Ça fait longtemps que je n'ai pas dévoré des films depuis le juin. Ces dernières semaines, je suis allée au cinéma le week-end. Au total, j'ai vu sept films. En les présentant, je note quelques impressions sur ces films.
1) "143 rue du Désert" d'Hassen Ferhani
Cette bande annonce m'a tenté. Malika habite toute seule au 143 rue du désert dans le sahara algérien, elle tient un petit restaurant. Bientôt une station de gaz avec un restaurant ouvre près de son restaurant. Malika papote avec ses clients. Elle ne parle pas tellement de son passé. Après que deux imams sont partis, elle critique qu'ils sont hypocrites. En outre, elle dit que la liberté ne s'est pas donnée aux femmes. La societé féodale la rend morose en Algérie ? Bien que ce restaurant soit dans le désert, il est comme une intersection de la vie. Je souhaite que Malika en soit une témointe vivante jusqu'à sa mort.
2) "Suburbia" de Penelope Spheeris
Avant de voir ce film américain, je pensais qu'il était simplement un genre de la musique de punk. Le thème du film traite le sentiment des adolescents qui aiment le punk dans la banlieue de L.A. Comme ils ne trouvent pas une place dans leur famille, ils cambriolent parfois et squattent ensemble. Des habitants conservateurs s'opposent à eux. La fin de la scène est cruelle, cela m'a étonné. Personnellement, j'ai pu voir que Flea de Red Hot Chili Peppers joue dans ce film, il était jeune. C'est précieux. Il y avait seulement six spectateurs dans la salle de cinéma.
3) "Other Music" de Puloma Basu et Rob Hatch-Miller
Ce film documentaire suit pendant six semaines jusqu'à sa fermeture, le magasin de disque "Other music" qui se trouve à New York. Deux gérants, leur employés, et plusieurs clients racontent le souvenir de ce magasin. De temps en temps, un petit concert de musiens a eu lieu dans le magasin. Les vendeurs connaissent bien la musique franchisant le genre musical, la conversation entre ces vendeurs et des clients se déploient chaque jour. Le 11 septembre en 2001 a fait tomber beaucoup de gens dans une perte indicible, la notion de musique est interrogée de nouveau. La chanson "Imagine" de John Lennon a été diffusée dans le monde. De plus, la naissance d'iTunes a changé la forme d'enregistrement dans la musique. Ce magasin de disque était à la croisée des chemins. Graduellement le chiffre d'affaire a diminué. Je me souviens d'une parole d'une connaissance qui tient un magasin de disque: "De nos jours, comme écouter de la musique avec un disque ou un CD est très luxueux, je ne peux pas facilement dire aux clients "Achetez des disques"". Je pense que je jouissais autrefois du processus d'acheter des disques. j'éprouve de la nostalgie, donc j'ai vieilli.
4) "Caro diario" de Nanni Moretti
J'ai raté ce film il y a plus de vingt ans. Ce film se compose de trois chapitres. Le premier chapitre "En Vespa", Nanni Moretti déambule en Vespa dans quelques quartiers à Rome, et puis il va à l'endroit où Pier Paolo Pasolini a été tué. Non seulement dans l'histoire des films italiens, mais aussi dans l'histoire des films mondiaux, son existence hérétique a choqué certains spectateurs et influencé quelques cinéastes, écrivains ou artistes. Le deuxième chapitre "Les îles", un ami de Nanni Morreti et lui visitent plusieurs îles de la Sicile pour écrire un scénario. Avant leur départ, cet ami parle de ne pas avoir regardé la télé depuis trente ans à Nanni Moretti. Pourtant, lorsqu'ils sont montés sur le ferry, son ami lit un livre, mais le son de la série drame à la télé l'attire, il voit ce drame. Finalement son ami veut savoir la suite, il ne peut pas se concentrer sur le scénario. C'est ironique. Le troisième chapitre "Des médecins", les bras et les pieds démangent Nanni Morreti, il erre de dermatologue en dermatologue. Le nombre de remède prescrit est nombreux. Comme il n'est pas guéri, il essaie l'accuponcture et la réflexologie. La cause de ce symptôme n'est pas une maladie dermatologique, c'est du lymphome malin. L'agent thérapeutique est fourni, il finit par guérir complètement. On peut profiter de son expérience.
5) 6) 7) "À l'abordage", "Conte de juillet" et "Le repos des braves" de Guillaume Brac
Auparavant j'ai vu ses films. La relation amoureuse entre un homme et une femme est toujours décrite. Alors, en voyant ses films, on ne se sent pas toujours mal à l'aise. Je me demande pourquoi ses films sont passés dans un multiplexe cinématographique. Cette fois aussi, dans "À l'abordage" et "Conte de juillet", une femme fait des allusions suggestives et a une conduite séduisante, une autre femme la critique. Ça arrive souvent, ce fait provoque une dispute. À mon avis, il y a deux types de comportement de la première femme. Celle qui fait des allusions suggestives par tactique, et celle qui a une nature séduisante. La majorité des hommes est attirée par de telles femmes. Il me semble que c'est la stupidité des hommes. Comme je suis femme, je pense comme ça ? Quant à "Le repos des braves", ce film est documentaire. Un groupe de cyclistes amateurs sur la Grande route des Alpes, ce sont vraiment "les braves" comme ce titre du film. Certains cyclistes sont retraités, en luttant contre le froid et la fatigue, ils pédalent furieusement à leur propre rythme. Je préfère plutôt pédaler un vélo que conduire une voiture, j'estime qu'on manipule un vélo avec sa propre force. Ce point est la métaphore d'une vie. Ah !, je n'avance pas tellement la lecture du "Monde diplomatique". J'ai vu ces films.
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