Comme j'ai encore mal au poignet droit, j'utilise souvent la main gauche. C'est embêtant. Néanmoins je pense que cela stimule des nerfs dans mon cerveau. En regardant des infos internationales, j'ai vu qu'un incendie avait éclaté dans la forêt à Los Angeles. Je me demande qui a provoqué l'incendie, est-ce que ce n'est pas un incendie criminel ? Si quelqu'un fait intentionellement une telle calamité, c'est terrible, et pourtant cela se peut. Avant l'inauguration de Donald Trump, il y a des pays qui veulent l'affaiblir afin de vaincre les États-Unis dans le monde hégémonique.
D'autres infos: la guerre entre l'Ukraine et la Russie est dans l'impasse. Aussi, l'armée israélienne attaque encore la bande de Gaza. Je suis éloignée de cette situation chaotique. Je travaille, mange trois repas chaque jour, et dors. Quel bonheur ! Il y a deux semaines, ma mère et moi sommes allées au petit temple de shintô qui est proche de notre maison. Comme on n'était pas au début de l'année, il n'y avait personne. J'ai prié pour la paix universelle comme d'habitude. Même si je la prie, le monde ne change pas. Je sais.
L'année dernière, comme j'étais fatiguée à cause du travail, j'ai seulement vu 31 films. Mon but de cette année est que je veux voir plus de films que ce nombre de l'année dernière. Alors, j'ai vu le film mongol "The sales girl" de Sengedorj Janchivdorj sur Amazon Prime. Ce titre et une image m'ont tenté. Si le film avait été ennuyeux, j'aurais arrêté de le voir. Cependant, le contenu du film décrit le changement de valeur d'une étudiante. J'ai pu le voir jusqu'à la fin.
Présentons brièvement le synopsis. Un jour, une camarade d'université demande à l'héroïne Sarula de faire un petit boulot à sa place, car elle s'est fracturé la jambe. La camarade l'emmène au magasin. Mais le magasin traite des jouets sexuels. Après la clôture du magasin, il faut apporter l'argent de la vente à la patronne chez elle chaque jour. Des clients disent à Sarula des paroles lubriques: "Tu as utilisé ces jouets sexuels ?" Au fur à mesure qu'elle voit la patronne, leur relation est amicale. Elle lui dit: "Si tu vis sans faire ou penser quelque chose, ta vie te laissera." Le passé de la patronne n'est pas tellement dévoilé, on peut savoir qu'elle était danseuse et mariée à travers des fragments d'informations. Plusieurs mois s'écoulent, la fracture de sa camarade est guérie. Sarula est influencé par la maîtresse, elle a changé d'université, et elle étudie l'art et peins aux beaux arts avec vivacité. Alors, Sarula visite de nouveau la maison de la patronne, mais elle a déjà déménagé. Un nouvel habitant lui dit que l'habitant précédent (la patronne) lui a confié une boîte qu'elle lui a demande de donner a à Sarula, lorsque Sarula viendra à la maison. Sarula ouvre cette boîte, il y a dedans, une bouteille de champignons marinés. C'est la fin.
Ce film est un type de film moderne mongol, il n'émane pas de l'élément folklorique. Je pense que la patronne du magasin est un mentor pour l'héroïne. Le goût de vêtement de l'héroïne est petit à petit raffiné, Dans la deuxième moitié, Sarula invite un ami de l'université chez elle, elle essaie de faire l'amour avec lui. Cependant, c'est un échec. Est-ce que le slogan du film est que vivre est le sexe ?, c'est la nature essentielle. Dans un sens, le contenu du film est clair pour n'importe qui. Personnellement, j'aurais voulu que le passé de la patronne soit un peu détaillée, parce que, elle et l'héroïne prennent le repas dans un restaurant, un russe lui adresse la parole, elle répond en russe. La Mongolie se situe entre la Russie et la Chine, j'imagine que, et pas le moindre, cette chose concerne considérablement la vie de la patronne. Le film aurait dû décrire un tel contexte, c'est un peu dommage. L'atmosphère du film apparaît comique, en principe le développement mental de l'héroïne est le thème du film. Si j'étais étudiante, ce film me plairait plus.
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