dimanche 7 juillet 2024

Nottruno

La lecture du roman "Seiobo est descendue sur terre" de László Krasznahorkai n'avance pas tellement, environ 130 pages restent encore. Cependant, je veux voir parfois des films, j'y succombe. J'ai vu deux films sur Amazon Prime la semaine dernière. C'étaient le film italien "Notturno" de Gianfranco Rosi et le film polonais "La Communion" de Jan Komasa. Comme je les ai auparavant ratés, et ces bandes annonces étaient impressionnantes, j'ai enfin vu ces films. 

Quant à "Notturno", ce film documentaire traite des gens qui vivent sincèrement en Irak, en Syrie, au Liban et des Kurdes. Personnellement, il est difficile de comprendre l'arrière plan social de chaque personne. Dans ses films précédents "Sacro GRA" et "Fuocoammare", le thème est la vie quotidienne de gens qui habitent à la ceinture périphérique de Rome et le problème de réfugiés en île Lampedusa. En les voyant, j'ai d'une façon ou d'une autre pu comprendre ses contenus. Dans "Notturno", il n'y a pas de narration, des images quotidiennes de gens sont simplement diffusées. En outre, les gens du film ont l'un et l'autre la nationalité différente, l'endroit de pays différents est filmé aussi. Par exemple, dans la scène au début, environ dix mères âgées récitent une élégie pour leur fils décédés dans une chambre du bâtiment ruiné qui était jadis la prison. Une mère dit: "Je hais le gouvernement turc." Ainsi il n'y pas tellement d'une information de cette situation. En voyant que ces mère déplorent, je me suis demandée pourquoi leur fils ont été envoyés en la prison. Étaient-ils les prisonniers de guerre, prisonniers politiques, ou Kurdes ?

Contrairement à cette scène, des images dont les spectateurs peuvent facilement imaginer la situation étaient diffusées, des femmes soldats kurdes entourent un poêle pour se réchauffer dans une chambre. Une autre image,: des enfants reçoivent une thérapie, ils montrent des peintures qu'ils ont dessinées à une thérapeute. Elle leur demande de lui expliquer ces peintures. Ils racontent des histoires terribles: "Des soldats de l'État islamique sont venus à mon village. Ils ont commencé à tuer des villageois, j'ai fui dans la montagne." Une autre image,: une mère âgée écoute des messages de la voix de sa fille qui a été enlevée par des soldats d'EI. Ces contenus: " Prépare 500 ou 400 dollars ! C'est seulement toi qui me sauve !", "Je suis emmenée quelque part, efface ce message tout de suite !" En tenant son smartphone, la mère verse des larmes. La suivante: une nuit, un garçon retire un filet lourd dans le bateau, il retourne à la maison, il s'effondre sur le canapé, sa mère cuisine. Un autre jour, ce garçon est debout au bord d'un chemin pour attendre une voiture de chasseur, il négocie avec un chasseur pour l'aider et ramasser des oiseaux qu'il chasse. Alors, le garçon gagne de l'argent. Probablement, il soutient la vie de sa famille.

De telles images sont projetées sur l'écran pendant 104 minutes. Après avoir vu ce film, j'ai estimé qu'il n'était pas approprié à voir un dimanche. J'ai pensé que le cinéaste n'a pas volontairement ajouté de narration. Cette raison est que la narration de l'explication pédagogique incite à donner la connaissance de la politique mondiale, ou plutôt la narration apporte la banalité dans le film. Les fragments de la vie quotidienne dans le film prouvent que les gens du film vivent chaque jour sous une situation cruelle. Est ce que le cinéaste souhaite aux spectateurs d'imaginer et réfléchir sur les circonstances de l'arrière plan absurde. Il n'est pas possible que ce genre de film soit populaire et majeur. Mais, je désire qu'un tel film existe toujours. Je ne veux pas que le choix de voir ce film soit réduite. Finalement, il n'y pas de temps pour présenter le film polonais "La communion".

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