vendredi 1 juin 2018

C'est une belle histoire ?

En écrivant l'article "Bienvenue dasn le capitalisme", j'ai un peu pensé qu'il aurait mieux valu qu'Aliocha, le protagoniste du film "Faute d'amour", soit adopté. Car, Aliocha subit la négligence dans un sens, bien qu'il mène une vie quotidienne sous tutelle de ses parents. Mais, l'adoption n'est pas une solution facile. Je ne sais pas si c'est adéquat. Alors, je vous présente deux films. Premièrement, c'est le film "Une vie toute neuve" d'Ounie Leconte. Le contenu du film est une autobiographie de cette réalisatrice. Dans les années 70, beaucoup d'orphelins sud-coréens ont été adoptés par des couples occidentaux. Ounie Leconte était jadis une telle orpheline. Son père l'a emmené à un orphelinat, finalement un couple français l'a adopté. La période des deux événements est décrite avec la réminiscence d'Ounie Leconte.


J'ai oublié un peu le synopsis du film. Essayons de vous expliquer simplement l'intrigue. Un jour, une fille, Jinhee, sort au centre ville avec son père. Ils font les courses, et ils vont au restaurant. Elle aurait dû passer joyeusement ce jour-là. Mais, à la fin de la journée, son père la confie à l'orphelinat. Jinhee croit que son père la fait entrer provisoirement dans l'orphelinat, et qu'il revient la chercher sans doute. C'est la dure réalité. Elle n'accepte pas son statut, son attitude est très rebelle à l’égard des autres orphelins et des employés de cet orphelinat. Compte tenu de son état psychologique, un médecin vient là-bas. Il demande à Jinhee: "Pour quelle raison tu es venue ici ?" Elle lui répond: "Mon père s'est remarié, un bébé est né. Comme il est mignon, je l'ai bercé. Mais, une épingle de sécurité a piqué sa peau. Ma marâtre s'est mise en colère." Elle commence à sangloter devant ce médecin, il la console, et il lui dit doucement: "Ton père souhaite que tu vives dans la meilleure maison". Dès lors, Jinhee s'habitue progressivement à la vie de l'orphelinat, elle se fait plusieurs amies. Un jour, elle trouve un petit oiseau blessé, et elle le soigne. Et pourtant il meurt. L'oiseau est un peu l'âme de Jinhee. Elle l'enterre et se recueille sur la tombe. Un autre jour, son amie Sookhee apprend l'anglais avec passion pour obtenir plus de chance. Elle est positive. Cela galvanise Jinhee. Malheureusement, Sookhee est adoptée par un couple américain, elle part. Ajouté à cet événement, Jinhee sait que son père a déménagé quelque part. Le fait la frappe, elle est au bord du gouffre du malheur. Elle comprend que son père ne revient jamais. Ses actes deviennent de plus en plus désespérés. Jinhee déterre la tombe de l'oiseau, et elle jette la dépouille. Ensuite, elle creuse profondément la tombe pour entrer dedans. Elle s'ensevelit dans la terre. Cette scène est la plus triste dans le film. Mais cela l'étouffe, elle renonce à mourir. Elle se résigne à être adoptée par quelqu'un. Jinhee accepte son destin, son développement spirituel est fabuleux. Cette fille a 9 ou 10 ans. Dans la scène finale, un couple français attend Jinhee à l'aéroport. Elle fait un nouveau pas vers l'avenir.

Deuxièmement, c'est le film d'animation "Couleur de peau: Miel". Le réalisateur, Jung, a été adopté par un couple belge. Le contenu décrit comment Jung a grandi en Belgique. Ce n'était pas la vie en rose. En voyant ce film, j'ai pensé qu'Ounie Leconte avait éprouvé une souffrance en France comme lui.


Il y a déjà quatre enfants biologiques dans la famille. Cependant, Jung est petit, il apprend tout de suite le français, et il s'habitue à la culture étrangère. Dans son adolescence, l'état psychologique de Jung est parfois instable. Il aime les bandes dessinées, et il essaie de dessiner sa mère coréenne. Sa figure reste vide, tristement dans le dessin. Car, il ne peut pas s'en souvenir. C'est toujours une illusion dans sa mémoire. Jung sait qu'un enfant coréen adopté s'est suicidé, et qu'un autre a attrapé une maladie mentale. Il est choqué, et il comprend bien leur sentiment. Aussi lui, Jung est tenaillé par son identité. Les relations entre ses parents belges et lui s'aggravent. Finalement, il décide de quitter sa maison, il commence à vivre tout seul. Un jour, Jung tombe malade, sa mère belge vient pour le soigner, et elle lui raconte une petite chose. Son premier enfant était mort-né. En pensant que Jung est l'incarnation de son premier enfant, elle a élevé Jung. Dès cet instant, Jung aime sincèrement sa mère belge.

Dans le film, la majorité sont des scènes d'animation de Jung, des scènes documentaires sont incorporées. Jung visite la Corée du sud, il déambule dans une ville (peut-être Seoul). Comment le paysage de son pays natal est vu de ses propres yeux ? il m'a apparu qu'il est étranger là-bas, bien que son visage soit coréen. Nous savons que l'on peut fonder la relation familiale sans lien du sang grâce à ce film. Cela nous encourage. Mais les histoires de ces deux films ne sont pas essentiellement belles .

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