samedi 31 octobre 2020
La sérotonine
vendredi 23 octobre 2020
C'est un moyen optimal
En lisant le livre "Le Perroquet de Flaubert", probablement, j'ai connu pour la première fois le nom de David Hockney, Chateaubriand, Thackeray et Roland Barthes etc. dans ce roman. Comme Internet n'avait pas encore été inventé, je n'ai pas pu consulter tout de suite. L'époque actuelle est bonne et pratique. Mais il me semble que le nombre de lecteurs n'augmente pas. L'époque a changé.
Lorsque j'écrivais l'article "Le Perroquet de Flaubert", je me suis rappelée plusieurs films. Dans ce roman "Le Perroquet de Flaubert", Flaubert visite la tombe de Chateaubriand à Saint-Malo. J'ai vu cette tombe dans une scène de film français "L'avenir". Une famille la visite pendant des vacances. Le père et la mère sont professeurs de philosophie. Les parents de la réalisatrice Mia Hansen-Løve sont aussi professeurs de philosophie. Lorsqu'elle était petite, elle a dû y aller avec sa famille. La tombe a été bâtie avec un beau panorama. Chateaubriand a désiré cet endroit, est-ce qu'il y avait cette chose dans son testament ? Néanmoins, je n'ai pas lu des livres de Chateaubriand. Ça a l'air difficile.
Auparavant, j'ai écrit que je n'avais pas pu comprendre pourquoi "Madame Bovary" était un chef-d'œuvre ? Alors, j'ai vu le film "Gemma Bovery" d'Anne Fontaine il y a quelques années. Je veux voir parfois des films dans lesquels Fabrice Luchini joue. Dans ce film "Gemma Bovary", il joue le rôle du boulanger Martin qui habite à la campagne de Normandie. Il est marié et a un fils. Un couple déménage à côté de sa maison. Dès que Martin sait que l'épouse anglaise de ce couple s'appelle Gemma Bovery, cela le fait danser de joie dans son cœur. Comme Martin travaillait autrefois dans une maison d'édition, il lui recommande de lire "Madame Bovary". La femme de Martin sait qu'il est attiré par Gemma. Dans l'imagination fertile de Martin, la réalité se déroule comme dans le roman "Madame Bovary". Accidentellement, cela se réalise. Alors, Martin s'inquiète de la mort de Gemma comme Emma. Il essaie de l'empêcher. C'est très comique. Mais, un pain que Martin a fait, déclanche la mort de Gemma. Le mari de Gemma quitte la Normandie. À la fin, le fils de Martin annonce à Martin: "Un couple s'installe à côté de nous. Leur nom de famille est Karénine." Martin va saluer ce couple. Il dit à cette dame qu'elle parle bien le français. C'est une blague de son fils. Parce qu'elle est Française.
samedi 17 octobre 2020
Le Perroquet de Flaubert
J'ai fini la lecture de "Le Perroquet de Flaubert" (en français) de Julian Barnes. L'année dernière, lorsque mon prof est retourné en France, il a acheté deux livres ("Le Perroquet de Flaubert" et "Où en sommes-nous ?") que je lui avais demandé d'acheter.
Auparavant, en me montrant le livre "Une fille, qui danse" de Julian Barnes, ma mère m'a dit que ce livre n'était pas mal, cet auteur a été couronné du prix Booker. Je lui ai répondu: "Ah, c'est bien, il a enfin pu obtenir le prix Booker". Cette parole l'a étonnée. Elle m'a demandé si j'avais lu ses autres romans. Tout à fait. Lorsque j'étais lycéenne, j'ai lu "Le Perroquet de Flaubert", "Le Soleil en Face" et "Une histoire du monde en 10 chapitres 1/2". Je n'ai pas fait exprès de lui rapporter toutes ces lectures. Et pourtant, je n'ai pas pu tellement me souvenir de ses contenus. Le film "À l'heure des souvenirs" est basé sur ce roman "Une fille, qui danse". Ma mère l'a vu et m'a dit que le roman était mieux que le film. C'est le réalisateur du film "The Lunchbox" sur lequel j'avais écrit en 2019, Ritesh Batra qui a tourné "À l'heure des souvenirs". Mais je ne l'ai pas encore vu.
Quant au roman "Le Perroquet de Flaubert", en le lisant, je me suis demandée si c'était vraiment le genre "roman". À mes 16 ans, j'avais l'impression que ce roman était bizarre. Je ne connaissais que le nom de cet auteur, Gustave Flaubert. Je n'avais pas encore lu "Madame Bovary". Cela peut paraître étrange, mais cette lecture ne m'a pas lassé, sans connaissance sur Flaubert. Ce qui m'a intéressé, c'est une expression dans le chapitre Ⅱ CHRONOLOGIE: "1852 Quelle mauvaise chose que la vie, n'est-ce pas ? C'est un potage sur lequel il y a beaucoup de cheveux, et qu'il faut manger pourtant." C'est plein d'ironies et une métaphore admirable. On peut percevoir le signe de l'esprit désabusé. J'ai pouffé, mais il a raison. L'amertume de la vie est représentée. Charles Baudelaire a écrit: "Cette vie est un hôpital où chaque malade est possédé du désir de changer de lit." Carrément, l'expression de Flaubert m'a plu davandage que celle de Baudelaire.
vendredi 9 octobre 2020
Yoroboshi
Après le dernier cours de français, j'ai vu la représentation de Nô "弱法師 (Yoroboshi)" sur webdiffusion. C'était une chance qu'elle était gratuite. J'ai vu cette pièce à la télé et au theâtre de Nô. Est-ce que le Nô peut survivre sous la situation du coronavirus ? J'utilise "Yoroboshi" dans mon blog, car cette pièce me fascine.
Dans le roman "Le Pavillon d'or", il y a ces phrases: "Il m'évoquait le paysage merveilleux que, dans le Nô intitulé "Le Prêtre Yoro", Shuntokumaru découvre pendant l'illumination bouddhique. À travers la nuit de ses yeux morts, il voit les reflets du couchant se jouer sur la mer Namba; il voit, sous un ciel sans nuages, embrasées par le soleil du soir, les îles Awaji, Eshima, le rivage de Suma et d'Akashi, et jusqu'à la mer de Kii." Le héros Mizoguchi se superpose au sentiment de Yoroboshi. Mishima Yukio a écrit "Cinq nôs modernes". En lisant cette partie l'année dernière, je voulais voir encore une fois cette pièce "Yoroboshi". Mishima s'est référé à cinq pièces de Nô (Le Tambour de Soie, Yoroboshi, Kantan, Hanjo, Aoi), il a créé de nouveau ces pièces pour le théâtre moderne. Le livre "Cinq nôs modernes" est traduit en français par Marguerite Yourcenar. Cela m'a surprise. Où est-ce qu'elle a appris le japonais ?
Comme il faut expliquer cette raison, présentons ce synopsis en détail. Toshimichi a cru à la calomnie d'autrui sur son fils Syuntokumaru et l'a expulsé. Et pourtant, il le regrette et visite le temple Tennouji qui se trouve à Osaka afin de prier pour le confort d'ici-bas et dans l'au-delà pour son fils. Il fait des aumônes pendant sept jours dans ce temple. Lors du dernier jour, un mendiant aveugle Yoroboshi apparaît et fait la queue pour recevoir des aumônes.
samedi 3 octobre 2020
Il ne faut pas oublier
Cet été était chaud. Alors, ma mère a acheté plusieurs bouteilles de Kirin Lemon (soda). C'est rare. Je lui ai demandé pourquoi elle les avait achetées. Elle m'a répondu que c'était bon marché, il faisait chaud. En buvant cette boisson, je lui ai dit: "Tu n'a pas tellement acheté de soda, lorsque j'étais petite". Elle m'a répondu qu'il allait nuire au corps. Ma famille n'était pas riche, j'ai cru que ma mère hésitait à acheter des boissons gazeuses.
Dans mon souvenir, je buvais du thé d'orge pendant l'été à cette époque. Comme le thé d'orge ne contient pas de caféine, c'est bon pour les enfants. Après avoir bu du soda, ma bouche devient instantanément fraîche grâce à cette boisson. Mais le goût de sucre restait sur ma langue. Finalement, je voulais boire du thé comme d'habitude.
L'habitude depuis l'enfance est terrible. Pour l'instant, je n'achète pas tellement de soda. Il y a quelques mois, ma mère a connu sur Iinternet le livre "Fat Chance: Beating the Odds Against Sugar, Processed Food, Obesity, and Disease" de Robert H. Lustin, et elle l'a lu. Et après, elle m'a recommandé le film documentaire "Sugarland". En utilisant des images drôles, ce film explique facilement que le sucre est comme une sorte de drogue.