jeudi 9 août 2018

Les rayures horizontales

Il y a deux semaines, j'ai emprunté un livre nul à la bibliothèque. Ce titre est "95 % des femmes qui portent un vêtement à rayures horizontales, n'attirent pas les hommes". Alors, j'ai fait exprès d'enfiler un T-shirt à rayures horizotales. Mais, le bibliothécaire de guichet était impassible. Il faisait trop chaud chaque jour, il était fatigué.

Quant au contenu de ce livre, l'auteur est diseur de bonne aventure, 95 % des femmes qui portent un vêtement à rayures horizotales, n'attirent pas les hommes, pourquoi ? Cette chose est infondée. L'auteur n'analyse pas, les données statistiques ne sont pas montrées. C'est seulement à travers les expériences de ce devin. Ses clientes féminines le consultent sur des problèmes de relation amoureuse. L'auteur s'est rendu compte naturellement que de telles femmes avaient souvent porté un vêtement à rayures horizontales. Il affirme aux lecteurs: "À part les belles femmes, il ne faut pas porter de vêtement à rayures horizontales".

Un sous-titre au livre est donné, c'est "Le devin populaire a discerné 111 signes de chance". Ceci m'a fait perdre la motivation pour lire ce livre, je l'ai feuilleté. Un signe de chance m'a attrapé. "Ceux qui ont toujours des excuses deviennent pauvres". Le symbole "?" surgit dans ma tête. Sans tenir compte des états sociaux, la pauvreté dépend toujours de notre propre responsabilité ? À vrai dire, je n'aime pas lire des livres sur le développement personnel, car il me semble que ces livres sont pseudo-religieux. Cette fois, mon choix de livre n'était pas bon.

Changeons de sujet. Pour l'instant, j'ai trois vêtements à rayures horizontales. Ce motif est difficile à porter. Les autres voient ma tenue à rayures horizontales, ils ne jugent pas probablement que je m'habille si bien. Comme je suis petite, ces vêtements avec ce motif m'apportent un air enfantin. Cependant, des cheveux blancs sont visibles parmi mes cheveux noirs. Alors, l'équilibre est disparate.

En outre, les rayures horizontales entraînent inévitablement une possibilité d'être vu comme une grosse personne. Plutôt, il vaut mieux choisir les rayures verticales, pour que l'on soit vu comme quelqu'un de mince. Lorsque j'étais étudiante, j'ai acheté une robe estivale de la marque Sybilla à rayures verticales. Elle m'a plu, bien qu'elle m'ait coûté environ 295 euros. Chaque été, je la portais souvent, mes amies m'ont dit: "Tu la portes encore, cette année aussi". Au total, cela a fait dix ans. Mais, ce tisssu était en laine d'été. La partie sur les fesses était étirée au fil du temps. En portant cette robe, elle s'est prise dans une chose saillante quelque part. Finalement, j'ai été obligée de la jeter.

Sybilla m'évoque le film espagnol "Parler avec elle" de Pedro Almodovar. Il y a longtemps, je l'ai vu au cinéma. J'ai oublié le contenu en détail. Dans le film, une torera dit qu'elle va acheter des vêtements chez Sybilla, plusieurs protagonistes féminines s'habillent en Sybilla. Ma mémoire s'estompe, j'ai vérifié ces deux choses sur Internet, ce n'est pas faux.


Les hommes sont divisés sur ce film, cela m'intérèsse. Peut-être, une activité d'un protagoniste est inacceptable, quelques spectateurs éprouvent du dégoût. Car, un protagoniste Benigno est soignant, mais il est harceleur d'une jeune femme qui s'appelle Alicia, danseuse. Un jour, elle a un accident de la route, elle tombe dans le coma. Benigno la soigne avec zèle. Pourtant, son soin devient excessif. Une nouvelle choquante est révélée à l'hôpital, cette femme est enceinte. Benigno est arrêté, et puis il se suicide dans une prison. Et après, Alicia s'éveille miraculeusement. Son bébé est mort-né. Mais, on ne sait pas si Benigno a violé Alicia. Implicitement, il y a une scène où Benigno essuie le corps d'Alicia, en lui racontant un film muet qu'il a vu. La vérité est ensevelie dans les ténèbres. Ceux qui demande toujours une fin claire, il se pourrait que ce film leur fasse attraper une indigestion.

Ce qui m'a le plus impressionné, c'est que le début et la fin du film utilisent une partie d'une œuvre "Café Müller" de Pina Bausch. Au cinéma, j'ai pensé que le contenu du film que le réalisateur voulait décrire convergeait vers la danse contemporaine de Pina Bausch.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire