J'ai séché le travail il y a trois semaines pour aller au mont Kōya qui se trouve dans la préfecture de Wakayama. Je voulais y aller depuis longtemps, mais c'est loin. Il y a quelques années, mon père a visité le mont Kōya avec des membres d'un groupe de son quartier. Il a montré une amulette qu'il a achetée là-bas à ma mère et moi. Ma mère a raconté cette chose à mon frère et son épouse. Ils l'ont déjà visité, lorsqu'ils habitaient à Osaka. Cette fois, ma mère a trouvé par hasard un tour en bus.
Ce jour-là, il faisait beau. Notre bus est parti de la gare à 7:45, et il est arrivé au mont Kōya vers 11:40. Il y avait environ 50 participants à ce tour. La majorité des participants étaient des personnes âgées. La topographie du mont Kōya est un bassin, j'avais froid. On dit que le mont Kōya est un lieu spirituel. Et pourtant, le sixième sens et le cœur pur me manquaient, je n'ai pas ressenti d'effluve. Les participants ont seulement obéi à l'itinéraire décidé par l'agence de voyage. C'était agréable, mais il m'a semblé que c'était un peu fade. Après avoir pris le déjeuner, un guide de la cinquantaine nous a expliqué Okunoin qui se trouve au centre du mont Kōya. On dit que Kūkai (Kōbō-Daishi) est présent là-bas. En 835, il s'est cloitré pour devenir bouddha, en méditant. Deux bonzes apportent un repas deux fois par jour pour lui depuis 835. À travers un chemin de cèdres, on a marché jusqu'à Okunoin. Le chemin était d'environ 2 km. L'air limpide m'a consolé. Sur les deux côtés du chemin, il y avait beaucoup de tombes (plus de deux cent mille). C'était intéressant que ces tombes n'avaient pas rapport à la religion. Le mont Kōya est ouvert pour n'importe qui, j'ai pensé que la posture de Nirvana était tolérante. Devant Okunoin, un pont était accroché. Un panneau était posé: "Défense de prendre des photos". Car, Okunoin est un sanctuaire.
On était à l'écoute du guide, on est entré dans un hall de lanterne. L'intérieur était splendide, une vaste lanterne ornait le plafond, je me suis demandée si cet endroit était un paradis. Ensuite, on a solennellement descendu l'escalier. De nombreuses miniatures de Kūkai (plus de deux mille) étaient exposées. On a suivi le guide, il s'est arrêté de marcher devant un vajra et un grand chapelet qui étaient posés à l'étage. Il y avait un portrait de Kūkai dans le fond de cet étalage. Comme la distance entre l'étalage et ce portrait était environ 10 m, je n'ai pas pu distinguer sa silhouette sous la pénombre. Le guide nous a dit: "Si l'on touche ces deux objets, on dit que l'on reçoit des bienfaits. Touchez les, en pensant à votre ancêtre et famille. Et après, priez s'il vous plaît". On les a touchés dans l'ordre. Lorsque je prie, je souhaite seulement la paix universelle depuis quelques années au temple bouddhique et au sanctuaire shinto. Et alors, j'ai ignoré le conseil du guide. J'ai prié comme d'habitude. Après notre prière, on est tranquillement sorti du hall. Pendant le retour au parking de bus, j'ai demandé à ma mère si elle n'était pas fatiguée. Sa réponse était clairement "Pas du tout". Est-ce qu'elle a de bonnes jambes ? Non, elle porte un masque, elle nettoie partout dans la maison. C'est un entraînement dans un sens. À vrai dire, ma mère a tout de suite passé l'aspirateur après les funérailles de mon père, bien qu'elle soit fatiguée. Le nettoyage la rend calme, c'est un rituel spirituel pour elle.
Il faut revenir sur le mont Kōya. On est monté de nouveau dans le bus, le but suivant était le hall principal du temple Kongōbu-ji. Une banderole était accrochée à une partie sous l'avant-toit. Pourquoi deux blasons (Le sceau du paulownia et le mitsu tomoe) sur la banderole étaient dessinés ? C'était rare. Selon l'explication simple du guide, Toyotomi Hideyoshi a construit un temple pour faire ses condoléances à sa mère. Dans l'ère Meiji, ce temple et un autre temple ont fusionné, c'est le temple Kongōbu-ji. Toyotomi Hideyoshi utilisait le sceau du paulownia. La famille impériale l'utilise comme deuxième emblème familial. Quelques membres de la famille impériale ont logé dans ce temple. Quant au mitsu tomoe, il est l'emblème d'un sanctuaire shinto du mont Kōya. Le temple et le sanctuaire shinto se mélangent complètement. Mais, la majorité des Japonais s'en fiche. Mais, Kūkai a-t-il édifié ce temple ? C'est compliqué. Je ne peux pas comprendre cette histoire.
Après cette explication, on a dû se déplacer pour le lieu suivant. Je n'ai pas pu entrer dans le hall principal, c'était dommage. Je voulais voir le jardin dedans. J'ai vu qu'un couple occidental entrait dans le hall principal. Je me suis rendue compte que beaucoup de touristes occidentaux venaient ici. Probablement, ils ont logé à Shukubō où le temple fournit le logement. Ma mère les a vus, elle m'a ironiquement dit: "Quand même, de nombreux Japonais ne peuvent pas encore voyager lentement dans leur propre pays, comme eux. Malgré que l'on vive en 2018."
Hâtivement, on a visité Danjo Garan qui consiste en une pagode et plusieurs monastères. Je n'ai pas pu voir attentivement tous les bâtiments à cause de l'itinéraire. C'est un inconvénient du tour en bus. Ma mère avait la même opinion. Elle m'a dit que le tarif de ce tour était bon marché, on devait accepter le compromis. Sa raison. Et après, nous sommes retournées à la maison sans problème.
Ce jour-là, il faisait beau. Notre bus est parti de la gare à 7:45, et il est arrivé au mont Kōya vers 11:40. Il y avait environ 50 participants à ce tour. La majorité des participants étaient des personnes âgées. La topographie du mont Kōya est un bassin, j'avais froid. On dit que le mont Kōya est un lieu spirituel. Et pourtant, le sixième sens et le cœur pur me manquaient, je n'ai pas ressenti d'effluve. Les participants ont seulement obéi à l'itinéraire décidé par l'agence de voyage. C'était agréable, mais il m'a semblé que c'était un peu fade. Après avoir pris le déjeuner, un guide de la cinquantaine nous a expliqué Okunoin qui se trouve au centre du mont Kōya. On dit que Kūkai (Kōbō-Daishi) est présent là-bas. En 835, il s'est cloitré pour devenir bouddha, en méditant. Deux bonzes apportent un repas deux fois par jour pour lui depuis 835. À travers un chemin de cèdres, on a marché jusqu'à Okunoin. Le chemin était d'environ 2 km. L'air limpide m'a consolé. Sur les deux côtés du chemin, il y avait beaucoup de tombes (plus de deux cent mille). C'était intéressant que ces tombes n'avaient pas rapport à la religion. Le mont Kōya est ouvert pour n'importe qui, j'ai pensé que la posture de Nirvana était tolérante. Devant Okunoin, un pont était accroché. Un panneau était posé: "Défense de prendre des photos". Car, Okunoin est un sanctuaire.
On était à l'écoute du guide, on est entré dans un hall de lanterne. L'intérieur était splendide, une vaste lanterne ornait le plafond, je me suis demandée si cet endroit était un paradis. Ensuite, on a solennellement descendu l'escalier. De nombreuses miniatures de Kūkai (plus de deux mille) étaient exposées. On a suivi le guide, il s'est arrêté de marcher devant un vajra et un grand chapelet qui étaient posés à l'étage. Il y avait un portrait de Kūkai dans le fond de cet étalage. Comme la distance entre l'étalage et ce portrait était environ 10 m, je n'ai pas pu distinguer sa silhouette sous la pénombre. Le guide nous a dit: "Si l'on touche ces deux objets, on dit que l'on reçoit des bienfaits. Touchez les, en pensant à votre ancêtre et famille. Et après, priez s'il vous plaît". On les a touchés dans l'ordre. Lorsque je prie, je souhaite seulement la paix universelle depuis quelques années au temple bouddhique et au sanctuaire shinto. Et alors, j'ai ignoré le conseil du guide. J'ai prié comme d'habitude. Après notre prière, on est tranquillement sorti du hall. Pendant le retour au parking de bus, j'ai demandé à ma mère si elle n'était pas fatiguée. Sa réponse était clairement "Pas du tout". Est-ce qu'elle a de bonnes jambes ? Non, elle porte un masque, elle nettoie partout dans la maison. C'est un entraînement dans un sens. À vrai dire, ma mère a tout de suite passé l'aspirateur après les funérailles de mon père, bien qu'elle soit fatiguée. Le nettoyage la rend calme, c'est un rituel spirituel pour elle.
Il faut revenir sur le mont Kōya. On est monté de nouveau dans le bus, le but suivant était le hall principal du temple Kongōbu-ji. Une banderole était accrochée à une partie sous l'avant-toit. Pourquoi deux blasons (Le sceau du paulownia et le mitsu tomoe) sur la banderole étaient dessinés ? C'était rare. Selon l'explication simple du guide, Toyotomi Hideyoshi a construit un temple pour faire ses condoléances à sa mère. Dans l'ère Meiji, ce temple et un autre temple ont fusionné, c'est le temple Kongōbu-ji. Toyotomi Hideyoshi utilisait le sceau du paulownia. La famille impériale l'utilise comme deuxième emblème familial. Quelques membres de la famille impériale ont logé dans ce temple. Quant au mitsu tomoe, il est l'emblème d'un sanctuaire shinto du mont Kōya. Le temple et le sanctuaire shinto se mélangent complètement. Mais, la majorité des Japonais s'en fiche. Mais, Kūkai a-t-il édifié ce temple ? C'est compliqué. Je ne peux pas comprendre cette histoire.
Après cette explication, on a dû se déplacer pour le lieu suivant. Je n'ai pas pu entrer dans le hall principal, c'était dommage. Je voulais voir le jardin dedans. J'ai vu qu'un couple occidental entrait dans le hall principal. Je me suis rendue compte que beaucoup de touristes occidentaux venaient ici. Probablement, ils ont logé à Shukubō où le temple fournit le logement. Ma mère les a vus, elle m'a ironiquement dit: "Quand même, de nombreux Japonais ne peuvent pas encore voyager lentement dans leur propre pays, comme eux. Malgré que l'on vive en 2018."
Hâtivement, on a visité Danjo Garan qui consiste en une pagode et plusieurs monastères. Je n'ai pas pu voir attentivement tous les bâtiments à cause de l'itinéraire. C'est un inconvénient du tour en bus. Ma mère avait la même opinion. Elle m'a dit que le tarif de ce tour était bon marché, on devait accepter le compromis. Sa raison. Et après, nous sommes retournées à la maison sans problème.
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