intru japonais qui avait la soixantaine a détruit notre air paisible. Il a osé appeler les noms de quelques villes chinoises à la manière japonaise. Jadis, l'armée japonaise a envahi la Chine, ces appellations ont été utilisées. Je ne savais pas pourquoi cet homme allait en Chine. Dans quel but ? Pour affaire ? Est-ce que son père est mort en Chine pendant la Seconde Guerre mondiale ? Une étudiante japonaise l'a accusé :"Arrêtez ces appellations, s'il vous plaît." Cet homme n'a rien dit, il est retourné dans sa chambre. Finalement, cette réunion a fini.
Nous connaissons un peu la Seconde Guerre mondiale à travers des cours de l'histoire mondiale. Mais, lors de cet échange culturel, on s'est détaché plutôt de l'événement historique, il vaut mieux que l'on se fréquente. Par la suite, mon amie et moi nous sommes déplacées de nouveau sur le pont. Sous la voûte étoilée comme un planétarium, la mer dominait immensément. Le petit incident est arrivé tout à l'heure, il m'a semblé que c'était trop nul devant la nature grandiose.
Bonjour Yoroboshi
RépondreSupprimerUne suite de votre périple en Chine ?
Frédéric
Bonsoir Frédéric,
SupprimerA cette epoque la, mon amie et moi avons visite
Shanghai et Pekin.
Je voulais aller à Xi'an pour l'armée de terre cuite.^^
Mais, je souhaite prendre le transsibérien un jour.
Je ne sais pas lire l'alphabet cyrillique.
D'abord, il faut économiser.
Bon week-end.
Bonjour Yoroboshi
RépondreSupprimerTranssibérien ou orient-express ?
En tout cas bon projet...
Bonne continuation
Frédéric
Bonjour Frédéric,
SupprimerJe voudrais prendre le Transsibérien.
L'orient-express est très cher.
Mon salaire est dérisoire,
je n'imagine que le projet de voyage.
C'est la réalité.
Bonne journée !