J'ai fini la lecture de "Le Perroquet de Flaubert" (en français) de Julian Barnes. L'année dernière, lorsque mon prof est retourné en France, il a acheté deux livres ("Le Perroquet de Flaubert" et "Où en sommes-nous ?") que je lui avais demandé d'acheter.
Auparavant, en me montrant le livre "Une fille, qui danse" de Julian Barnes, ma mère m'a dit que ce livre n'était pas mal, cet auteur a été couronné du prix Booker. Je lui ai répondu: "Ah, c'est bien, il a enfin pu obtenir le prix Booker". Cette parole l'a étonnée. Elle m'a demandé si j'avais lu ses autres romans. Tout à fait. Lorsque j'étais lycéenne, j'ai lu "Le Perroquet de Flaubert", "Le Soleil en Face" et "Une histoire du monde en 10 chapitres 1/2". Je n'ai pas fait exprès de lui rapporter toutes ces lectures. Et pourtant, je n'ai pas pu tellement me souvenir de ses contenus. Le film "À l'heure des souvenirs" est basé sur ce roman "Une fille, qui danse". Ma mère l'a vu et m'a dit que le roman était mieux que le film. C'est le réalisateur du film "The Lunchbox" sur lequel j'avais écrit en 2019, Ritesh Batra qui a tourné "À l'heure des souvenirs". Mais je ne l'ai pas encore vu.
Quant au roman "Le Perroquet de Flaubert", en le lisant, je me suis demandée si c'était vraiment le genre "roman". À mes 16 ans, j'avais l'impression que ce roman était bizarre. Je ne connaissais que le nom de cet auteur, Gustave Flaubert. Je n'avais pas encore lu "Madame Bovary". Cela peut paraître étrange, mais cette lecture ne m'a pas lassé, sans connaissance sur Flaubert. Ce qui m'a intéressé, c'est une expression dans le chapitre Ⅱ CHRONOLOGIE: "1852 Quelle mauvaise chose que la vie, n'est-ce pas ? C'est un potage sur lequel il y a beaucoup de cheveux, et qu'il faut manger pourtant." C'est plein d'ironies et une métaphore admirable. On peut percevoir le signe de l'esprit désabusé. J'ai pouffé, mais il a raison. L'amertume de la vie est représentée. Charles Baudelaire a écrit: "Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit." Carrément, l'expression de Flaubert m'a plu davandage que celle de Baudelaire.
À mes 16 ans, grâce à "Le Perroquet de Flaubert", j'ai su que "Le dictionnaire des idées reçues" était satirique, cela m'a tenté. Mais je ne le lis pas encore. Il n'y a personne qui m'a recommandé "Le dictionnaire des idées reçues" jusqu'à maintenant. À vrai dire, bien que j'aie lu "Madame Bovary" il y a plus de dix ans, j'ai pensé que c'était simplement le roman de l'adultère. Pourquoi ce roman est un chef-d'œuvre ? Je n'ai pas pu comprendre. Le sens de la littérature me manque peut-être. Si je le lis en français, est-ce que mon avis changera ? Je crains de ne pas parvenir à comprendre son style minutieux.
À propos du chapitre Ⅵ "LES YEUX D'EMMA BOVARY", lorsque vous lisiez ce roman, est-ce que vous avez remarqué que la couleur de ses yeux avait changé ? Je ne le savais pas. De telle contradiction arrive souvent dans des films. De temps en temps, elle est l'astuce dans un film à suspense. Cependant, on le remarque ou pas. Cela n'a pas de rapport avec le progrès de l'histoire dans les films, on peut savourer les films. La couleur des yeux d'Emma m'était égale. La vie conjugale ennuie Emma, elle aspire à la vie libre et brillante. Malheureusement, elle marche sur le chemin de la ruine. Le changement de son cœur intérieur m'a attiré. Julian Barnes déclare dans "Le Perroquet de Flaubert": "Je ne peux prouver que les lecteurs profanes apprécient plus les livres que les critiques professionnels, mais je peux vous dire un avantage que nous avons sur eux; nous pouvons oublier." Comme il est écrivain, cette phrase est engendrée ? Ou c'est son souhait ? Et pourtant, cela me raassure. Car cette idée m'autorise la lecture disponible de ce roman "Le perroquet de Flaubert". L'écriture de Julian Barnes est parfois comme un essai et une critique littéraire, il devient le personnage de Louise Colet et écrit sur Flaubert. C'est très agréable. Il a étudié la littérature française à l'Université d'Oxford. J'ai suffisamment considéré qu'il avait un grand respect pour Flaubert. Le cadre de la formule existante du roman est enlevée, cet écrivain continue à s'interroger sur ce qu'est le roman.
Maintenant, le perroquet de la nouvelle "Un cœur simple" me tente, je veux la lire un jour.
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