Lorsque je lisais l'article "La vie et l'honneur des boxeurs américains" du Monde diplomatique, une connaissance m'a écrit qu'elle avait vu le film "Raging Bull" de Martin Scorsese. Je voulais aller au cinéma. Comme le sujet de la boxe ne m'intéressait pas tellement, la lecture a avancé plus lentement que d'habitude. Probablement, si l'article qui relatait le film "Raising Bull", je pourrais le lire joyeusement.
Comme si l'efficacité d'une drogue se tarissait, j'ai vu deux films "Zardoz" et "Novembre" la semaine dernière. Quant à "Zardoz", quand j'ai vu une affiche de ce film au cinéma, une tête en pierre impactait l'imaginaire. Quand j'ai vu la bande annonce de "Zardoz", j'ai imaginé que son atmosphère était similaire au film ouzbek "Abdullajon", j'aurais pu agréablement le voir. Son contexte a trompé mon attente dans un bon sens, c'était sérieux. Le mot "タバナクル(tabernacle)" est apparu à la moitié de l'histoire. Ici, ce mot signifie l'existence de l'omnipotence qui a créé le monde éternel. Auparavant j'ai consulté ce mot sur le dictionnaire. Je n'ai pas pu me souvenir de ce sens. Alors, le mot "tabernacle" m'a entraîné pendant la projection du film. Je n'ai pas pu tellement me concentrer sur le film.
Présentons le synopsis du film "Zardoz". Il y a deux mondes. L'utopie Voltex où les gens s'appellent "éternel" et la terre ravagée où les barbares habitent. Une tête en pierre Zardoz fait l'aller-retour entre ces deux mondes. Les barbares vénèrent Zardoz en tant que dieu. Au début, de la bouche de Zardoz, jaillissent beaucoup de fusils sur la terre ravagée. Ce spectacle est amusant. Les guerriers qui exterminent des barbares exultent grâce aux armes. Ils servent "éternel". Les habitants "éternel" dans l'utopie voltex ne vieillissent pas tellement. Même s'ils vieillissaient, ils ne meurent jamais. Alors, comme ce n'est pas nécessaire de faire augmenter la population, les habitants ne font pas l'acte de reproduction. Un jour, un guerrier Zed (Sean Connery) se glisse en intrus dans la bouche de Zardoz, il réussit à entrer dans l'utopie Voltex. Ici, il est traité comme un cobaye. En voyant le film, j'ai pensé que cette utopie est la distopie au fond de l'affaire. De nos jours, certains hommes souhaitent l'immortalité. Zed est-il un destructeur ou un libérateur ? Ce film n'est pas une mince affaire, je veux le voir encore une fois un jour.
Ensuite, présentons le film estonien "Novembre". L'atmosphère de la bande annonce "Novembre" m'a tenté, des films estoniens ne sont pas tellement passés au Japon. J'ai pensé qu'il ne fallait pas le rater.
Au début du film, un monstre qui s'appelle Kratt casse la porte d'une grange, et vole une vache. Elle est envoyée à la maison de la famille d'un villageois comme un hélicoptère. Sa forme est stupéfiante, une selle de vélo est la tête de Kratt, des tubes en fer sont ses bras et ses jambes. Quelques villageois donnent trois gouttes de leur sang à Kratt pour leur désir, c'est un contrat. J'ai compris que Kratt était comme Méphistophélès dans "Faust" de Goethe. La jeune héroïne Liina aime Hans, mais il est tombé amoureux d'une fille d'un baron allemand. Elle est somnambule. Liina demande à une sorcière âgée d'être aimé par Hans. Elle lui répond qu'il faut tuer cette fille pour cela. Bien que Liina l'essaie à minuit, elle aide cette fille qui tombe du toit du manoir. Hans aussi demande à Kratt de kidnapper la fille. Cependant Kratt refuse: "Je ne peux pas voler un être humain". Cette fois, Kratt se déguise en bonhomme de neige. Il raconte à Hans des histoires d'amour et des poésies. Liina troque une broche contre une robe avec cette fille qu'une bonne a volée. Liina la porte avec un voile, elle voit Hans. Il la prend pour la fille du baron. Ainsi, il l'embrasse sur la bouche qui est couverte par le voile. Cela rend Liina heureuse, elle s'en va. Le son d'une carriole s'approche d'elle. Elle se retourne, mais il n'y a personne dedans, le cadavre d'Hans est posé sur son porte-bagages. Liina l'aperçoit et la suit. Hans a été tué par le diable qui lui a demandé: "Où est Kratt ?", il lui a répondu qu'il était fondu. Donc, le diable l'a privé de sa vie. Ensuite, la carriole qui porte Hans croise un carrosse qui porte le cadavre de la fille du baron. Après l'enterrement d'Hans, Liina se noie. C'est la fin.
L'amour pure entre Liina et Hans ne se croise jamais. Je pense que c'est à la fois triste et beau. On peut recevoir la haute sensibilité dans le film, et pourtant l'humour humain aussi existe. Pourquoi ce film n'est pas passé au cinéma multiplexe ? À mon avis, de nombreux spectateurs seraient venus ? Cette fois, je suis contente de ces deux films.
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