vendredi 20 novembre 2020

Est-ce que nous avons besoin de la religion ?

J'ai lu un article sur Internet, un savant japonais religieux a écrit que la religion était en train de ne plus être nécessaire. Néanmoins, il y a encore des gens qui provoquent un attentat. Je ne pense pas tellement que la religion nous aide. 

Quant au meurtre de Samuel Paty, une question surgit pour moi. Selon des infos, cet enseignant a montré aux élèves des caricatures de Mahomet du journal Charlie Hebdo pour qu'ils apprennent la liberté d'expression. Pourquoi Samuel Paty n'a pas montré des caricatures d'autres religions ? On peut facilement trouver des caricatures de Jesus Christ et de Yahweh, et de Buddha etc. sur Internet. Il vaut mieux les traiter pareillement. La notion de "喧嘩両成敗 (Kenka ryouseibai)" n'existe pas dans le monde occidental ? "喧嘩両成敗 (Kenka ryouseibai)" veut dire que les deux parties sont à blâmer dans une querelle. C'est comme un match nul. On ne peut pas mesurer la supériorité ou l'infériorité des religions.

Réfléchissons au status quo, la religion ne sait pas quoi faire contre l'épidémie invisible. La prière soit la liberté personnelle. Moi aussi, je prie que le vaccin contre le coronavirus est inventé dès que possible et que l'épidémie s'achève. Même si un terroriste n'accomplit pas un acte de kamikaze, beaucoup de gens meurent à cause du coronavirus chaque jour. Je me demande si c'est en vain qu'un homme meurt pour la religion et la doctrine ou tue quelqu'un. Donc, tous les vivants sont tributaires de la mort.

Ici, présentons un film drôle "Tel Aviv on Fire" que j'ai récemment vu. Le protoganiste Salam qui a profité des relations de son oncle, travaille dans une station de télévision palestinienne. Pour l'instant, il corrige la prononciation de l'hébreu pour des acteurs dans un mélodrame palestinien "Tel Aviv on Fire". Salam qui habite à Jérusalem est palestinien et a la nationalité israélienne. Alors, il doit traverser le poste de contrôle tous les jours pour aller travailler à Ramallah. C'est embêtant.


Un jour, une parole de Salam cause un problème au poste de contrôle. Le commandant de l'armée israélienne interroge Salam. Salam ment en disant qu'il est scénariste du mélodrame "Tel Aviv on Fire". Ce commandant lui dit que sa femme adore ce mélodrame. Dès lors, Salam est arrêté chaque fois au poste de contrôle. Ce commandement israélien lui conseille l'uniforme militaire et le comportement du soldat israélien dans ce drame. Il lui donne des ordres sur le déploiement du drame. Finalement, il demande de lui faire jouer un rôle dans ce drame. L'échange entre ces deux hommes est comique. 

À propos du synopsis de ce mélodrame, dans les années 60, une femme palestinienne s'approche d'un général israélien en tant qu'espionne. Il tombe amoureux d'elle. À leur cérémonie de mariage, cette femme hésite à appuyer sur le bouton d'autodestruction qui est caché dans le bouquet de la mariée. La fin du mélodrame est un éclat de rire. 

En voyant la scène où ce commandant israélien demande à Salame d'emporter le houmous délicieux palestinien, je me suis demandée si le houmous était bon. À vrai dire, je n'ai jamais mangé ça. Maintenant, en écrivant cet article, j'ai faim.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire