La dernière fois, j'ai écrit qu'une amie cinéphile m'avait posé deux questions bizarres: "Comment vous allez mourir ?" et "Quelle chanson préférée sera diffusée sur votre lit de mort ?" J'ai déjà écrit la réponse pour la première question dans l’article dernier. Comme le temps m'a manqué, je n'ai pas pu écrire la réponse pour la deuxième question. Ma réponse est "Spiegel im Spiegel" et "Für Alina" d'Arvo Pärt. Arvo Pärt est compositeur de musique contemporaine. Sa musique est utilisée dans des films innombrables.
J'ai écouté pour la première fois sa musique dans le film "L'éloge de l'amour" de Jean-Luc Godard. C'était "Spiegel im Spiegel". Bien que cette musique soit minimaliste, elle m'a attiré. J'ai attentivement contemplé le générique. Après être sortie de la salle de cinéma, j'ai noté quelques noms de musique que j'avais mémorisés sur mon cahier. Alors, la musique "Spiegel im Spiegel" m'a guidé avec de la chance, grâce à l'internet, je suis parvenue à acheter cet album "ALINA" qui consiste en deux pièces "Spiegel im Spiegel" et "Für Alina".
Quand j'ai répondu à cette amie cinéphile pour les deux questions bizarres, elle m'a écrit qu'elle ne connaissait pas Arvo Pärt. Cela m'a étonnée. À ce moment-là, je venais de voir le film "Mia madre" de Nanni Moretti sur DVD que cette amie m'a recommandé, "Für Alina" est utilisé dans une scène où le protagoniste marche dans le couloir d'un hôpital, après avoir vu sa mère qui est hospitalisée. Je lui ai écrit cette chose, elle m'a répondu qu'elle n'avait rien remarqué. Je suppose que ces deux pièces n'ont pas de prétentions particulières dans la scène, la scène n'est pas engloutie par ces musiques. Je me demande si des réalisateurs préfèrent les utiliser dans un film pour cette raison.
La belle mélodie de ces deux pièces est irrésistible, cela envoûte certaines personnes gens. Personnellement, il me semble que "Spiegel im Spiegel" monte et purifie une âme au-delà. "Für Alina" calme une âme comme un requiem, mais ce n'est pas majestueux. Est-ce que "Für Alina" est le yin, "Spiegel im Spiegel" est le yang ?
Lorsque j'habitais chez mes parents, je me suis souvent couchée, en écoutant l'album "ALINA". J'ai pensé que si j'étais dans cet état, je pouvais mourir, c'était le meilleur. Comment Arvo Pärt les a composée avec si peu de son ? Je ne savais pas qu'il prenait le style tintinnabuli. Tout à l'heure, je l'ai appris grâce à l'internet. Ce style est comme une image du son de la clochette qui se répand. Une partie instinctive de l'homme que je ne peux pas bien expliquer s'éveille à travers ces deux pièces, la belle mélodie raffinée imprégne profondément mon cœur. Finalement je reviens à zéro. Je me sens comme ça. Probablement, cette musique est l'esthétique ultime de la soustraction. Arvo Pärt tond les sons qu'il a jugés superflus. Les sons qui restent sont mis en valeur, alors que l'interstice de ces sons est engendré. Je pense que cette façon de la soustraction est artisanale.
Quand j'ai répondu à cette amie cinéphile pour les deux questions bizarres, elle m'a écrit qu'elle ne connaissait pas Arvo Pärt. Cela m'a étonnée. À ce moment-là, je venais de voir le film "Mia madre" de Nanni Moretti sur DVD que cette amie m'a recommandé, "Für Alina" est utilisé dans une scène où le protagoniste marche dans le couloir d'un hôpital, après avoir vu sa mère qui est hospitalisée. Je lui ai écrit cette chose, elle m'a répondu qu'elle n'avait rien remarqué. Je suppose que ces deux pièces n'ont pas de prétentions particulières dans la scène, la scène n'est pas engloutie par ces musiques. Je me demande si des réalisateurs préfèrent les utiliser dans un film pour cette raison.
La belle mélodie de ces deux pièces est irrésistible, cela envoûte certaines personnes gens. Personnellement, il me semble que "Spiegel im Spiegel" monte et purifie une âme au-delà. "Für Alina" calme une âme comme un requiem, mais ce n'est pas majestueux. Est-ce que "Für Alina" est le yin, "Spiegel im Spiegel" est le yang ?
Lorsque j'habitais chez mes parents, je me suis souvent couchée, en écoutant l'album "ALINA". J'ai pensé que si j'étais dans cet état, je pouvais mourir, c'était le meilleur. Comment Arvo Pärt les a composée avec si peu de son ? Je ne savais pas qu'il prenait le style tintinnabuli. Tout à l'heure, je l'ai appris grâce à l'internet. Ce style est comme une image du son de la clochette qui se répand. Une partie instinctive de l'homme que je ne peux pas bien expliquer s'éveille à travers ces deux pièces, la belle mélodie raffinée imprégne profondément mon cœur. Finalement je reviens à zéro. Je me sens comme ça. Probablement, cette musique est l'esthétique ultime de la soustraction. Arvo Pärt tond les sons qu'il a jugés superflus. Les sons qui restent sont mis en valeur, alors que l'interstice de ces sons est engendré. Je pense que cette façon de la soustraction est artisanale.
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