En écoutant l'album "Sparrow's arrows fly so high" de すずめのティアーズ(=Des larmes de moineau), qu'est-ce que j'écris cette fois? Une connaissance a copié le CD, elle me l'a envoyé. Cette musique est très folklorique, cela m'apporte de la nostalgie. Brutalement, je voulais écouter "Tri martolod" de Nolwenn Leroy. Au Japon, il y a une expression "des larmes de moineau". Ça veut dire une faible quantité. On l'utilise souvent comme ça: "Mon salaire n'est que des larmes de moineau."
A propos, un fait divers m'est arrivé dans le bureau le mois dernier, cela m'a hébété un instant. Je vous l'explique en détail. Ce jour là, quand j'ai consulté mon responsable sur plusieurs photos à inclure dans un rapport, je lui ai demandé de modifier ces photos. Tout à coup, un homme qui a soixante-dix ans cette année, devant moi, m'a grondé: "Ta gueule ! Connasse !" Dès que je l'ai entendu‚ je n'ai pas pu comprendre cette situation. Mais, je lui ai présenté mes excuses. Tout de suite, j'ai noté cette heure et date: "Le 17 mai, 17:28". C'est dommage que sa parole n'ait pas été enregistrée. Comme je porte encore un masque pour la maladie de ma mère pendant le travail, les autres entendent un peu mal ma voix. Lorsque je parle, je parle un peu plus fort. Cette homme dessine un plan d'étage ou d'élévation etc. en CAD, je peux comprendre que c'est minutieux.
A vrai dire, cette affaire était la deuxième fois. Quand à la première fois, lorsque cet homme téléphonait, je parlais du certificat électronique de notre société, à ma place avec un collègue qui était en diagonal. C'est nécessaire qu'on l'obtienne pour déposer des dossiers à la mairie sur Internet. Et après, cet homme de soixante-dix ans m'a dit après son coup de téléphone: "Je n'ai pas pu entendre la voix de l'interlocuteur au téléphone. Sois calme!" Je lui ai représenté mes excuses.
Je pense qu'il y a des choses déraisonnables. D'abord, je n'ai pas parlé d'anecdotes privées deux fois. En outre, cet homme m'a seulement grondé, pourquoi il n'a rien dit à mon responsable et un collègue ? La génération de cet homme estime que les femmes sont inférieures à tous les hommes. Alors, comment dois-je travailler à ma place ? Probablement, un tel fait arrivera de nouveau. J'y ai bien réfléchi, j'ai enfin trouvé une bonne idée. Simplement, je ne parle plus à ma place. Cependant, les autres me parlent de quelques choses qui concernent le travail. Quand cet homme n'était pas dans le bureau, j'ai expliqué à tous les collègues et mon responsable les deux réprimandes de cet homme. Comme j'ai décidé de ne pas parler à ma place, je les ai sollicités pour une coopération. Pour l'instant, lorsque cet homme est devant moi, je ne parle pas. Quatre jours plus tard après le 17 mai, cet homme m'a dit que je travaillais sérieusement. Pour ma part, j'ai voulu lui dire: "Ta gueule ! Tu me considère comme une connasse, n'est-ce pas ? Arrête de me parler ! Tu as oublié ce que tu m'a dit le 17 mai ? Comme je n'ai pas le diplôme d'infirmière, je ne te soigne pas !" En réalité, ma réponse était comme ça: "Je travaille comme d'habitude. C'est tout." Cet homme est une personne embêtant dans ma société. Il s'est disputé avec un collègue qui était à côté de moi l'année dernière. Il s'est déchaîné contre ce collègue, il a crié: "Je démissionne !" Dès lors, il n'est pas revenu pendant presque un mois. Mais, le directeur lui a demandé de revenir au bureau. Car, le statut quo est toujours le manque de personnel. Le directeur m'a appelé dans son bureau, il m'a dit : "Vous allez bien ? La parole de cet homme équivaut à un harcèlement. Si vous ne pouvez pas supporter l'existence de cet homme, consultez-moi." Résolument je ne parle pas, sauf des choses sur le travail avec lui. C'est tout. Je n'ai pas de compassion des larmes de moineau pour lui.
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